C’est intéressant… J’ai accroché pas sur le conférence sur la scène en avant de moi car trop occupé à écrire mais c ‘est @NathalieCollard qui m’a allumé avec un de ses Tweets: Jeff Hagins, CTO de SmartThings, qui est à Paris, allume son sapin de Noël aux ÉU grâce à une appli sur son téléphone. J’adore! #leweb12. De là, j’ai porté mon attention sur le personnage et surtout sur leur site aux USA: Build Smart Things
C’est le principe du IoT (Internet of Things) mélangé avec une communauté Web 2.0 pour développeurs, designers et enthousiastes à tout crin. Et avec en prime des concours de créativité. J’aime bien cet esprit très Côte Ouest des States, même s’ils sont basés au Minnesota, du moins ce qu’on m’a dit… Donc, esprit d’entreprise, de créativité et de communauté, tout cela appliqué À la prochaine frontière, celle de l’Internet des objets…
Je vous présente la vidéo, un peu stérile parfois, un peu «pitch de vente» aussi mais intéressante en bout de ligne. Et qui sait ? Le verra-t-on un jour à Montréal…
Et tant qu’à citer Nathalie Collard, journaliste à La Presse, aussi bien y aller gaiement avec un autre de ses Tweets pour la présentation du prochain sujet : Scott Harrison de @charitywater, à mi-chemin entre l’entrepreneur et le preacher…efficace. #leweb12. Je partage… Il est arrivé comme un preacher sur la scène, vous voyez le type de personnage. Très américain convaincu du bien-fondé de sa cause et s’auto-mortifiant au début de tous ses péchés de jeunesse avant d’avoir trouvé la VOIE. Celle-ci est l’eau en Afrique et tous les malheurs que l’eau, souvent poulluée apprte aus populations locales.
Crédits photo: Caroline Bindner
Mais bon… Au-delà des USAid et de toutes les ONG de ce monde qui vivent de la charité et de la générosité de NOUS, en prenant au passage un bon % en frais administratifs, Harrisson a réussi au moins à attirer l’attention sur le fait que son organisation verse 100% des dons aux populations locales et qu’il utilise les médias sociaux et la gélocaliation pour en apporter le preuve. Il a réussi le virage 2.0 dans le mise en ligne de ses projets. Que ce soit en crowdsourcing comme pour Yellow Thunder Drilling Rig ou encore pour la communauté Pledge Your Birthday. C’est terriblement efficace et parfois émouvant. Harrisson a projeté plusieurs vidéos de sa fondation qui ont tiré quelques larmes de Stéphanie Booth, notre «mère blogueuse».
2 Commentaires
En attendant, c’est pas dur de me faire pleurer 😉
[…] tout a commencé avec Scott Harrisson, dont j’ai parlé dans un autre billet ici. Lui, LA cause de sa vie c’est l’eau pure, l’eau potable qu’il faut […]