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La parole citoyenne se fera-t-elle racheter en 2007 ?

3 janvier 2007

La fin de l’année 2006 et le début de 2007 sont vraiement marqués par l’impact des nouvelles technologies de communication et  l’explosion du Web social dans la sphère médiatique traditionnelle. Encore ce midi, à Radio-Canada (radio), une émission spéciale de Maisonneuve en direct avec pour thème : Les nouvelles technologies et vous Internet, téléphones cellulaires, télévisions à haute définition, baladeurs numériques : la technologie est de plus en plus présente dans notre société. Quelle place les nouvelles technologies occupent-elles dans votre vie? Et comme toujours, il y a les pour et les contre. À chaque bout du spectre, les «early adopters» et les réfractaires. Ceux pour qui les nouvelles technologies ont et vont avoir un impact positif et même révolutionnaire sur notre société, sans pour autant nier que ces changements ne se font pas sans heurts et déviances… Mais il y a les autres… Ceux pour qui la technologie annonce Big Brother et pire encore… La Matrice ! Et bienvenue dans la paranoïa !

Comme vous vous en doutez, je me situe parmi les optimistes… Avec ceux qui voient déjà l’impact immense des nouvelles technologies sur notre vie de tous les jours (en bien comme en mal mais surtout en bien) et aussi sur nos institutions et sur les entreprises. La démocratie un peu plus directe, la parole publique libérée des grands médias de masse, la perte de pouvoir des multinationales, l’économie de la multituide (Long Tail),  l’horizontalisation de la hiérarchie et la collaboration au sein des entreprises. Rien de tout cela n’était encore apparent il y a quelques années seulement. Rappelez-vous la morosité de l’après-bulle en 2001

Je ne ferme cependant pas les yeux sur le phénomène de récupération en cours… Google qui achàte YouTube pour 1,6 milliard $US, NewsCorp. qui a acheté MySpace en 2005 pour 580 millions $US ou encore Flickr acheté en mars 2005 par Yahoo pour 41,7 millions $US. D’ailleurs, la plus récente édition du magazine Wired fait son petit palmarès des 10 entreprises qui sont plus belles «proies» pour de possibles acquisitions en 2007. Facebook, compétiteur de MySpace aurait ainsi refusé une offre de 750 millions $US avec l’espérance de faire sauter la caisse à 2 milliards $US !!! Les autres entreprises citées : Digg, Techmeme, Wikipedia, Zillow, Technorati, WordPress, Feedburner, 37signals et Riya. De tout ce groupe. une seule entreprise, comme le village gaulois bien connu, résiste à la tentation des $$$ et c’est Wikipedia. Son fondateur, Jimmy Wales y est farouchement opposé. En fait, il refuse même les bannières publicitaires sur son site.. La nouvelle parole citoyenne se fera-t-elle racheter et baillonner en 2007 ? À suivre….Tags: Tags: Tags: Tags: Tags:

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La déferlante sociale…

28 décembre 2006

De retour au clavier, je vous souhaite, à l’avance, une Année 2007 faite de plénitude et de nombreux accomplissements, tant personnels que professionnels…Je vous avais déjà parlé dans une autre chronique de l’édition de juillet de la revue Business 2.0. Dans cette édition, l’équipe éditoriale avait rescencé les 50 personnes les plus influentes des affaires et des nouvelles technologies. Et bien avant Bill Gates, Steeve Jobs ou Larry Paige et Sergey Brin, l’équipe avait choisi VOUS comme personne la plus influente. Vous en tant que créateurs de contenus sur le Web. Vous en tant que principaux acteurs su succès des plates-formes de Web social telles que My Space, You Tube, LinkedIn, Wikipedia, Technorati et tous les blogs de ce monde (70 millions selon certains..et 1 300 personnes à la Grande messe du blog à Paris en décembre Le Web3-Paris.)

