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Le cellulaire et la violence à l’école(sic…)

6 mars 2007

Le «happy slapping», traduit par les Français par «vidéo lynchage», cela vous dit quelque chose ? Non ? Eh bien, le vénérable quotidien Le Devoir en fait ses choux gras aujourd’hui avec un titre à la Une avec photo couleur sur deux colones s’il-vous-plaît ! Il s’agit là d’un phénomène marginal né en Angleterre en 2004 et digne des «hooligans»… En fait, il s’agit d’agresser quelqu’un et de filmer l’action pour ensuite diffuser le tout sur Internet. Du «Jackass» à l’envers quoi…

La photo parue dans Le Devoir 

Mais ce qui semble plus scandaliser Le Devoir c’est que le phénomène aurait muté et investirait nos bonnes écoles… Et la journalistede citer un «spécialiste en communication sociale» du nom de Jo Mulanba Katambwe qui enseigne à l’UQ de Trois-Rivières «…ce phénomène qu’il qualifie d’épidémie, est d’autant plus alarmant qu’il ne restera pas marginal». Et on cite en exemple deux cas, l’un au Saguenay et l’autre à Gatineau, où aux deux endroits, les étudiants ont essayé de faire perdre patience au prof. pour ensuite le filmer et mettre le tout sur YouTube.. Et le pire, c’est le titre du Devoir à la Une : «Le cellulaire entre dans l’arsenal de la violence à l’école» Ouf…

Évidemment, beaucoup de salive avant d’en arriver à l’évidence. Pas de cellulaires en classe, pas de «happy slapping»…Cela se fait déjà de façon volontaire dans plusieurs institutions d’enseignement et ce n’est que logique… Vous n’aimeriez pas, comme prof, vous faire déranger à tout bout de champ par les sonneries des téléphones de vos élèves, y compris le vôtre ? Donc tous les cells. à OFF en entrant et arrêtons de démoniser les jeunes et leur utilisation de la technologie !

Et le prof, lui aussi, peut faire de la vidéo. Un con en classe sera toujours un con sur YouTube

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La politique aura-t-elle raison de la Blogosphère ???

4 mars 2007

Deux exemples : Un au Québec et un autre en France… Le premier a trait à tout ce qui grouille et grenouille autour de la campagne électorale au Québec.Tous les partis ont des sites Web plus ou moins bien faits et à ce qu’en rapporte Michel Leblanc, ce serait le Bloc Pot qui aurait le meilleur ! Les partis ont aussi et maintenant des blogs, certains font des podcasts et certains comme le parti Libéral du Québec ont même tenté d’inciter les blogueurs à faire la promo. de leur programme, dixit Magalie Laliberté du PLQ et rapporté par Tristan Péloquin de LaPresse.

«Je sollicite votre participation en tant que membres du Parti libéral ou sympathisants, peut-on lire. Nous formons une équipe de jeunes (20-35 ans), prête à véhiculer les idées et valeures (sic) du PLQ au sein des nouveaux médias que sont les blogues.»

Bien sûr, cela a mis le Directeur Général des élections du Québec (DGEQ) sur le gros nerf. Ce dernier ne connaît pas le Web ou du moins les phénomènes de masse sur le Web qualifiés de 2.0. Il a ainsi fait enlever des vidéos dites partisanes de YouTube pour ensuite rendre une décision favorable ces jours-ci en faveur d’un blogeur de centre-droite.

Caricature visuelle sur la liberté d’expression parue sur le blog de Florence Meichel

Comme le dit Mario Asselin sur son blog :

«… la principale conclusion à tirer de cette première semaine de campagne est que les partis politiques n’étaient visiblement pas plus prêts que ne l’étaient les dispositions législatives du Québec dans ce contexte où les usages d’internet ne cessent de croître.».

Ce qui fait que la législation sera revue, inévitablement et pariez sur un «encadrement» plus serré de la participation citoyenne sur Internet (le DGEQ parle déjà de statut d’intervenant particulier). Et pariez que la presse traditionnelle ne se fera pas prier pour commenter et prendre partie !

Plus de commentaires, que faire ???

