J’ai déjà documenté, l’an dernier, les prétentions de Phil Libin et d’Evernote de vouloir créer avec leur plate-forme, une vraie mémoire numérique. Dans l’entrevue qu’il m’avait accordée, il avait avoué qu’un de ses buts était la création de mémoires. Individuelles et collectives. Il a toujours dit qu’Evernote avait été créé pour suppléer à sa mémoire défaillante.