Eh bien, la déferlante sociale se poursuit en enfle à en devenir un Tsunami… Ainsi, la «vénérable» revue Time vient de publier son édition de janvier. C’est une tradition : À chaque année, Time nomme LA personnalité de la dernière année à la grandeur de la planète…Pour 2006, pas de Georges Bush, de Bono, de Kim Jong-il, de Mahmoud Ahmadinejad, de Hugo Chavez ou de Tiger Woods, non… Vous avez deviné ? OUi, oui… Times VOUS a nommés personnalité mondiale de l’année pour les mêmes raisons que Business 2.0. Je laisse l’équipe éditoriale vous l’expliquer dans leurs mots : «It’s a story about community and collaboration on a scale never seen before. It’s about the cosmic compendium of knowledge Wikipedia and the million-channel people’s network YouTube and the online metropolis MySpace. It’s about the many wresting power from the few and helping one another for nothing and how that will not only change the world, but also change the way the world changes.».

À lire, donc, cette édition papier ou en ligne. On y retrouve également plusieurs articles connexes sur le «Power to the people», sur You Tube et le phénomène Lonelygirl, déjà traités plus tôt cette année par Wired.  Tags: Tags: Tags: Tags: Tags: Tags:

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Le palmarès du Web !

20 décembre 2006

Êtes-vous allés dernièrement sur le site d’Alexa récemment ? Non ? Vous devriez. On y retrouve le clasement des 500 plus importants sites Web de la planète… Et qui vient en tête selon vous ? Non, ce n’est pas Google mais toujours son concurrent Yahoo! et ce, malgré que Google dépasse Yahoo! en termes de % sur le marché américain en termes du nombre de recherches… Google amasse 35% contre 27% pour Yahoo!. Ce dernier a toujours le plus de visites uniques avec 111 millions par jour contre 61,5 pour Google.

Dans le domaine, surveillez cependant un inconnu pour beaucoup jusqu’à maintenant mais qui fera parler de lui dans les prochains mois/années soit Baidu. Fondé en 2000, le moteur de recherche chinois, dont le nom veut dire «des centaines de fois» et qui est tiré d’un poème du 12e siècle,  est classé quatrième de la liste d’Alexa, juste derrière les trois grands, soit Yahoo!, MSN et Google… Les chiffres ne sont pas encore aussi impressionnants que les autres géants mais même fortement censuré, il offre tout de même plus de 740 millions de pages Web, 80 millions d’images et 10 millions de fichiers multimédias.

Je vous pose une autre devinette : Qui suit les quatre premiers qui sont très portails et recherche ? Je vous le donne dans le mille : MySpace bien entendu…Suivi tout juste derrière par YouTube… Dans les sites de Web 2.0, Wikipédia vient au 12e rang alors que Bloggers.com vient au 16e rang. Les autres sont loin derrière. J’ai été surpris de retrouver Flickr au 37e rang seulement et de ne par retrouver Technorati dans les 100 premiers ! Par contre et contre toutes attentes on retrouve la plate-forme ORKUT en 8e position en hausse de 9 places ! C’est quoi Orkut ? C’est un site de mise en relation sociale avec fonctionnalités de blog du type de Vox. Et fait à ne pas négliger, c’est que Orkut fait partie de la ferme de services Web de Google. Voilà, tout s’explique !!!  Tags: Tags: Tags:   Tags:   Tags:

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Plus ça change, plus c’est pareil…

18 décembre 2006

Réflexion sur les sites de mise en relation sociale. Dans le phénomène du Web 2.0, on a souvent tendance à mettre toute la visibilité sur les plates-formes telles que My Space, You Tube, Flickr ou Technorati. Tous des sites d’exposition de soi mais on oublie facilement qu’il existe aussi un autre prénomène en pleine croissance soit les sites de mise en relation personnelle, du style Réseau Contact, où bien sûr, on y va et on s’y inscrit pour chatter mais aussi parler avec les autres, à la recherche, soit de l’âme soeur ou simplement d’un partenaire sexuel. Cette plate-forme, avec en moyenne 4 000 personnes en ligne simultanément,  dans son offre et dans sa complexité de fonctionnalités, n’a rien à envier aux autres tels LinkedIn.

Pourtant ils sont les mal-aimés du Web 2.0. Rarement fait-on allusion à ces sites et à ce qu’ils véhiculent, qui finalement, n’est rien d’autre qu’une autre façon de s’exposer, d’entrer en relation, de briser la solitude. Je vous le dis car j’ai fait récemment l’expérience. Une de mes bonnes amies m’a convaincu d’y aller et de devenir membre. «Voyons donc ! Toi LE spécialiste de la communication interactive, tu n’es jamais allé sur un site de rencontres ?» L’argument porte…. Et je dois avouer que c’est fascinant comme MySpace, LinkedIn et Réseau Contact se ressemblent. Tout est question de réseaux de connaissances et de réseautage mais dans des buts différents.