Le second vient de France et là aussi c’est du sérieux… Plusieurs connaissent Loïc Le Meur, un des blogeurs français les plus connus et lus. Ce dernier a pris ouvertement partie, dans la présidentielle, pour le candidat de la droite, Nicolas Sarkozy. Sur son blog mais aussi dans Second Life, où il a créé une île pour le candidat, une île où entre autres, on tient des débats. Jusque là, rien d’extraordinaire en soi… Ce qui l’est plus, c’est que l’ami Loïc vient de décider de fermer son blog aux commentaires, ce qui constitue dans la blogosphère, un crime de lèse-majesté.

Dans un podcast, il explique que son blog est devenu «ingérable» avec quotidiennement 500 commentaires dont 50% de trolls. Aussi des commentaires qu’il qualifie d’insultants et parle de son blog comme d’un endroit où on propageait des fausses rumeurs et des propos décalés par rapport aux sujets traités. En fait, son engagement dans la campagne électorale y est pour beaucoup. Dans une campagne tous les coups sont permis et il en fait l’expérience…

Bien qu’il se défende de couper la conversation et dise chercher des issues comme un Google Group ou encore un blog modéré «comme sur Second Life», il n’en demeure pas moins que son blog n’en est plus un. Du moins au sens littéral et idéologique. Ce qu’il tente de faire maintenant c’est d’animer des communautés d’intérêt virtuelles en mode forum… Dommage… En voulant amener la Blogosphère à un rôle plus actif et important dans le débat politique, Loïc a peut-être donné l’occasion à la politique et au pouvoir de récupérer, de pervertir et corrompre une initiative à l’origine citoyenne et démocratique….

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À quoi ressemble Internet 2 ou Web 2.0 ?

27 février 2007

Aujourd’hui, je voudrais partager avec vous une réflexion qui origine de Michel Cartier et du fruit du travail de veille technologique des membres du Réseau Constellation, dont je fais partie. Cette réflexion prend forme d’un texte et d’une présentation qui sera faite an avril prochain à Paris dans le cadre de la conférence Intracom. «L’histoire de notre société progresse par bonds et, chaque fois, elle s’est dotée d’un nouvel outil de communication afin de faciliter ces passages : l’imprimerie, la radio et la télévision, par exemple. Actuellement, notre société est en mutations profondes et cette fois-ci l’outil de notre changement sera Internet. Comme les outils précédents, il sera le multiplicateur de nos mutations et aussi le miroir de ce que nous devenons : YouTube, Flickr, My Space, par exemple. Plus qu’un réseau, Internet 2 modifiera la démocratie, la culture et l’économie ; plusieurs parlent même de 5e pouvoir. Il devient important de mieux connaître cet outil.

Les deux questions les plus fréquemment posées sont En quoi est-il différent d’Internet 1 ? Et Quel est son futur ?

Les trois générations Internet

Internet 1
C’est en connectant ensemble les ordinateurs (vers 1980) et en leur fournissant un système d’adresse (vers 1990) que l’Internet 1 a vu le jour. Son mode était de type broadcast. c’est-à-dire permettant aux appareils de communiquer.

Internet 2
La convergence des telco, câblo et satellites a commencé à développer l’Internet 2 (vers 1995) auxquels s’ajoutent (à partir de 2000) le sans-fil, le GPS et les circuits RFID, créant un espace beaucoup plus complexe parce que mobile et personnalisé. Bientôt, s’ajouteront la TVHD et ses normes, et encore plus de largeur de bande (à partir de 2007). Son mode est de type narrowcast, c’est-à-dire qu’il favorise la création des niches et permet aux réseaux de communiquer entre eux.

La conférence Next Web à Amsterdam

Différents mots sont utilisés pour décrire cette génération : Web 2.0, Next Web, One Net, Third Generation technologies, augmented reality, peopleware, pervasive computing, multiplateforme, intégration verticale, e-Transformation, plurimédia, etc.

Internet 2 est la suite du Battlefield Internet développé pour l’armée américaine lors de l’envahissement de l’Irak.

Internet 3
Il est déjà en préparation dans plusieurs laboratoires américains (voir le Metaverse Roadmap par exemple). Dans les officines, on le connaît sous le nom de The Next Big Thing.

