C’est Roberto Rocha, de The Gazette qui m’a mis la puce à l’oreille… C’est aujourd’hui que la plate-forme montréalaise iDivine quitte le mode beta et devient publique. Elle se définit comme «Canada’s First Social Network for Women».
Drôle de coïncidence car TechCrunch, version française publie justement aujourd’hui un billet sur 17 startups canadiennes et ce sous les claviers combinés de Vincent Abry et Ouriel Ohayon. 17 c’est bien peu car il y en a bien plus… J’avais publié le 17 mars dernier,un état des lieux du Web 2.0 au Québec. J’en dénombrais alors 55…
5 Commentaires
17 versus 55:ils ne doivent pas avoir tes – bonnes – sources!
Pour ce qui est de iDivine, même si c’est le genre de site qui plaît, je regrette qu’une fois de plus, un site féminin ne fasse appel qu’à notre côté futile, potins, horoscopes, mode et j’en passe. C’est rigolo de lire les nouvelles « people » mais bon, je crois que les femmes ont maintenant d’autres préoccupations…
iDivine était le prétexte pour parler de TechCrunch et des autres sites 2.0 canadiens. Mais bon.. J’avoue que ce site est un peu…frivole. Patricia est plus radicale dans son jugement 🙂
Je n’en doute pas ;)- mais que veux-tu j’ai un peu de difficulté avec les sarcasmes…
@Renée @Claude: Il ne s’agit pas de sarcasme mais bien de ras-le-bol de voir comment on utilise encore le réductionnisme face à la Femme. Je suis tout aussi enragée de voir que le Magazine Les Affaires dans son supplément pour la rentrée ne parle que de mode et intérêt masculin. Comme si les femmes en affaires ça n’existait pas. Les femmes ont des intérêts multiples et c’est ok d’avoir un site dédié à la mode et autres sujets légers. Tous les sites ne sont pas obligés de traiter de finance ou de sport. Sauf que où je pète un plomb c’est quand on prétend traiter finance et que l’on propose aux femmes, dans cette section, de bien se demander, avant d’acheter un morceau, si elles en ont vraiment besoin et où dans la section sport l’article principale porte sur l’étiquette au gym. Dans ces cas là, on nivelle vers le bas!!! On semble croire qu’une femme qui aime la mode ne peut pas avoir suffisamment de tête sur les épaules pour se poser des vrais questions sur les finances personnelles ou sur le sport… Bon… je me calme…
Patricia, je ne peux que t’applaudir pour avoir dit tout haut ce que je pensais tout bas… 🙂