Autre remarque concernant les plates-formes de mise en relation «amoureuse» : On y retrouve les mêmes comportements qu’au bar ou la disco. Les hommes doiuvent proposer et les femmes disposer… C’est aux hommes de sélectionner les profils de leur choix et ensuite de construire un message pour la femme de leurs rêves. À elles de recevoir et de répondre ou pas. Cela vous rappelle-t-il de bons ou mauvais souvenirs ? En fait, rares sont les femmes qui prennent les devants et qui envoient des messages avant d’avoir, au préalable été sollicitées. Les rapports entre êtres humains restent les mêmes, technologie ou pas…Tags: Tags:

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Finies les vacances !

16 décembre 2006

De retour de Paris et de la conférence le Web3. Non, non, je ne vous parlerai pas de cette conférence ou de son organisateur Loïc Le Meur. Je tiens plutôt à faire une rapide revue de presse… Dans l’avion de retour, je n’ai pas écouté mon iPod ou préparé ma prochaine chronique sur ce blog. Non… J’ai fait comme un peu tout l’monde et j’ai lu le journal et les revues spécialisées.

Je retiens à votre attention deux publications : D’une part la revue Wired, édition décembre 2006. Encore une fois chapeau à la revue «branchée» américaine qui nous propose, entre autres, une trilogie sur la vidéo en ligne. Trois articles, trois auteurs et je vous suggère de les lire en ordre : The You Tube Effect par Bob Garfield, The SecretWorld of Lonelygirl15, par Joshua Davis et And Now, a Word From Our Customers de Frank Rose. Le premier est le meilleur des trois, le plus fouillé avec chiffres et statistiques à l’appui et explique en détails, non seulement le phénomène d’exposition de soi que constitue You Tube mais aussi son impact sur l’industrie de la vidéo, de la télé mais surtout de la publicité. On dit toujours que les plates-formes du Web 2.0 n’ont pas dee modèle(s) d’affaires et que la publicité va les tuer. Garfield passe en revue tous les arguments et apporte des débuts de réponses.Fascinant… Celui de Frank Rose est pas mal lui non plus et explique les dangers que les publicitaires traditionnels courent quand ils décident de faire une campagne de pub en utilisant la philosophie et les outils du 2.0.

D’un autre côté, tous les journaux, en sections technologies ou économie, titraient sur l’alliance entre IBM et Yahoo. Voici les deux premiers paragraphes tirée d’une dépèche de l’AFP et repris par plusieurs dont La Tribune.fr :«Les deux groupes se sont alliés pour lancer un moteur de recherche gratuit destiné aux entreprises, pour faire des recherches internes sur leurs documents stockés sur intranet ou internet. Yahoo! et IBM entrent ainsi en concurrence avec Google et d’autres sociétés spécialisées comme Autonomy Corp. ou Fast. Les groupes IBM et Yahoo! se sont alliés pour lancer un moteur de recherche gratuit destiné aux entreprises, pour faire des recherches internes sur leurs documents stockés sur intranet ou internet, ont annoncé mercredi soir les deux groupes dans un communiqué. Cet outil, baptisé IBM OmniFind Yahoo! Edition, aide les entreprises à effectuer des recherches de leurs données, tant sur intranet que sur internet, et sera téléchargeable gratuitement». OUF ! pour Google, Autonomy et Fast…

Un moteur de recherche gratuit pour les intranets, toute une aubaine pour plusieurs entreprises qui paient présentement des fortunes pour faire fonctionner tant bien que mal tous les Verity de ce monde !!! Et je ne parle même pas de toutes celles qui n’en ont pas encore. Reste à voir comment réagiront les départements de TI… Tags: Tags: Tags: Tags: Tags:

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Y a-t-il un futur après MySpace ?