Son mode IP Everywhere (c’est-à-dire always connected) permet à tous les utilisateurs de communiquer entre eux, le protocole IPv6 (en développement) permettant à tous les appareils actuels et à venir de se connecter ensemble vers 2010. Il sera encore plus puissant et hybride que les précédents : sur mesure, géopositionné, transparent et dématérialisé, c’est-à-dire imbriqué dans l’environnement.

L’industrie Internet

Actuellement, l’industrie Internet est composée d’un quinzaine de secteurs d’activités, chacun possédant son histoire et ses marchés, comme on le voit dans le tableau suivant. On réalise que beaucoup de nos activités quotidiennes ont comme support les TI, et qu’aux techniques actuelles s’ajoutent des innovations que nous utiliserons bientôt (colonne de droite dans le tableau).

Conclusions provisoires

  • À chaque génération, Internet acquiert plus de puissance et se rapproche de l’utilisateur par sa plus grande convivialité et visualisation.
  • La quantité des applications et des innovations est telle que nous avons l’impression d’une accélération phénoménales des TI (ralentie par les résistances sociales) ainsi que d’un haut taux de pénétration auprès du grand public.
  • Chaque nouvelle génération technologique développe en fait une extension de l’espace marchand et modifie le modèle économique.
  • Les promoteurs vont bientôt nous offrir un ultra-haut-débit quasi-gratuit pour favoriser la consomation. Leur but ultime : faire de la mondialisation notre futur (?)»

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L’Internet…En deux sondages…

26 février 2007

C’est la saison des sondages… Je ne veux pas parler des sondages politiques ni de la campagne électorale sur le Web, d’autres blogeurs comme Michel Leblanc le font très bien… Je veux parler de deux sondages parus récemment, un au Québec et un autre aux USA et qui portent tous deux sur nos habitudes «webifiantes» et «sans-filisantes». Le premier est celui orchestré par le CEFRIO, cet organisme qui a pignon sur rue à Québec et qui aide les organisations à être plus productives en utilisant les technologies de l’information comme levier de transformation et d’innovation. Son directeur Enquêtes et Veille stratégique, Éric Lacroix vient de rendre public son bilan de l’utilisation de l’Internet par les québécois. Le sondage a été réalisé en collaboration avec la maison de recherche Léger Marketing. Je vous pointe ci-dessous quelques faits saillants mais pour en savoir plus je vous renvoie au communiqué de presse officiel du CEFRIO. Celui spécialement amnagé pour le NETendances 2006 n’est pas encore prêt puisque les résultats les plus récents sont ceux de 2005 ! :

* Aujourd’hui, 72 % des adultes québécois naviguent régulièrement sur Internet. Et pour une première fois dans la petite histoire de l’internet au Québec, l’enquête démontre que maintenant, autant de femmes que d’hommes utilisent Internet.

* NETendances révèle que les deux tiers (67 %) des adultes du Québec habitent un domicile branché et que la majorité d’entre eux (86%) sont abonnés à la haute vitesse. Autre gain considérable : la haute vitesse par câble est désormais utilisée par 32 % des Québécois (25 % en 2005).

* Que 2,8 millions de Québécois (47 %) se servent d’Internet dans le cadre de leur travail. Et la proportion d’adultes québécois qui travaillent à la maison par Internet a fait un bond remarquable, passant de 19 % en 2004 à 31 % en 2006.

* Que les blogues gagnent en popularité car, seulement au cours de la dernière année, 450 000 nouveaux lecteurs au Québec. Ainsi, un adulte sur cinq (20 %) a déjà visité un blog, comparativement à un sur dix en 2005

* Et que l’année 2006 a été marquée par le Web 2.0 et en particulier par le téléchargemnent de musique en ligne avec des sites comme iTunes et Last.fm. Ainsi, en 2005, 18% des Québécois téléchargeaient leurs «tounes» préférées. Fin décembre 2006, ils étaient 26%. Une progression qui ne s’arrêtera pas là…Même chose pour les vidéos. Voici ce qu’en dit d’ailleurs le fameux communiqué du CÉFRIO : «Pensons seulement au site YouTube, consacré l’invention de l’année par le magazine Time ou encore plus près de nous, aux Têtes à claques qui fracassent des records de fréquentation. En clair, ce sont 16 % des Québécois qui se sont intéressés aux vidéos en ligne en décembre dernier, ce qui représente 330 000 adultes de plus qu’en 2005. Pas étonnant que plusieurs experts perçoivent ce secteur d’activité comme étant la voie de l’avenir sur Internet».

