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Michelle Blanc

Politique numérique Transformation numérique Web politique

Le Québec numérique : un projet de société

13 décembre 2017

C’est ainsi que s’intitule la stratégie numérique dévoilée le 13 décembre par le gouvernement du Québec en présence d’un aréopage de ministres dont Dominique Anglade qui pilote le dossier. Ce matin, je voulais me brancher sur Facebook Live pour suivre le dévoilement de cette stratégie mais mon portable a planté à la suite d’une mise à jour difficile dans la nuit. Lire la suite

Blogues Événements Influenceurs Médias sociaux

Pourquoi bloguer fêtera ses dix ans le 5 novembre !

15 mars 2017

Dans un peu moins de dix mois, le livre collectif «Pourquoi bloguer dans un contexte d’affaires» aura dix ans, une éternité dans le monde du Web en constante transformation. Dix ans, dix mois, dix auteur(e)s et dix thèmes qui au fil des années n’ont pas vieilli. Je vois régulièrement passer sur Twitter des liens sur des billets qui prétendent révéler les XX raisons pour créer un blogue ou les sept recettes magiques pour atteindre la consécration de blogueur qui a réussi et qui est lu. Vous n’avez qu’à penser à Jeff BullasLire la suite

Études Internet Événements Politique numérique

Le CEFRIO et les PME numériques: c’est bon mais où est la Vision?

30 octobre 2015

Depuis quelques semaines, le numérique au Québec est un des sujets qui fait couler le plus d’encre dans les médias comme sur les blogues. Un peu plus d’un an après le deuxième Forum des idées pour le Québec où le Premier ministre du Québec, Philippe Couillard nous promettait  une stratégie numérique pour le Québec, sortait un communiqué en provenance son bureau annonçant la création d’un groupe-conseil et le lancement d’une consultation publique sur Internet. Lire la suite

Blogues Événements

Premier Yulbiz de 2015: renaissance, solidarité et le retour de LA liste !

26 janvier 2015

L’an prochain, en 2016, cela fera 10 ans que je fréquente assez assidûment les réunions mensuelles des blogueurs d’affaires de Montréal,  soit le Yulbiz en plus d’avoir aidé à organiser bien humblement quelques rencontres de celui de Paris né en juin 2007 avec, entre autres, Fred Cavazza et Émilie Ogez. Cela fera donc 10 ans, ce qui est une éternité. dans le monde toujours en constant bouleversement que celui des nouvelles technologies. Lire la suite

Entrepôts de données Événements Innovation LeWebParis

La Maison Notman comblera-t-elle une partie du fossé numérique du Québec ?

4 juin 2014

Hier, juste après le gros orage à Montréal, j’assistais à un «5 à 7» qui venait souligner l’inauguration des nouveaux locaux de la maison du Web à Montréal, dans la Maison Notman, à l’angle des rues Sherbrooke et St-Laurent. Dans la salle tout le gratin numérique mais surtout une foule de particuliers et de «geeks», comme moi, qui ont participé à la campagne de socio-financement sur Indiegogo, qui a permis d’amasser plus de 120 000$ et ainsi compléter le financement de la rénovation de l’édifice patrimonial. Lire la suite

Événements Identité numérique Innovation Réalité virtuelle

La mort de SL Enterprise: une question de prédation ou de téléportation ?

23 avril 2013

Vous vous souvenez de Second Life ??? Cette plate-forme qui a connu un succès mondial en 2006-2007 au point où son concepteur, Philip Rosedale est devenu une vedette instantanée du mouvement Web 2.0 encore naissant. Des articles et reportages dans la presse trad. mais aussi  des billets de blogues, des podcasts et des analyses dithyrambiques de la presse spécialisée et consécration suprême, une apparition à TED en 2008. Lire la suite

Études Internet LeWebParis Web politique

MAJ #LeWeb12 : coup de gueule un soir à Paris…

5 décembre 2012

Hier soir à LeWeb, il y avait neuf activités dont deux soirées officieuses mais très importantes chacune dans leur genre… Le Badoo Party, pour les amateurs de soirées branchées, avec filles sexy et musique techno et avant, la réception à l’ambassade de Suède… Et c’est justement de cette réception que je veux vous entretenir car j’y suis allé en compagnie d’une nouvelle bonne amie, soit la blogueuse Russe Daria Batukhtina, ceci à mon grand bonheur mais aussi à mon grand désarroi….