8 décembre 2006

À cette question, la réponse est évidente : OUI. Et ce futur sera décliné en des milliers ou en millions de micro-MySpace…Et celui qui prépare activement la nouvelle phase de la révolution sociale n’est nul autre que l’ancien CEO d’Intermix alors propriétaire de MySpace, Richard Rosenblatt. Depuis la vente de la méga plate-forme à Rupert Murdoch pour 580 millions $, Rosenblatt n’a pas pris de sabbatique ni de longues vacances dans une île perdue dans le Pacifique Sud. Il a plutôt fait travailler ses neurones. Et c’est en lisant l’édition de décembre 2005 de la revue Business 2.0 et en particulier l’article intitulé «Masters of thier Domains» que l’inspiration lui est venue : Acheter le plus de noms de domaine possible et les jumeler à une plate-forme générique de mise en relation. Les utilisateurs viennent à ces DNS en les tapant directement ou en faisant des recherches ou encore de façon virale, arrivent sur des sites en devenir qu’ils peuvent bâtir, personnaliser, mettre à leur image et remplir de leur propre contenu, créant ainsi des communautés-niches verticales de contenu qu’un wiki permet ensuite d’enrichir de la contribution des membres de la petite communauté.

Comme le fait remarquer Rosenblatt, il y a 70 millions de blogs actuellement  et 110 millions de membres sur MySpace donc on sait que les gens veulent publier du contenu sur Internet. Pour lui, il suffit de leur donner une plate-forme 2.0 avec DNS à la clé et hop ! Chacun peut concevoir une mini plate-forme Web, style MySpace. Une grosse différence cependant selon Rosenblatt. LE MySpace est basé sur ce que l’individu veut montrer aux autres. Les micro-MySpace seront basés sur ce que les individus savent et veulent partager.

Une idée qui est loin en avance sur la tendance actuelle de tout ce qui se fait dans le monde du Web 2.0. Mais comme Rosenblatt a une réputation dans le milieu, il n’a pas eu de difficultés à vendre son idée. Il a créé Demand  Media et convaincu les «venture capitalists» de pomper 220 millions $US dans cette aventure. Et ce n’est qu’un début… Il y a déjà plein d’investisseurs, parmi ceux qui ont raté l’achat de MySpace ou de You Tube, qui cognent déjà à la porte de Demand Media. On estime déjà la valeur de la compagnie à plus de 500 millions $US et Rosenblatt parle, tout esquissant un léger sourire, que Demand vaudra, au bas mot, 2 milliards $US en 2008 ! Tags: Tags: Tags: Tags: Tags: Tags:

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Quand le Web 2.0 flirte avec le Gaming…

4 décembre 2006

Tout le monde en parle depuis quelques jours : Le fondateur de Napster revient aux affaires. Shawn Fanning veut créer et là ce n’est pas clair, tout dépendant qui en parle, une société ou une plate-forme de Web social «dite» Rupture...Chose certaine, la nouvelle création du fondateur de Napster sera destinée aux adeptes des jeux en ligne.  Le premier jeu ciblé serait World of Warcraft. Pourquoi WoW ? Il semblerait que ce soit à cause des difficultés de Fanning de communiquer avec ses comparses de WoW. Bien connu dans le milieu des nouvelles technologies, Fanning n’aurait eu aucune difficulté à trouver du financement auprès de plusieurs «business angels», dont un, selon certaines sources, avait déjà participé au financement de Napster. Selon un article paru dans le JdN, le réseau social serait mis en ligne dans la première moitié de 2007. Des testeurs pour la future bêta privée seraient même en cours de recrutement. De son côté, le site Gamespot a tenté de rejoindre Blizzard Entertainment, les propriétaires de WoW pour commentaires mais sans succès…Tags: Tags:   Tags: Tags:   Tags:

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Quand les Blogs font des petits…

2 décembre 2006

En juillet dernier, selon le Blog Herald, il y avait près de 70 millions de blogs dans la Blogosphère mondiale et selon Technorati, le nombre augmente de 80 000 par jour. En fait, il se crée un blog à chaque seconde !!! Cette popularité et cette viralité sont très «Web 2.0» et elles confirment la vague des plates-formes ou sites avec le contenu généré par les utilisateurs. Elle confirme aussi l’apparition, pour le meilleur ou pour le pire, de la parole citoyenne. L’information n’est plus l’apanage des gannds médias et des journalistes. Des blogeurs comme Loïc LeMeur ou Markos Moulitsas deviennent des stars de l’information. Mais le blog, défini comme «un site ou un carnet Web personnel tenu par une ou plusieurs personnes, qui s’expriment selon la périodicité de leur choix et sur les sujets de leux choix sous la forme de billets ou notes (posts) et souvent enrichis par des hyperliens et éléments vidéo et sur lesquels chaque lecteur peut laisser des comnmentaires»et la Blogosphère, évoluent déjà vers d’autres horizons…

