Communication interactive

Yulbiz-Paris : la viralité fait son travail

30 mai 2007

J’arrive à mon hôtel, fourbu de ma journée, ponctuée de conférences et de rencontres d’affaires… Tout cela pour parler à Fred Cavazza et qui me dit que Michel Leblanc arrive vendredi matin. Je savais (voir le précédent billet dans les commentaires). Je vais sur son site et je constate :

Au diable la dépense, Yulbiz-Paris, j’arrive pour célébrer avec vous votre premier Yulbiz. Je serai donc à Paris de vendredi matin à dimanche dans la journée. C’et mon beau-frère Luc qui m’a allumé. Je suis convaincu que Philippe Martin, le cofondateur de Yulbiz, aurait aussi aimé être parmi vous. Il se reprendra certainement à une autre occasion.

MAJ
L’avion et l’hôtel sont réservés. J’arrive à 09:00hr à CDG et j’au un rendez-vous d’affaire à 14:00hr. Si des copains veulent me rencontrer sur l’heure du lunch ou en avant-midi, ça me fera plaisir… sinon on se voit à Yulbiz-Paris…

Nous serons donc au mois trois québécois sur place, soit Michel, Mario Asselin et moi. La soirée promet d’être mémorable car même si le bar Ubi et Orbi contient environ une 50taine de personnes, nous serons, selon mon estimation, pas loin de 100. La viralité du Web 2.0 a fait le travail…Bref un événement qui fait parler et surtout courir tout le gratin du Paris 2.0 ! Bravo à Fred pour cette soirée qui s’annonce comme une réussite au-delà de toutes espérances et désolé Philippe que tu ne puisses y être…

Les participants à la conférence sur la communication interne

Rencontré aujourd’hui par cette journée humide et pluvieuse : Catherine Lenglet, brillante présidente de Netstrat et auteure du blogue uswim.net, Michel Germain, fondateur d’Arctus, Jean Rigal, responsable de la stratégie de communication interactive de Rolex et Patrick Hut, responsable du développement des RH pour Veolia Eau, en plus d’une autre femme aussi très brillante du nom d’Agnès d’Erceville. Journée bien remplie et qui augure bien pour demain !
En passant, beau Yulbiz au Méliès hier. Et félicitations pour la question et ses réponses. Ici à Paris, on s’en fout du YUL. C’est l’intention qui compte et tous savent que cette merveilleuse initiative origine de Montréal. Aux parisiens de l’adapter à leur réalité :o)

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1 commentaire

  • Répondre Philippe Martin 30 mai 2007 - 18 h 54 min

    Vous serez trois pour insuffler le « yulspirit » et qui plus est trois représentants conférenciers québecois du récent webcom. La force de réseaux virtuels et humains.

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