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Identité numérique Médias sociaux

MAJ 1 et 2: Je quitte Facebook: une mise au point s’impose !

22 juillet 2011

Bon, je fais ce billet car une mise au point s’impose… J’ai récemment écrit sur Facebook que je quittais cette plate-forme sociale et j’ai même créé un groupe à cet effet. J’ai posé ce geste dans un moment de profonde exaspération face aux récentes gaffes de Facebook qui «pitche» en ligne des ajouts de fonctionnalités mal dégrossies, de toute évidence pour ne pas se faire damer le pion par Google+.

jequitte

Faut dire qu’au cours des dernières semaines, j’ai réduit de beaucoup ma présence mais de là à quitter définitivement, il y a une mer à franchir ou encore comme certains l’ont mentionné, une «addiction» à vaincre car on ne quitte pas Facebook comme cela sauf dans le cas le l’ami Martin Ouellette. … J’ai lu les innombrables commentaires que cette décision a générés sur mon mur, en particulier les nombreux appels du pied de Sophie et aussi sur sur celui du groupe, entendu les arguments de plusieurs ami(e)s dont Nancy devant un bon repas et… pris un certain recul… En effet, Facebook rejoint une clientèle que ne fera pas facilement le saut quantique vers Google+, une plate-forme plus versatile et plus intégrée mais plus «geek» pour le moment dans sa conception et l’adoption par les utilisateurs sur invitation seulement… On ne change pas les habitudes si facilement, gestion du changement 1.0…

Bref, un peu comme le mentionne Bruno Guglielminetti, aussi bien sur mon mur que sur celui du groupe (voir ci-dessous) pour son propre usage de Facebook, le mien est surtout orienté famille et amis proches, «ceux que je connais et les figures sur lesquelles je peux mettre un nom». Je me suis toujours refusé à m’en servir pour les affaires, mettant même une mise en garde sur mon profil pour que de potentielles relations d’affaires ou illustres inconnu(e)s aillent plutôt me solliciter sur LinkedIn.

Guglielminetti

C’est contraire à la philosophie de Michelle Blanc qui l’exprime ci-dessous et qui a une logique certaine car elle se sert de plusieurs médias et réseaux sociaux pour faire du «broadcast», ce qui n’est pas mon cas mais son explication et surtout ses analogies sont intéressantes. Toutefois, dans sa logique, Michelle en arrive à un triste constat, et dont j’ai déjà traité dans des billets précédents sur la disparition de la conversation sur notre médium de communication PRIMORDIAL : le blogue…

michelle

L’arrivée de Google+ est venue mettre en péril le bel équilibre établi dans l’usage de mes réseaux sociaux, Twitter y compris car ce dernier me servait d’expérimentateur d’usages… Bref, l’équilibre étant rompu il a bien fallu chercher comment le recréer… En «flushant» Facebook purement et simplement ? Je ne crois pas…

Comme plusieurs d’entre ceux qui ont commenté, je vais réorienter mes usages car Facebook offre encore des possibilités originales, non couvertes par les autres réseaux. Je le garde donc pour la possibilité de me faire des groupes pour les étudiants de mes cours. Ils sont faciles à organiser et faciles à utiliser par les étudiants au contraire de ce que les wikis ou les Google Groups peuvent offrir.

