Parti samedi de Montréal pour Paris, arrivé moins de six heures plus tard à l’aéroport Charles-de-Gaulle, sur un vol d’Air France et curieusement par dans un Airbus mais dans un Boeing 777, le format tout juste plus petit que le 747, mis en service en 1994.
Demain, nous allons passer aux choses sérieuses (Yulbiz et conférence LeWeb3) mais je voulais vous parler de ce vol. de la qualité du service des agent(e)s de bord, de la qualité de la nourriture et des boissons (pas d’ustensiles en plastique et champagne en classe économique, voir photos ci-dessous) de l’espace en classe économique qui équivaut presque celui de la classe Club sur Air Transat ou de la classe Affaires sur Air Canada et finalement des mini-terminaux logés dans chaque dossier de siège et qui donnent accès non seulement aux films, mais à toute une gamme de services, jeux vidéos inclus.
Bien sûr, on en est pas à WoW mais quand même… Ces terminaux de nouvelle génération équipent 81 compagnies aériennes à travers la planète, dont Air France et malgré mes fréquents voyages, c’était la première fois que j’entrais en contact avec ces interfaces tactiles. Fini les écrans au plafond de l’appareil et surtout fini les deux seuls choix entre les deux films du jours et les postes de radio et le fréquence du pilote…
Et la beauté de la chose c’est que les 81 compagnies qui utilisent ces terminaux le font avec la compagnie québécoise DTI Software, compagnie ayant pignon sur rue à Montréal avec Nick Bélanger à titre de PDG et Louis-Bélanger-Martin à titre de vice-président directeur. Juste une note discordante. Mon terminal a gelé durant la projection du film «Bourne Supremacy» et malgré les efforts des agents de bord et de multiples «réinitialisations», il est resté en panne pour le reste du vol. Problèmes de jeunesse ???
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