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Big Brother

Big Data Cloud Computing Entrepôts de données Identité numérique Sécurité des données

Êtes-vous bercés ou bousculés par les données sur Internet ????

23 janvier 2016

Que vous suggère l’image qui va suivre ? Je viens de la mettre en vedette sur mon profil Facebook et déjà j’ai des réactions… Que produit  sur vous cette photo d’un centre de données, phare de l’infonuagique ? Peur ou confort ? Dites-moi ? Car pour l’instant sur Facebook, je reçois des réactions positives. Bien entendu, les «geeks» ressentent un certain confort en la regardant. Lire la suite

Big Data Blogues Identité numérique Sécurité des données

La Grande Peur des Réseaux: sommes-nous tous devenus paranos ?

22 avril 2015

Une question me taraude depuis des mois. Des mois que je lis ou que j’entends parler des dangers d’Internet, des menaces à notre vie privée, des méchants gouvernements qui nous espionnent dans nos téléphones, nos tablettes et nos ordinateurs, des compagnies qui «scrapent» sans vergogne nos données publiées sur le Web et ce, dans le but inavouable de nous ficher, analyser, compartimenter et déshumaniser en bits de consommation pour publicitaires avides… Lire la suite

Événements LeWebParis Web 3.0

#LeWeb13: où en sera le Web dans 10 ans ? Enfin vous allez savoir !

14 décembre 2013

Tel que promis, tel qu’écrit. Je vais donc terminer cette série de billets sur la conférence LeWeb version 2013 par quatre sujets plutôt ésotériques mais qui ont attiré mon attention:  le Long Web, l’IndieWeb, le Web cérébral et la téléportation. Déjà que le thème de la conférence soit «Le Web dans 10 ans» ait été un peu malmené durant les deux premiers jours. Alors enfin quatre sujets qui vont littéralement nous brasser les neurones. Lire la suite

Big Data Événements Identité numérique Internet2 Sécurité des données

MAJ : Nous sommes en guerre et les USA ne tolèrent pas les «espions des données» ni les hackers blancs…

24 juillet 2013

NDLR: Je re-publie ce matin un billet qui est passé un peu sous le radar car ayant été publié en plein congé de la Fête Nationale. Le sujet est encore d’actualité et fait même la UNE de plusieurs publications ce matin. Ce ne pourrait être qu’une autre de ces histoires d’espionnage international et de géopolitique, bref un sujet qui captive sur le moment mais qui finit par lasser un monde avide d’actualité et de sensationnel. Mais ici, la question est beaucoup plus importante et nous touche tous et toutes dans ce que nous avons de plus cher, soit notre INTIMITÉ et notre INTÉGRITÉ. Donc, sans plus tarder : Lire la suite

Big Data Cloud Computing Entrepôts de données Sécurité des données

MAJ: Nous sommes en guerre et la NSA ne tolère pas les «espions des données»…

24 juin 2013

C’est une toute petite phrase écrite sur le «LiveBlog» du journal Le Guardian qui a attiré mon attention et déclenché ce billet. Au début, je ne voulais pas écrire sur la saga actuelle qui concerne le scandale déclenché par la mise à jour du programme PRISM et les tribulations internationales du «lanceur d’alerte» Edward Snowdon. Mais cette phrase et les événements qui ont suivi m’ont forcé la main… Lire la suite

Blogues Communication interactive Identité numérique LifeLogs Mémoire d'entreprise

Lifelogs : nous y sommes presque grâce à… Facebook !

25 septembre 2011

Je croyais bien qu’au fil d’arrivée, ce serait le site Twine qui concrétiserait le rêve de Gordon Bell de Microsoft. Quel rêve ? Celui des LifeLogs ou si vous voulez les Carnets du vie car il faut bien que le blogue, pièce maîtresse du Web 2.0 ait des descendants dans le Web 3.0 ou même 4.0… Sur ce concept j’ai beaucoup écrit sur ce blogue allant même à en faire une catégorie particulière. Mais je ne m’attendais certainement pas à ce que ce soit quelqu’un d’autre qui réalise l’exploit.