Déjà, la compagnie Six Apart (dont fait partie Loïc LeMeur à titre de VP Europe) a lancé sur le marché une nouvelle plate-forme nommée avec pertinence VOX. Cette dernière intègre le blog à la plate-forme de mise en relation sociale de type MySpace (partage de journal intime, de vidéos et de photos), de façon à rejoindre une autre clientèle : la famille et les amis. On parle de vidéo ? Il y a donc aussi des Vlogs… Il s’agit essentiellement de blogs qui intègrent la vidéo. On parle maintenant de ces vidéos comme étant des Podcasts… Autre hybridation du blog : les Blikis… Le terme le dit. Il s’agit de faire un blog mais de le doter du potentiel de collaboration du Wiki. À partir de la publication d’un billet dans un blog, on donne la possibilité à des groupes ou à toute la communauté d’éditer le même billet, de le modifier et/ou de l’enrichir… Après ces hybridations viendra bien autre chose… En fait cette «autre chose» n’est pas très loin de se matérialiser !

L’avenir du blogue réside probablement dans les Lifelogs.  Ce terme origine d’un projet de l’«Information Processing Technology Office» et du «Defense Advanced Research Projects Agency» chez nos voisins du Sud. Il s’agit d’un projet basé sur un système orienté-ontologies qui capture, stocke et rend accessible tout le bagage et l’expérience de vie d’une personne ainsi que ses interactions avec le monde afin de nourrir des agents intelligents et autres potentialités du système. Le but est que le système puisse ensuite «suivre» la personne, de tracer des «fils de vie» en termes d’événements, d’états d’esprit et d’interrelations humaines et de «proposer» des changements et/ou améliorations. Pour compiler la base de données nécessaire et ainsi créer un «Carnet de vie», le système suit systématiquement toutes les activités électroniques de l’individu, des transactions par carte de crédit aux courriels en passant les appels cellulaires, le sites Web visités, les déplacements enregistrés par sondes GPS, les dossiers médicaux, les données biométriques, etc.

Bloguer sa vie, être constamment présent sur le Web et être constament visible en tout temps et en tous lieux a son lot de dangers :  Big Brother et La Matrice ne sont pas loin derrière…Tags: Tags: Tags: Tags: Tags: Tags:

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Fallait bien que ça arrive un jour…

28 novembre 2006

Que le virtuel rejoigne le réel dans ce qu’il a de plus sombre… Vu sur Wired News ce matin, un reportage signé Noah Shachtman et qui retrace l’histoire du premier meurtre sur MySpace… En fait on ne peut pas tuer sur un site de mise en relation sociale mais on peut y vivre toutes les circonstances qui vont amener à l’acte réel. C’est ce que relate M. Shachtman en plus de fournir et c’est là aussi une première, un ensemble de pièces à conviction. Comme le disent les chinois, «Chilling»…Tags: Tags:

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Viaduc devient Viadeo

25 novembre 2006

Ici en Amérique du Nord, la plate-forme de mise en relation professionelle par excellence est sans aucun doute LinkedIn. Mais en Europe et en particulier en France. c’est Viaduc. En fait, c’était Viaduc… Depuis le 25 novembre, cette palte-forme a pour nom VIADEO. Pas de carpettes rouges déroulées, pas de grand cirque médiatique… Une sinmple mise à jour des fonctionnalités et des services et on en a profité pour changer de nom, «by the way»… Viadeo aura-t-elle la même rythme de croissance que Viaduc qui enregistrait, selon les derniers relevés, plus de 750 000 membres ? Tags: Tags:

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L’émergence du «Crowdsourcing»

20 juillet 2006

Dans une récente édition du magazine Wired paraissait un long reportage de Jeff Howe sur un nouveau phénomène social en plein essor, particulièrement aux USA, où la vague des médias sociaux est la plus forte. Ce phénomène c’est le «crowdsourcing» ou la dématérialisation des individus en opposition à l’«outsourcing» qui implique la délocalisation des emplois.