Je garde aussi Facebook pour les événements et surtout pour la famille et les amis proches (avis à Sophie et Nancy ;-). Plusieurs d’entre vous ont suivi mes mésaventures hivernales et comme moi sont en mesure d’apprécier l’utilité manifeste et même vitale de Facebook dans pareil cas:

montagehosto

Mais je ne peux pas, comme dans Google+ publier et sélectionnant de façon pointue mon lectorat. Soyez donc certains que je vais faire du ménage dans ma liste d’amis Facebook pour la réduire à sa plus simple expression. Mais n’en gardez pas ombrage. La qualité de la conversation et des échanges est le point central de la démarche. Qu’en pensez-vous ?

MAJ1

J’ai eu plusieurs réactions à date à ce billet mais je tenais à reproduire ici celle publiée dans le fil de conversation sur Google+, justement… Elle est très éclairante sur «l’addiction» Facebook, un peu comme la cigarette pour ceux qui se souviennent de ce que c’est que d’arrêter de fumer :

« Jacques Cool – J’ai supprimé mon compte Facebook (enfin, je l’espère – sont tenaces chez FB avec tes infos…) il y a 1 an. La vie a continué et je ne sens pas avoir «manqué quelque chose». Bien au contraire, l’expérience sociale en ligne fut des plus riches depuis 12 mois. Je réalise que ma présence sur autres réseaux (Twitter surtout, Diigo, Scoop.it, LinkedIn, WordPress) est essentiellement professionnelle, pas de place pour des sornettes ou des jeux nunuches. Ces jours-ci, j’explore G+. Mi-chemin entre FB et Twitter, ou complètement autre chose? C’est, je prédis, l’expérience «empirique» de G+ qui me le dira. Mais je prends mon temps, mollo. De toute façon, avec un Humidex de 38C, faut pas s’énerver.»

MAJ2

Et encore, trouvé cette présentation de Vincent Wong sur SlideShare qui résume aussi les propos tenus ci-haut mais aussi ceux de mon récent billet sur mes premières impressions de Google+

 


Communication interactive Entreprise 2.0 Mémoire d'entreprise Real-Time Web Réalité virtuelle

Les applications «mashups» ont-elles leur place dans l’entreprise ?

13 mars 2010

Les applications «couplangées» (mashups) mettant en scène le Web en temps réel, la géolocalisation et la mobilité, de type FourSquare, ont-elles leur place dans l’entreprise? C’est la question que je me pose à chaque fois que j’utilise ces nouvelles «darling» du Web 2.0, comme aime à les appeler Michelle Blanc. Michelle relève avec justesse leur utilité en termes de marketing sur le Web mais  ont-elle non seulement leur place mais aussi une quelconque utilité «DANS» l’entreprise ?

Imaginez… La majorité d’entre elles n’ont pas encore intégré les blogues, les réseaux sociaux ou encore les applications de micro-blogging à la Twitter comme Yammer. Alors….Le fait que personne ou presque n’utilise encore le Web en temps réel en entreprise signifie-t-il que les applications possibles n’y verront jamais le jour ? Que non à mon avis…

Car l’enjeu est intéressant. Vous imaginez ce que de telles applications pourraient faire pour les plans d’urgence des entreprises ? Jadis naguère on utilisait des cartables de procédures, des montagnes d’organigrammes  qui résultaient en une cascade téléphonique de responsables prêts à être rejoints sur leur téléphone portable. Finie cette époque… Plus besoin que d’un Nexus ou un iPhone pour gérer le tout avec des accès à tous les médias sociaux ou traditionnels, en temps réel ou non…

Je prends un second exemple parmi plusieurs autres: un représentant de la SAQ qui fait le tour des vignobles du Bordelais à la recherche de nouveaux produits. Il pourrait ainsi rendre compte de son périple et de ses découvertes en temps réel avec les membres de son équipe au Québec par le biais de l’intranet  avec appréciations, commentaires, photos et même vidéos… Et imaginez que les propriétaires du vignoble utilisent la réalité augmentée pour fournir à son visiteur de l’information sur les cépages, les millésimes, sur l’histoire de la propriété, etc. De la science-fiction vous dites ?