Mais bon… Avant d’élucider le mystère, laissez-moi vous expliquer un peu le concept des Carnets de vie à la façon du fondateur de Twine, vendu depuis à Evri Inc., un p’tit vite nommé Nova Spivak. Bref, Spivack et sa compagnie d’alors, Radar Networks, ont mis en place la technologie nécessaire pour créer, dans un premier temps, un «organisateur personnel de données»… Vous pourrez ainsi accumuler courriels, contacts, photos, vidéos, musique, etc. Tout ce qui est digital, en fait, les transformer en format RDF (Resource Description Framework) et y accéder d’un seul endroit… Vous me voyez venir ??? Non ? Les LifeLogs… J’ai déjà écrit que Google et surtout Microsoft travaillaient sur la question mais que Radar Networks avait une longueur d’avance, même si Microsoft a commencé à s’y intéresser bien avant avec son projet MyLifeBits, sorti tout droit de l’imagination de Gordon Bell.

Le concept selon Bell

Imaginez… Pouvoir emmagasiner toute une vie d’articles, de livres, de cartes, de CD, de lettres, de courriels, de mémos, de rapports, de photos, d’images, de présentations, de films, de bandes vidéos, de DVD, d’émissions télé, de revues de presse, de conférences Power Point, de podcasts, d’enregistrements audio, de conversations téléphoniques, etc. et tout cela emmagasiné et digitalisé dans une base de données unique avec recherche intégrée. Des vrais carnets de vie, qu’elle soit personnelle ou en entreprise. Toute l’expertise capturée au jour le jour, classée et surtout récupérable, les anglais disent «retrievable».

Bref, cette longueur d’avance que Twine possédait s’est évanouie et je soupçonne Microsoft d’avoir aidé nul autre que Facebook à réaliser ce grand pas en avant. En effet, cela s’est passé la semaine dernière à la conférence f8 lorsque Mark Zuckerberg est venu faire l’annonce de plusieurs nouveautés censées améliorer l’expérience utilisateur des quelque 750 millions de membres et ainsi les fidéliser un peu plus face à la concurrence croissante de Google+.

Lors de ces annonces, j’ai tiqué une première fois sur le texte commis par Jon Mitchell de ReadWriteWeb et qui va comme suit pour le titre et le lead:

Facebook’s Open Graph Is About Curating Your Life

In Facebook’s f8 keynote today, CEO Mark Zuckerberg introduced two new classes of applications for the Facebook platform. In addition to communications apps and games, Facebook will support media and lifestyle apps.

The change is designed to feed into Facebook’s « Open Graph » of user information, which has been rearranged to suit two new purposes: Filling out the user Timeline – Facebook’s new way of displaying every user’s curated life stream – and discovering new things with friends.

Mitchel joint dans son titre deux concepts différtents mais somme toute complémentaires pour la réalisation des LifeLogs: la curation des contenus et le lifestream. Donc, pour lui, Facebook offrira à ses membres la possibilité d’organiser leur vie en utilisant une des nouveautés: la Timeline.

facezuck

Photo AFP

Et là où j’ai eu la confirmation qu’on arrivait à bon port c’est quand j’ai lu le texte de Marie-Ève Morasse dans Technaute-Cyberpresse sur le même sujet. Un autre titre et un lead qui en disent beaucoup:

Facebook veut raconter la vie de ses membres

Facebook ne se contentera plus de relater ce que ses membres font en temps réel. Le géant du réseautage social propose maintenant d’héberger leur biographie numérique. D’ici quelques semaines, les membres de Facebook découvriront un profil complètement redessiné dont l’objectif est de «raconter l’histoire de sa vie sur une seule page», a dévoilé jeudi le jeune PDG de l’entreprise, Mark Zuckerberg, dans le cadre de la conférence F8 destinée aux développeurs. Avec l’outil «Timeline», les internautes pourront désormais remonter dans le temps et archiver des pans de leur vie.

Voilà, nous y sommes… Archiver des pans de notre vie… Et oui, je vois poindre derrière les critiques qui vont dire que Big Brother est à nos portes mais je préfère voir le bon côté des choses. Comme le dit Zuckerberg :«Vous avez le contrôle total sur tout ce que vous publiez. Vous avez également le contrôle sur les paramètres de vie privée de ces éléments». Individus comme entreprises auront dorénavant la possibilité d’archiver leur vie complète. Imaginez! Pour les individus ça veut dire pouvoir faire un testament numérique qui ne comprend pas uniquement les mots de passe de notre identité numérique mais bien toute cette identité qui peut ensuite être léguée aux proches.