Le prénomène est encore jeune mais déjà, on peut dire qu’il aura une influence énorme sur les entreprises traditionnelles. En effet, les médias sociaux permettent déjà à n’importe quel individu de publier du contenu sur le Web. Ainsi, au fil des dernières années, il s’est créé de nombreuses communautés d’intérêt avec des centaines de milliers sinon des millions de membres, ex : MySpace… Alors, pourquoi ne pas offrir à ces millions de personnes, la possibilité de solutionner des problèmes de R&D d’entreprise ? Le pas a été allègrement franchi  par de nouvelles compagnies du Web 2.0 qui offrent à leurs membres de la mettre en relation avec des entreprises qui elles, cherchent des solutions àleurs problèmes. Souvent, ces entreprises n’ont simplement pas le moyens de se payer un service de R&D mais dans d’autres, elles cherchent à faire des économies dans ce secteur. Ces nouveaux sites collaboratifs ont pour nom Innocentive ou YourEncore et attirent des professionnels à la recherche de nouveaux défis intellectuels ou encore de retraités à la recherche d’un emploi à temps partiel.

Les deux sont d’ailleurs possible. Dans les modèles d’affaires proposés, il y a de ces sites où les membres résolvent les problèmes gratuitement mais il y en a d’autres où les compagnies en mal de solutions peuvent payer entre 5 et 25 000 $ à celui qui résoudra leur problème. Ce phénomène peut avoir un tel impact social que Chris Anderson, toujours de Wired, parle d’une nouvelle révolution sociale de la magnitude de la révolution industrielle ou celle de l’Information. Il la qualifie d’«Age of Peer Production».

La globalisation, le travail basé sur le savoir et l’innovation, l’entreprise aux processus webifiés, les communications numériques et les sites à contenus générés par les usagers auront théoriquement libéré les employés leur permettant d’exploiter leur expertise où bon leur semble et AVEC QUI BON LEUR SEMBLE. Le travail devient lieu-neutre et la collaboration devient virtuelle plutôt que physique. Toutefois, ce paradigme est nouveau pour les entreprises ce qui impose des défis importants de reconversion (R&D), un nouveau style de gestion et des solutions technologiques novatrices.

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Qui est la personne la plus influente du Web ?

20 juillet 2006

Vous êtes-vous déjà posé cette question ? Qui en effet, est la personne qui exerce son influence de façon marquante sur le Web en ces années post 2001… Est-ce Bill Gates ? Steve Jobs ? Ou encore Larry Page et Sergey Brin de Google ? Eh bien, ni l’un ni l’autre… Le magazine Business 2.0 a fait cet exercice dans sa dernière édition et a listé les 50 personnes les plus influentes du Web présentement. Et surprise ! Ce ne sont pas Gates, Jobs et les autres qui arrivent en tête de ce palmarès très sélect. Selon le magazine, la personne la plus influente du Web, c’est : VOUS !!! Le consommateur en tant que créateur. Business 2.0 reconnaît donc le phénomène du Web 2.0 et des médias sociaux où les individus et les collectifs d’individus ont dorénavant davantage de pouvoir que les entreprises traditionnelles. Tous ceux qui créent continuellement de nouveaux contenus écrits, visuels et/ou sonores sont au centre du mouvement qui va bien au-delà d’une simple mode. D’ailleurs, Chris Anderson de Wired parle de «People Power» et parle déjà d’une nouvelle révolution, aussi importante que les trois révolutions précédentes soit la première révolution industrielle (Vapeur) la seconde révolution industrielle (Chaîne de montage) et l’ère de l’information avec le silicone et les puces informatiques. Cette quatrième révolution, c’est «The Age of Peer Production» littéralement une armée d’amateurs qui sont heureux de produire et de travailler sur le Web et ce, gratuitement. Déjà des compagnies y voient la voie collaborative du futur. Une voie qui risque de leur rapporter gros et à peu de frais.

Déjà, on parle de «crowdsourcing» en opposition au «outsourcing».