Regardez bien cette vidéo sur le projet CultureClic,  conçu par les ami(e)s Tatiana Faria-Salomon, Natacha et Sacha Quester-Séméon d’ i-Marginal et piloté avec la Cité des sciences et de l’Industrie (un lieu universcience) pour Proxima Mobile.

Le mobile, le Web en temps réel et la réalité augmentée, la géolocalisation et bientôt un réseau social, tout cela dans un «mash-up». La transposition en entreprise est possible, inévitable et pour ma part, souhaitable pour la réalisation d’un plan intégré de création de la mémoire d’entreprise™

Communication interactive Événements

La «peoplisation» passera mais le Yulbiz demeurera…

1 décembre 2009

Le récent billet de l’ami Martin Lessard sur le Yulbiz du mois de novembre me laisse un peu perplexe. D’aucuns y verront une charge à fond de train des traditionalistes et tenants de l’orthodoxie contre la dénaturation de cet événement qui au départ était  « un regroupement de blogueurs d’affaires qui vise à favoriser le réseautage et la pratique des blogues dans un contexte professionnel ».

Membre du conseil d’administration de Yulbiz.org ,  tenant de LA liste des blogueurs d’affaires et directeur du collectif «Pourquoi bloguer dans un contexte d’affaires», je devrais sans attendre me ranger derrière les propos de Martin mais comme le dit souvent Michelle Blanc, notre présidente et fondatrice, je me garde une «p’tite gêne»…

Pourquoi ? Parce que des propos de Martin, je flaire un peu nostalgie sur les discussions d’initiés et les ouvertures à des occasions d’affaires qui étaient le lot des premiers événements au café Méliès, fréquentés alors par quelques «initiés». Et que dire de la question du mois qui est disparue corps et biens… Ce qui fait dire à Martin:

«De quelques blogueurs, mâles en majorité, du début, voilà que s’est rajouté une nouvelle foule dans la mouvance des réseaux sociaux, de la WebTV et de Twitter, équilibrant le ratio homme femme, augmentant celui des ‘peoples’, abaissant la lumière et augmentant le son de la musique. Voilà ce qui ressemble plus à party mensuel branché».

Et Martin en rajoute: «De rares, les moments de rencontres entre gens de la numéricratie montréalaise se sont depuis généralisés, diversifiés, spécialisés –les ‘camps’ et autres non-conférences ont pris l’espace de discussion et de réflexion– et le Yulbiz est devenu l’after-party où on se voit, se fait voir et regarde l’élite numérique. Car quand la musique est si forte et la lumière si basse, les paroles deviennent inutiles».

Et il en remet une autre couche en final: «Yulbiz était au début « un regroupement de blogueurs d’affaires qui vise à favoriser le réseautage et la pratique des blogues dans un contexte professionnel ». C’était la façon qu’on le présentait alors que j’étais sur le conseil d’administration. Il est aujourd’hui le lieu de rencontre branchée et de réseautage d’une élite web, de micro-entrepreneurs et d’artistes».


Le Yulbiz, un party d’artistes?

Le Yulbiz ne serait plus qu’un 5 à 7 branché pour l’élite 2.0, un party d’artistes? Je ne crois pas… J’étais à celui du 24 novembre au Jello Bar, tout comme Martin et une centaine d’autres personnes. J’étais accompagné de Marie-Frannçoise Hervieu, associée chez Allard Hervieu Communication et nouvelle blogueuse d’affaires. Elle a profité de son immersion pour rencontrer plein d’autres blogueurs et blogueuses, d’autres relations d’affaires du domaine des RP et elle en a profité pour converser, réseauter.