Et pour les entreprises, ça veut dire la possibilité enfin de créer, d’organiser, de communiquer, de recouvrer, d’entreposer, de rechercher et de transmettre ce que j’appelle la mémoire d’entreprise™. Toute l’expertise et le savoir accumulés par les employés ou collaborateurs pendant leur entier séjour maintenant disponible, organisé et transmissible aux générations suivantes ! Nous y arrivons enfin mais j’étais loin de me douter que nous le ferions grâce à Facebook et Mark Zuckerberg. Au fond, je me demande si Gordon Bell n’est pas loin derrière…

 

 

Communication interactive Études Internet Mobilité Real-Time Web

Voici un billet qui porte sur le futur avec plein de références au passé. Pas pire, non ?

22 juin 2011

C’est très rare que je fais des billets sur le passé mais le sujet en vaut la chandelle… Dans celui publié lundi sur la mobilité, je faisais référence au reportage spécial réalisé en août 2000 (oui, vous avez bien lu…) par Steven Brier dans le défunt magazine Inter@ctive Week, devenu depuis le eWeek en ligne et produit par ZDNet. Dans ce reportage de fond sur plusieurs facettes du futur du Web intitulé « Internet 2004 – Inside Tomorrow »,  Brier et plusieurs autres journalistes et une batterie d’experts en technologies, dont Tim O’Reilly, ont fait d’étonnantes prédictions, certaines d’une étonnante précision onze ans plus tard, d’autres carrément à côté de la plaque. Et bien sûr ils ne pouvaient pas prévoir le Web 2.0, les iPads ou la mobilité. Ou le pouvaient-ils ???

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Dans ce premier montage, la « Une » du magazine est datée du 28 août 2000 (premier encadré à gauche) et surtout la première page de la série de reportages est intitulée : » People Get Ready For a Whole New Internet ». La rédaction avait-elle mesuré toute la portée de ce titre ?. À ce moment, ils extrapolaient pour 2004 !!! Imaginez… Le Web 2.0 est apparu quand ? Quand Tim O’Reilly a-t-il inventé ce terme devenu un peu mythique ? Oui, oui, 2004… Mieux, lisez bien le premier paragraphe du texte d’ouverture que je reproduis ci-dessous:

« It’s coming. If we listen closely, we can hear it above the pitter-patter of many feet: the ringing in the distance of little phones, the beep-beep of millions of tiny computers talking to each other. It’s a new Internet, a new way of doing busibness. Like the little flying saucers that remade a burned-out buiding in the 1987 movie Batteries not included. Ten of thousands of mini-devices will remake the Internet and change how we interact with each other. »

Des petits téléphones et de minuscules ordis qui préfiguraient les les téléphones intelligents, NetBooks et iPads qui viendraient un petit peu plus tard que 2004 mais quand même… Et plus loin, on peut lire : « Preriodically, at a conference or trade show, we would hear about a future of prevasive or ubiquitous computing, the ability to remain constantly connected – sort of « All Net, all the time ». That future is about to arrive ». Et il est arrivé en effet et ce n’est pas quatre ans plus tard qu’on mesure tous les impacts de cette révolution et de ce nouveau Web interconnecté, en temps réel et mobile mais bien une décennie plus tard.