Des jeunes incessamment connectés !!!

Chez nos voisins du Sud, le groupe Pew Internet and American Life Project vient de publier les résultats d’un sondage sur les habitudes en ligne des américains et particulièrement en ce qui a trait au sans fil. L’étude a qualifié de sans fil une connexion à Internet par Wi-Fi ou par un réseau de téléphonie mobile. Les résultats révèlent des faits étonnants : Les personnes qui utilisent des services Internet sans fil «démontrent un engagement plus profond envers le cyberespace», indique une nouvelle étude américaine. 54% de tous les internautes vérifient leur boîte de courriel quotidiennement, alors que cette proportion s’élève à 72% chez les internautes sans fil en particulier. Un peu moins de la moitié des internautes sans fil consultent des nouvelles en ligne à tous les jours, tandis que cette proportion chute à 31% lorsque l’on considère l’ensemble des internautes.

Le sondage indique que la proportion d’internautes se connectant du domicile à Internet par des services sans fil a presque doublé en deux ans, passant d’un sur dix en janvier 2005 à un sur cinq en décembre 2006. Quelque 80% des internautes avec accès sans fil de leur domicile bénéficient également d’une connexion à large bande. Lesondage révèle également que le sans fil semble mener à un usage plus intense d’Internet, soutenant la prémisse que «la caractéristique essentielle de la communication mobile, c’est la connectivité et non la mobilité». «Les circonstances de vie d’une personne, comme son emploi par exemple, peuvent créer le besoin d’une connectivité généralisée pour le courriel et de services sans fil connexes», suggère le rapport du sondage. Un professeur de sociologie et de planification urbaine et régionale à l’Université de Berkeley en Californie, du nom de Manuel Castells appelle ce phénomène «relentless connectivity», ou la «connectivité incessante».

Et sans aucune surprise, les résultats du sondage de PIALP identifient les jeunes comme étant les plus grands consommateurs de portabilité et de connectivité : Le plus grand pourcentage d’utilisateurs de services Internet sans fil se retrouve dans la tranche d’âge des moins de trente ans (Générations Y et G). Chez ces jeunes répondants, 37% se connectent à Internet en tout lieu, 40% possèdent un ordinateur portable, 26% utilisent un réseau sans fil à domicile et quatre sur dix sont propriétaires d’un téléphone permettant de surfer Internet. Le sondage de Pew a été administré entre le 30 novembre et le 30 décembre 2006 à un total de 2 373 adultes américains âgés de 18 ans et plus. De ces répondants, 1 623 se sont déclarés internautes et 798 de ces utilisateurs Internet ont répondu à des questionnaires sur l’accès en ligne sans fil.

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Le journal papier va-t-il disparaître ?

15 février 2007

Au mois d’août, La vénérable revue britanique, The Economist, se posait cette question : «Who killed the Newpaper ?». Et en conclusion de reportage, on en venait à dire que les journaux traditionnels vont disparaître dans leur forme actuelle mais pas le journalisme, que les blogs et les éditions électroniques vont fusionner avec des OSBL en financement du style de New Assignment.net.Vision jovialiste d’une industrie des médias fort lucrative avec des géants aux dents longues tels que News Corp. qui essaient de vampiriser tout ce qui peut leur nuire sur le Web 2.0 ? Peut-être mais The Economist n’est pas le seul à tirer la sonnette d’alarme pour les grands médias traditionnels.