La musique trop forte? Faut croire que je suis parti trop tôt car la musique ou le niveau sonore n’était pas plus élevé qu’à l’habitude. Ce dernier ne m’a pas empêché de converser, d’introduire Marie-Françoise et de souhaiter la bienvenue au Yulbiz à de nouvelles figures comme Suzanne Lortie, dont le blogue vient de naître ou encore Tara Hunt, une des figures dominante des blogues, des Barcamps et du Web 2.0 mondial et qui est maintenant une montréalaise…

Je viens de parler de trois femmes. Eh oui, comme le dit Martin le ratio homme-femme s’équilibre au Yulbiz et ce n’est qu’une bonne chose et n’en déplaise à Martin, le Yulbiz n’a jamais été un espace de réflexion. De discussion oui, qui amène plus tard à la réflexion. Et cela, à mon avis, n’a pas changé. La quantité n’a pas évacué la qualité et le nomadisme de l’événement a dépoussiéré les participants de la première heure, secoué les vieilles habitudes et à mon avis pour le mieux.

Yulbiz international

Le Yulbiz est tout cela et encore plus. Il est aussi un mouvement international et cela, on a tendance à l’oublier trop vite. La semaine dernière, il y a eu Yulbiz à Bruxelles comme le démontre ce «slide show» de présentation et surtout le billet «feedback» sur son blogue par l’ami et organisateur Vincent Battaglia.

Un Yulbiz, comme le dit Vincent, pas comme les autres avec lui aussi son petit côté «people». Ce soir, ce sera celui de Paris auquel j’assisterai. Demain je vous écris sur les faits saillants et les belles rencontres qui auront lieu au Père Tranquille avec photos en prime. En passant, vous en connaissez des bistros qui se présentent ainsi sur le Web? Selon les organisateurs, Fred Cavazza, Émilie Ogez et Fadhila Brahimi, ce sera l’occasion de faire un bilan de 2009 et faire quelques prédictions sur 2010…

Yulbiz est un formidable outil de réseautage international qui nous permet de rencontrer les blogueurs européens, américains et même cubains, de tisser une toile de solidarité et de collaboration internationale qui pourrait, comme le rêve Michelle, aboutir à une grande manifestation internationale.

Ça c’est une vision que nous avions et que nous avons toujours. Le Yulbiz n’est pas un événement «people» mais un besoin fondamental pour nous tous, besoin de nous retrouver en communauté que ce soit à Montréal, Paris, Lille, Bruxelles, La Havane, San Francisco ou ailleurs. La «peoplisation» passera mais le Yulbiz demeurera…

p.s. Dans les dix jours qui vont suivre, l’horaire sera chargé en France: conférences à donner, clients à rencontrer,  amis à retrouver, voyages à Bordeaux et Clermont-Ferrand mais aussi LeWeb09 en direct. De tout cela je vous en écris à compter de demain!

Études Internet Événements

Web Analytics: le «coming out» littéraire de Jacques et Nicolas!

4 novembre 2009

Sortie le 1er octobre dernier du livre Web Analytics : mesurer le succès et maximiser les profits de votre site Web des amis Jacques Warren et Nicolas Malo, chez les éditions françaises Eyrolles. C’est déjà un succès en librairie mais faut dire que les deux lascars ont poussé très fort sur la promotion de leur bouquin. Début septembre, ils étaient tous les deux à Lille pour y donner une conférence et faire la promo du livre.

Eh oui, comme nous en juin dernier (Philippe Martin, Michelle Blanc et moi-même), ils ont empli la salle au pays des Ch’tis, pays d’adoption de Nicolas depuis qu’il a quitté Montréal et Vidéotron. Et cette semaine, ils sont tous les deux réunis une fois de plus mais à Montréal pour y faire leur «coming out» littéraire. Hier, ils rencontraient un cercle restreint de blogueurs d’affaires afin de discuter, analytics, marketing mais bien entendu aussi de Lille et de leur bouquin.