C’est dans cette vision de l’Internet en 2004 et ainsi présentée en début de reportage que le tout était génial. Par la suite, sur les tendances à venir, c’est plus faible avec des bons coup et des erreurs mais les tendances, ce n’est pas nouveau… On a ce genre de litanies à toutes les fins d’année… Donc, en 2000, on avait listé le eLearning, le journalisme Web, le copywright, l’identité numérique, l’outsourcing, le boom du BtoB et le sans fil comme grandes tendances et pour chacune, un ou une auteur(e) s’était avancé(e) à commenter.

learning

Dans les deux premiers (ci-dessus), une bonne et une très mauvaise prédiction. En ce qui concerne le eLearning, on titrait: « Virtual learning struggling to make the grade ». En fait, dans le texte on parle du eLearning car depuis les deux concepts se sont séparés avec l’apparition des univers virtuels et du Serious Gaming. Quant au eLearning plus traditionnel avec professeur disponible à distance en vidéo-conférence, assisté d’un tableau blanc virtuel et de la possibilité pour les étudiants de poser une question à la fois en levant une petite main virtuelle, il n’a jamais pu combler les attentes… Surtout parce que les logiciels conçus à cette fin ont été trop compliqués à maîtriser aussi bien par les profs, les professionnels de l’apprentissage et surtout par les utilisateurs. En plus les logiciels 1.0 coûtaient et coûtent encore trop cher mais de là à faire du eLearning une grande tendance du Web ? On repassera…

Quant au journalisme sur le Web qui n’aurait pas de futur, là l’auteure Kathleen Quinn s’est complètement gourrée… Elle a pris la télé des années ’50 comme référence en disant qu’à l’arrivée de cette dernière des journaux et des magazines avaient disparu mais que cela n’arriverait ps avec le Web et que le journalisme avait un futur lié aux journaux !!! Et Mme Quinn d’ajouter: « As the smoke from the Web journalism’s intense burn rate clear, it’s becoming easier to see that the job of being journalism’s flame keeperstill fall to print newspapers, with their solid foundation of local advertizing ».

Le test de la dure réalité, des journaux qui meurent l’un après l’autre faute de publicité qui se déplace vers les médias sociaux et les journaux en ligne ou strictement mobiles comme The Daily pour iPad ou encore la triste fin de grève au Journal de Montréal et la fin du journalisme syndiqué, à temps plein et gros salaire pour faire place à la convergence des nouveaux médias et aux postes précaires mais taillés sur mesure pour les « journalistes-entrepreneurs« , est venue la rattraper et défaire son argumentation.

Demain, on verra que les auteurs des textes sur le marketing Web,  l’identité numérique et le sans fil ont eu plus de succès et forment une partie de l’ossature du Web actuel…

Communication interactive Gestion des organisations Identité numérique Web 3.0

2011: une année de crise ou d’utopie ?

31 décembre 2010

Certains « déclinologues » ou apprentis futurologues considèrent avec suspicion les bouleversements amorcés au cours de la dernière décennie. Nous avons en effet été plongés dans une crise sans précédent qui dépasse les seules limites de l’économie et englobe aussi les bouleversements sociaux, climatiques et aussi les avancées énormes en matière de technologie. Dans ce domaine on parle désormais de Web 3.0, 4,0, d’Internet 2, etc.

L'Internet du futur

La crise est donc globale et en cela, je vous invite à lire la superbe analyse de Michel Cartier et Jon Husband dans leur nouveau livre La société émergente du XXIe siècle, dont l’essentiel est disponible sur le site Constellation.com. Ils commencent par parler de rupture:

« Une société est en rupture quand sa complexité se modifie au point que ses statistiques deviennent exponentielles. Elle se place alors sur les bords du chaos oscillant entre la peur de faire des choix sans aucun point de repère et le bonheur de pouvoir changer sa trajectoire. C’est la simultanéité de l’émergence des crises de toutes sortes (économique, énergétique, écologique, géopolitique et générationnelle) qui révèle l’importance de la rupture actuelle. »

Pour ma part, j’estime que cette crise et les péripéties du début de XXIe siècle s’apparentent en effet à une autre rupture historique, à une autre ère chaotique – au XIVème siècle – favorable à la gestation de la Renaissance. Michel dit que nous en avons pour au moins cinq ans encore avant d’en arriver à une ère qui sera, je l’espère, marquée par l’ouverture des idées, la diffusion des connaissances, de nouvelles grandes découvertes, un certain art de vivre et de nouvelles façons de penser, en fait, la démocratie participative de M. Cartier…

Et pourtant Internet et le Web 2.0 ne nous donnent-ils pas les outils pour justement atteindre cette nouvelle démocratie ? Les nouvelles technologies et leurs applications aux communications de masse ne sont-elles pas en train de renverser les rapports de force entre les élites et l’ensemble des ciyoyens de cette terre ? Qu’on pense seulement à la prise de parole citoyenne sur les blogues, le demi-milliard de personnes formant l’immense réseau Facebook ou encore à la révélation des secrets d’État sur Wikileaks.