De l’autre côté de la Manche, le vénérable quotidien Le Monde s’y met lui aussi… Mais identifie un nouveau joueur technologique qui risque de mêler les cartes… En manchette le 10 février dernier, la version Web du Monde titrait : «Vers la fin du quotidien papier ?». Et je vous cite un passage révélateur : «Le Yantai Daily en Chine et Les Échos en France testent des journaux lisibles sur une simple feuille électronique. À quand le tout-numérique ? La révolution numérique est déjà en cours. Les supports électroniques, qui permettent d’avoir sous la main une information réactualisée à tout moment, seront les nouveaux maîtres du jeu. Il est improbable qu’un adolescent d’aujourd’hui, de la génération des digital natives,(Souvenez-vous d’un de mes carnets inspirés de la présentation de Marc Prensky) et  nés avec Internet, lise à 30 ans un journal quotidien imprimé. Tout s’accélère. Dès aujourd’hui, mon téléphone 3G me permet d’aller chercher des vidéos de 30 images/seconde, des multitudes de textes, à tout moment et de n’importe où. Les journaux imprimés deviendront anachroniques quand seront disponibles tout à la fois des écrans de haute qualité, peu chers, et des réseaux sans fil généralisés à haut débit. Cela devrait arriver dans moins de cinq ans aux Etats-Unis. Même dans les pays du tiers-monde les téléphones mobiles sont déjà là, et le haut débit bientôt aussi.

Le journal papier va donc disparaître ?

Et le reporter du Monde annonce sa propre mort en ces termes : «Un livre imprimé aura toujours du sens, car il peut être lu de nombreuses fois sur plusieurs années. Mais pour un journal, quels sont encore les avantages du papier ? La force de l’habitude pour plusieurs générations de lecteurs, et le confort de lecture sur de grandes feuilles, plus agréable que sur écran. Mais tout va changer avec l’arrivée, après la généralisation du haut débit, de l’encre électronique et des écrans flexibles. Pour faire un quotidien papier, des arbres sont coupés, transportés, transformés en pulpe, puis en rouleaux géants acheminés vers des usines. Des journaux y sont imprimés, empaquetés, chargés sur des camions, puis déchargés dans des points de vente. Les consommateurs vont les acheter, les ramènent chez eux puis les jettent dans des poubelles elles-mêmes récupérées par des camions et envoyés, dans le meilleur des cas, dans un centre de recyclage. Tout cela relève plus de la logistique que de l’information ! Pour quelque chose d’aussi immédiat qu’un quotidien, ce gaspillage est obsolète»

Et vous ? Vous y croyez ???.

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Les étudiants pourront suivre leurs cours sur iPods !!!

13 février 2007

Je vous avais dit que j’enseigne depuis janvier comme chargé de cours à l’Université de Montréal ? En fait il s’agit d’un cours sur la pratique de la communication interne mais dans une perspective interactive… Ce faisant, nous avons monté une communauté de pratique sur Viadeo et un des étudiants, Jean-François de son prénom, m’a refilé un texte de la Presse canadienne. Il avait bien lu mes textes sur les iPods et comme étudiant, faisait la fusion entre les deux. De mon côté, j’avais entendu parler du phénomène en écoutant la radio dans ma voiture. Alors voici l’intégrale de la Presse canadienne :

«Écouter son cours dans l’autobus ou visionner les exposés oraux de ses camarades dans le métro, tout ça grâce à son baladeur numérique. Fiction? C’est maintenant possible pour une poignée d’étudiants de l’Université de Montréal. À l’heure où les écoles chassent de leur classes les gadgets technologiques, l’Université entreprend cette session une étude où le baladeur numérique devient partie prenante de cinq cours, dans différentes disciplines.

André H. Caron, directeur du CITE (Centre de recherche interdisciplinaire sur les technologies émergentes), est l’instigateur de cette recherche unique au pays. Lui et quatre autres professeurs ont intégré à leur enseignement du contenu pédagogique audio ou vidéo, que quelque 120 étudiants téléchargent sur leur baladeur numérique qui leur a été prêté (iPod ou un Zen Vision).

Cours complet

Un des cours se donne entièrement en baladodiffusion. Les autres professeurs proposent à leurs étudiants de l’information supplémentaire, selon la méthode qu’ils jugent pertinentes. Les étudiants pourront même être portés à contribution, dit M. Caron, en comparant l’expérience au Web 2.0. « Tout le contenu ne sera pas juste produit par une seule personne. » Pour son cours en italiens, Jacqueline Samperi a ajout des chansons, des vidéos, des clips culturels de la télévision italienne et le CD de conversation qui avant
n’était disponible qu’au laboratoire.