Web Analytics

Dans l’ordre: @nicolasmalo, @philippemartin, @martinlessard, @michelleblanc, @jacqueswarren, @emergent007, @zelaurent, @marcpoulin, @titaninteractif

Du bouquin lui-même, je vais faire un prochain billet pour traiter de son contenu (eh oui, je n’ai pas encore eu le temps de le lire…) mais vous pouvez déjà lire le compte-rendu fait par Martin Lessard sur son blogue.

La rencontre au sommet a eu lieu dans un très bon restaurant du centre-ville soit le Europea. Merci à tous les deux pour m’avoir fait découvrir cet endroit superbe et la cuisine de son chef exécutif Jérôme Ferrer. Une excellente cuisine qui flirte avec le molléculaire mais aussi des pâtisseries sublimes, fruit de l’imagination débordante du chef pâtissier Roland Del Monte (m.o.f).

Ce soir, Jacques et Nicolas seront les invités d’AT Internet qui lance une nouvelle interface,  Digital WorkSpaceNX ainsi qu’un nouveau produit exclusif : BuzzWatcher. Le tout se déroulera à compter de 17h00 à l’hôtel Intercontinental. Ce sera l’occasion pour Jacques et Nicolas de faire connaître à plus de gens encore leur bouquin, le premier ouvrage francophone à vraiment se pencher sur l’analyse Web.

Fait cocasse raconté par Jacques. Les deux ont dû faire ces compromis à la langue française pour se faire comprendre des…français. On sait que nos cousins raffolent des anglicismes et en tapissent leurs conversations professionnelles et techniques. Bref, vous ne trouverez pas le mot courriel dans le livre, mais vous trouverez E-Business, Business Intelligence, Chat, datawarehouse, branding, etc.

Rencontré aussi lors du pré-lancement: Michelle Blanc qui m’a confié qu’elle négocie présentement avec deux maisons d’édition en vue de la rédaction prochaine et conjointe d’un livre sur les médias sociaux et aussi Martin Lessard qui travaille à l’organisation de la conférence Challenge Your World Rendez-Vous, l’événement clef de la Semaine mondiale de l’entreprenariat 2009, le 19 novembre. Pour l’occasion, le conférencier invité est nul autre que Guy Kawasaki. Cela sera d’ailleurs le sujet d’un prochain billet.

Communication interactive Identité numérique

MAJ: Mon Twitter est plus important que le tien! Et le retour de LA liste

7 septembre 2009

Depuis quelques semaines, je n’ai rien publié sur mon blogue. Involontairement, j’ai pris l’attitude du voyeur et non de l’acteur. Cela a provoqué toute une gamme d’émotions allant du remords à l’indifférence. Par contre, je ne pouvais demeurer indifférent très longtemps aux échanges épistolaires qui ont fait rage sur Twitter au cours des derniers jours.

Classements et méthodes

Ce n’est pas la première fois que les classements font couler encre et salive. Qu’on pense seulement au fameux palmarès des écoles secondaires que publie annuellement la revue l’Actualité. Ceux qui arrivent premiers ont toutes les raisons de se réjouir et d’applaudir à ce classement alors que les recalés, habituellement du secteur public, poussent les hauts cris et dénoncent son existence, la méthode, etc.

Même chose sur le Web et en particulier dans le Web 2.0. Depuis longtemps (quelques années) Technorati et Wikio classent les blogues en importance et tentent aussi de déterminer leur influence ou « authority ». Encore là, se trouvent des individus pour soit faire l’apologie de ces classements, ou encore leur trouver tous les vices et défauts du monde. Moi j’aime bien les deux mais n’y prête pas tant d’importance ou d’attention. S’il fallait, j’en tomberais bien malade car je ne suis classé que 83 562e sur Technorati et 1 534e sur Wikio. Je me console en me disant que sur Wikio, j’approche les 100 premiers dans la catégorie High-Tech (107). Mais je relativise aussi en me disant que ces classements sont soit américains pour Technorati, soit français pour Wikio. Ici au Québec? Rien comme d’habitude… En fait presque rien.

