Il y a un nouveau «buzz» en ville… Depuis mon retour de Paris je ne cesse de répondre à des demandes «de confiance (trust)» en provenance de Spock. Mon Vulcain préféré aurait-il décidé de se recycler sur le vulgaire Web terrien 2.0 ? Bien sur que non… Puisque Spock est le nom farfelu trouvé pour la n’ième plate-forme de mise en relation sociale, 2.0 et tout le bazar… «The leading people search application» tel que décrit par son PDG, Jaideep Singh.
Comme je suis curieux de nature, je me suis inscrit à ce nouvel engin de recherche de personnes 2.0 pour m’apercevoir qu’on y retrouve rien de neuf vraiment et que pour se faire un réseau, il s’agit d’avoir les bons mots-clés. Les demandes de «trust» que l’on fait, devraient à mon avis, générer comme sur Facebook, un groupe de premier niveau de mises en relation alors qu’il n’en est rien… Tous se retrouvent pêle-mêle dans le «Network» où se retrouvent aussi des illustres inconnus. Trouver des personnes oui, mais quoi en faire ?
Et comme pour bien d’autres plates-formes du genre, on se sert des bases de données des partenaires pour grandir. Spock, vous offre d’inviter vos connaissances de LinkedIn, Gmail, Yahoo, Plaxo, AOL et Hotmail . Et comme sur Facebook ou Twitter, il y a une fonction intitulée «In the news» qui vous permet de dire ce que vous faites, le fameux «is» de Facebook… La seule particularité intéressante à mon avis mais qui n’en fera pas un succès pour autant, c’est qu’un peu comme Ziki, Spock permet d’intégrer notre présence sur le Web, soit notre blogue, notre profil LinkedIn et les résultats de recherche Google sur notre nom. Pour l’originalité, le design et surtout l’utilité, on repassera…
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