Matériel inédit

La chargée de cours a privilégié du matériel qui n’était pas accessible par Internet et qui permettrait de bonifier le volet oral du cours. Les étudiants pourront même enregistrer leur exposé oral au lieu de le faire en personne, ajoute-t-elle. Mme Samperi a pu constater que les jeunes ne sont pas aussi technos qu’elle le croyait. Plusieurs n’avaient jamais touché à un baladeur numérique. C’est le cas d’Éloïse Osta, étudiante en science politique, qui est finalement tombée sous le charme».

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L’âge de la production Pair-à-Pair (PtoP) ou Power to the People !

11 février 2007

Aujourd’hui, j’ai le goût de vous traduite et citer une partie d’un article paru dans la revue Wired en juillet dernier. C’est un réquisitoire du rédacteur en chef, Chris Anderson en faveur du Web 2.0, qu’il est loin de qualifier, comme certains, de phénomène passager. Au contraire, il en fait un phénomène marquant de l’histoire humaine. Rien de moins… Alors voici l’extrait :

«Au début, la puissance de vapeur a remplacé la puissance de muscle et a lancé la Révolution Industrielle. Puis la chaîne de montage d’Henry Ford, et des avancées dans les domaines de l’acier et des plastiques, a déclenché la Deuxième Révolution Industrielle. Après on a découvert les immenses capacitsés semi-conductrices du silicium et ainsi plongé dans l’Âge de l’Information ou Troisième révolution industrielle. Chaque révolution a été rendue possible par des méthodes de production plus rapides, moins coûteuses et plus accessibles, ce qui a poussé l’efficacité au niveau suivant et transformé le monde.

Nous assistons maintenant à une quatrième révolution. Nous avons des armées d’amateurs, de gens ordinaires, heureux de travailler gratuitement. Appelez cela l’Âge de la Production de Pair-à-Pair. D’Amazon.com à MySpace en passant par YouTube, les compagnies de Web qui réussissent le mieux ont des modèles d’affaires basés sur les contenus générés par l’utilisateur. C’est peut-être la manifestation la plus saisissante du Web de seconde génération (Web 2.0). Les outils de production, des blogues au partage de vidéos, sont entièrement démocratisés, et le moteur de la croissance carbure aux cycles de disponibilité, au talent, et à la capacité de gens ordinaires, ces amateurs, qui en s’assemblant, constituent une main-d’oeuvre distribuée sur une vaste échelle qui n’a, en fait, pas de précédent. Cette évidence est tout autour de nous…

Des Avatars lisant le bouquin de Chris Anderson dans Second Life

Il y a les porte-étendards comme Flickr et son service de partage de photos et l’encyclopédie collaborative Wikipedia. Il y a des royaumes entiers, de vastes espaces que créent à partir de zéro les membres de Second Life. Et que dire des énormes audiences (visiteurs uniques) que génère YouTube avec sa technologie de partage de vidéo si facile à maîtriser… Mais le vrai miracle est le travail intentionnel, volontaire et même bénévole de millions d’entre nous pour noircir des milliards de pages sur ce nouveau Web : 154 millions de pages personnelles dans MySpace, près de 55 millions de blogeurs, 100 millions de clips téléchargés à chaque jour sur YouTube, 8,5 millions de membres profesionnels sur LinkedIn, presque deux millions «d’encyclopédiens» amateurs dans Wikipedia. Le résultat est une culture de viralité, de collaboration, de commentaire, de parole citoyenne et de camaraderie..

Les âges industriels précédents ont été établis et ont fructifié en exploitant aussi le travail des individus, mais à cette époque le travail n’était que cela : du travail… Les ouvriers étaient payés pour leur temps, que ce soit sur un plancher d’usine ou dans un bureau. La machine de «pair-production» d’aujourd’hui fonctionne dans une économie la plupart du temps non-monétaire. La monnaie d’échange est réputation, expression, partage !» – Chris Anderson, Rédacteur en chef, Wired

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Quand les utilisateurs se comptent par millions…

30 janvier 2007

Les sites de «networking» social, on le sait, jouissent en 2006-2007 d’une popularité fulgurante. Il n’y a qu’à penser à MySpace qui a atteint le plafond du 130 millions de membres. De son côté, Friendster va atteindre sous peu 30 millions de membres, comme Windows Live Spaces. Live Journal, quant à lui, flirte avec le 11 millions de membres, alors que Facebook en a 12 millions et que la plate-forme de mise en relation professionnelle LinkedIn a atteint récemment 8 500 000 membres. Ça, ce sont les USA et nos voisins du Sud écrasent littéralement toute concurrence dans le domaine ou presque..