Parce qu’il y a au moins LA liste des blogueurs d’affaires que j’essaie tant bien que mal de tenir à jour depuis deux ans. Mais encore là, cette liste, qui je le souligne, n’est pas un classement, est elle aussi imparfaite. Elle ne recense presque pas la communauté des blogueurs anglophones du Québec, une chose qui devrait bientôt changer.

Bref, faut prendre ces listes et classements avec un gros grain de sel. Il y a plein de moyens et de méthodes pour faire parler les chiffres en sa faveur, comme il existe des méthodes plus ou moins tordues pour se hisser en premier dans les résultats de Google. Sur Twitter, on nous spamme régulièrement des 10 moyens d’augmenter nos «followers» ou des 10 meilleures méthodes pour monétiser notre blogue et ainsi de suite. J’ai d’ailleurs twitté cette semaine sur mon ras-le-bol de ces autres formes de classement qui ressemblent à ce qui se fait dans le magazine Cosmopolitain, du style les 10 meilleurs endroits pour faire l’amour en dehors de votre chambre…

Le cas Twitter

Comme pour les blogues, le micro-blogging a aussi maintenant son «élite» déterminée en partie par d’autres classements. Et encore là, il y a les américains avec TwitterGrader et il y a maintenant les français avec Twopcharts. Polémique d’ailleurs avec la parution récente du classement français, relevé par Mario Asselin et qui lui a valu les foudres de l’amie Michelle Blanc. Encore là, les deux ont des forces et faiblesses. Si je prends mon propre compte Emergent007, vous comprendrez qu’il ne se retrouve pas dans l’élite mondiale sur Grader, loin de là… Toutefois, Grader permet de faire des classements plus pointus par villes. Si on pose une requête sur Montréal, je me retrouve actuellement en 45e position. Ce qui est, selon moi, OK, compte tenu de mon style d’utilisation. Qui s’est retrouvée pour un temps en premier ? Une des figures de proue du Web 2.0, nouvellement installée à Montréal, soit Tara Hunt aussi connue sous l’alias @missrogue.

Quant au nouveau classement de Twopcharts, qui fait couler encre et salive, il me place en 91e position. Mon profil dans ce classement fait au début septembre montre 1 634 followers, 784 following, 8 380 tweets mais ne montre pas les 1 556 messages directs ou DM. Quand l’amie Michelle Blanc parle de conversation, ces DM sont très importants dans le flux de mes conversations. Mais pour éviter que cette conversation ne se disperse dans toutes les directions, j’avoue que je limite le nombre de personnes que je suis (follow) et que j’élimine SYSTÉMATIQUEMENT tous les follow-spammeurs, ceux et celles qui ont justement 0 following dont celles qui essaient de nous proposer les plaisirs de leurs charmes. Comme Tara Hunt d’ailleurs je suis beaucoup moins que je suis suivi (elle a presque 28 000 followers et en suit 1 660) et c’est bien ainsi. Ce n’est pas parce que je choisis mes tweet-fréquentations que je n’ai pas de conversations ou d’interactions intéressantes.

Boire à la rivière

Ceux et celles qui me connaissent le savent. Pour moi, Twitter est un formidable outil d’information et de communication. Il m’a permis de couvrir en direct les attentats de Mumbai en 2008 et de «scooper» CNN, entre autres. Il m’a permis d’amorcer le mouvement #nomaintenance lors des élections en Iran et ainsi influencer Twitter et la Maison Blanche. Il me permet de transmettre et de recevoir quotidiennement une somme importante d’informations de nature professionnelle et puisque je suis plusieurs sources médiatiques traditionnelles et non-traditionnelles, de me tenir informé en quasi temps réel. Je me sers également de Twitter pour faire la promotion de mon blogue, c’est une évidence, mais pour que tous ces usages soient plus faciles, j’ai décidé d’éliminer moi-même tous les spammeurs et de ne pas attendre les ménages occasionnels effectués par Twitter.