C’est justement… Internet, les réseaux sociaux et collaboratifs font partie de la rupture et de la crise généralisée que vit actuellement l’Humanité toute entière dans son village de plus en plus global (Ah… McLuhan!). Ils sont pour beaucoup dans la perte de confiance dans le politique, d’où crise de confiance. Ils sont aussi pour beaucoup dans la crise financière mondiale, à la racine de toutes les nouvelles stratégies militaires et forcent des sociétés fermées et totalitaires comme la Chine ou Cuba à repenser leurs politiques et leurs contrôles. Même chose pour les entreprises… En fait États comme entreprises vont être forcés à revoir leur structure de pouvoir, leurs hiérarchies et leur quête du rendement à tout prix.

Êtes-vous prêt pour le 21e siècle from Michel Cartier on Vimeo.

Michel et Jon dressent un portrait clair mais un peu sinistre de notre planète et de l’Humanité qui l’habite en ce début de l’an 2011 mais ces derniers proposent une UTOPIE :

« Nous allons vivre dans une « société de l’information » où la convergence de tous les réseaux de communication deviendra une place où circulera un tsunami de rêves, de mensonges et d’informations non validées. C’est sur cette place publique que les dirigeants tenteront de convaincre leurs citoyens du bien fondé de leurs propositions, et c’est là qu’apparaîtra le refus des citoyens qui déclareront que ce n’est pas ce qu’ils désirent. Cette place publique deviendra le champ de bataille où s’affronteront des opinions contradictoires, donc l’endroit où se négociera le pouvoir. Actuellement, le pire danger que court notre société n’est pas tant le dérapage économique que les manipulations des moyens de communication et la commercialisation de la culture par des consortiums qui n’ont pas de projets à offrir mais que des profits à engranger.

L’utopie proposée exige un changement de modèle sociétal, culturel et économique. Nous voulons développer une démocratie participative avec marchés, celle-ci reposant sur la prise de parole des citoyens et sur des négociations entre les classes politiques, économiques et la société civile. C’est peut-être la seule utopie dont nous sommes capables.« 

Time & You

Acceptons l’augure que ces prochaines années – encore toutes en utopies – soient propices à l’innovation, à la créativité, à la réalisation de projets collaboratifs de toutes sortes, comme à la confrontation d’idées, l’acceptation de la différence et à l’épanouissement collectif, ce qui devrait favoriser l’émergence (j’aime ce mot…) d’une nouvelle Renaissance… Car ce que nous vivons depuis le passage de cap du Millénaire, en particulier la nomination de « VOUS’ comme personne de l’année en 2006 par le magazine Time mais aussi l’éclosion du Web en temps réel et de la mobilité soutenue par tous les iPhones, Androids et Blackberrys et  iPads de ce monde n’est que son prélude.

Mais gageons qu’il y aura encore bien des bouleversements, parfois dramatiques car on ne peut s’empêcher de voir poindre Big Brother à l’horizon. Nous l’avons vu avec la réaction des gouvernements à la suite des révélations de Wikileaks. Nous le voyons aussi en Chine essayer de dresser un immense pare-feu autour de cet immense pays et ainsi créer un intranet contrôlé avec ses propres réseaux sociaux, son propre engin de recherche, ss propre encyclopédie, etc. D’autres le voient aussi dans la volonté des grandes compagnies technologiques de ce monde comme Google, Microsoft, Amazon, IBM et d’autres de créer un immense nuage virtuel de données, bref d’en arriver graduellement à un seul et méga-ordinateur planétaire, appelez-le Martice ou Tron… La machine qui  se retourne contre son créateur…

Osons espérer que ce soit le meilleur qui reste à venir…

Bon, assez philosophé… Je vous laisse avec mes vœux sincères pour une heureuse et positive année 2011. Puisse l’an qui vient répondre à vos espérances tant personnelles que professionnelles. À l’an prochain !