Michelle parle également de Twitter comme d’une rivière: «Twitter est une rivière d’informations que je ne tente pas de boire au complet, je m’y abreuve plutôt, lorsque j’ai soif d’informations. J’ai donc intérêt à ce que ma rivière coule constamment pour y dénicher de bons filons d’infos.». Excellente image que cette description. En effet, le micro-blogging crée un «flow» d’information et de conversations: la rivière. Comme pour Michelle, je m’y abreuve et contribue aussi à l’alimenter pour ne pas qu’elle se tarisse. Cependant je tiens à ce que l’eau que je bois demeure claire et le moins possible polluée. Quant à savoir si ce réflexe est du snobisme, je n’y crois pas mais vous laisse en juger…

MAJ : Le retour de LA liste

En terminant et puisque j’en ai parlé plus tôt, je publie LA liste des blogueurs d’affaires qui compte maintenant 123 noms. Si votre nom ne s’y retrouve pas, SVP, me le faire savoir en commentaire à ce billet. Et pour ceux et celles qui sont sur Internet Explorer (IE) et qui se demandent quelles sont ces ellipses vertes, jaunes et blanches, ce sont les statuts Skype de certains bougueurs(euses).

Michelle Blanc Alain Savard Daniel Lafrenière
Martin Lessard Stéphane Hamel Vallier Lapierre
Kristina Tomaz-Young Amélie Racine Nathalie Gauthier
Yannick Manuri Benjamin Yoskovitz Tanya McGinnity
Claude Malaison Jean-Julien Guyot Diane Bourque
Philippe Martin Louis Delage François LaRoche
Benoît Descary Jean Fahmy Chantal Beaupré
Sylvain Carle Kim Auclair Karine Vezeau
Mitch Joel Sébastien Provencher Yves Carignan
Martin Ouellette Geneviève Piquette Quynh Nguyen
Pascal Beauchesne Gabriel Rodrigue Laurent LaSalle
Marie-Chantal Turgeon Barry Welford Patricia Tessier
Marc Snyder Isabelle Lopez Olivier Mermet
Heri Rakotomalala Jean-Sébastien Bouchard Luc Gendron
Geoffroi Garon Pascal Hébert Marie-Louise Gariépy
Pascal Veilleux Benoît Meunier Simon Bédard
Jean-Marc Langevin Rémi Prévost Pascal Bernardon
Josh Nursing Arnaud Mangasaryan Samuel Lavoie
Adrien O’Leary Rebecca Coggan Émilie Riverin
Patrick Jetté Stéphane Guérin Aurélie Alaume
Yves Williams Mario Asselin Colin Surprenant
Christian Aubry Pascal Beauchesne Mathieu Chartier
Vincent Abry Michael Carpentier Sylvie Bédard
Éric Baillargeon Yanick Bédard Hugues Hénault
François Aubin Andrés Restrepo Louis-David Malo
Harry Wakefield Denis Canuel Carl Blais
Jacques Warren Marc-Olivier Vachon Dominic Martineau
Kim Vallée Guillaume Thoreau Benoît Grenier
Michelle Sullivan Pierre Côté Francis Bilodeau
Pierre Bouchard Frédérick Giasson Anne-Marie Cordeau
Mathieu Bélanger Nathalie Berger Julie Fortin
Alain Thériault Patrick Tanguay Éric Noël
Stéphane Gauvin Louis Durocher Cédric Fontaine
Laurent Maisonnave Manuel Angelini Karine Miron
Bruno Boutot Martin Leclair Geneviève Lamy
Jérôme Paradis Guillaume Brunet Ahmed Galipeau
Renée Wathelet Sandrine PromTep Denis Paul van Chestein
Yannick Gélinas Isabelle Poirier Anouk Hébert
Carl-Frédéric DeCelles Martin Bittner Katheline Jean-Pierre
Tara Hunt Sylvain Grand’maison Frédéric Langis
Serge Leclerc Patrice Leroux Josée Plamondon