Car il existe des sites ailleurs de par le monde et qui tentent de faire leur niche. Ainsi en France, il y a quelques jours, le co-fondateur.de la plate-forme de mise en relation professionnelle Viadeo, Dan Serfaty, annonçait fièrement aux membres de la plate-forme le dépassement du millions d’abonnés en ces termes : «Un peu plus de deux ans après son lancement, Viadeo passe aujourd’hui le cap du million de membres. Au-delà de ce chiffre symbolique, cela veut dire que vous être tous les jours plus nombreux à nous faire confiance et à utiliser Viadeo pour déveloper votre réseau professionnel. C’est dans cette perspective que nous avons ouvert le site à six langues et que nous sommes passés en fin d’année dernière, du nom de Viaduc à celui, plus international, de Viadeo. Le succès de Viadeo, c’est avant tout le succès de chacun d’entre vous, ses membres..».

En passant, Viadeo s’est ouverte à d’autre langues, d’autres cultures mais aussi au Québec… En effet, de plus en plus de québécois deviennent membres de Viadeo faute d’avoir une plate-forme semblable au Québec. D’autres s’inscrivent également à LinkedIn, question de réseauter avec le marché nord-américain. Du côtéeuropéen, Viadeo compte sur un comcurrent direct en OpenBC et son pdg Lars Hinricks. Cette autre plate-forme européenne a elle aussi dépassé le cap du million de membres mais en mars 2006 et a aussi changé de nom pour XING, probablement pour attirer une clientèle orientale ???.

De gauche à droite : Lars Hinrichs (XING), Matt Cohler (Facebook), Eric Wachmeister (a Small World)

Dans les autres sites qui tentent de résister à la vague américaine, on compte Cyworld en Corée du Sud (l’équivalent de MySpace) avec 15 millions de membres, Mixi au Japon avec 5 millions de membres mais aussi Piczo au Canada avec 10 000 000 de membres. Citons également iWiW de Hongrie avec 1,5 million de membres et Lunar Storm de Suède avec 1,2 million de membres. Finalement, il y a Doyoulookgood.com, site français, fondé par Sportif et LadyMystaria en 2002 et qui compte près de 1,5 million de membres. Il y a aussi aSmallWorld, un site très niché et qui vise l’élite européenne et qui, pour l’instant, compte 150 000 membres
Pour en revenir au Québec, peu de choses en fait… Le plus fréquenté des sites de ce type est RéseauContact de Québécor avec une communauté de 1 065 423 d’hommes et de femmes. Et pour concurrencer MySpace, Québécor a créé tout récemment, presquu’un clone de RéseauContact, soit EspaceCanoë.com. Pour le moment la plate-forme est trop jeune pour afficher quelque chiffre que ce soit. Côté mise en relation professionnelle, rien…ou presque car il existe bien AgentSolo, qui compte 13 445 membres, tous des trvailleurs autonomes, ce qui limite son effet viral…Tags: Tags: Tags: Tags: Tags: Tags: Tags: Tags:

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Palmarès des sites Internet au Québec : Les TêtesàClaques et Atomas en vedette !

25 janvier 2007

Lu ce matin sur Technaute.com ce matin : On y rapporte les derniers chiffres sur la fréquentation des sites Internet au Québec, chiffres publiés par la firme comScore Media Metrix. Sans surprises, la palmarès québécois est dominé par les grands portails et engins de recherche. Ainsi, MSN (ce qui inclue MSN.ca et MSN.com) arrive en tête avec 6 824 000 de visiteurs uniques(VU) en décembre 2006, en hausse par rapport à 2005 où il dominait alors avec 5 862 000 VU. Il n’y a pas à aller très loin pour rencontrer la première surprise… En effet, le deuxième rang de Live devant Google en constitue une de taille ! Le moteur de recherche de Microsoft fait son entrée au palmarès avec 3 423 000 VU contre 3 394 000 VU pour son concurrent Google.Faut dire qu’il s’agit de Google.ca… Si on ajoute les VU de Google.com, soit 2 383 000. Google domine nettement la marché québécois pour les moteurs de recherche avec 5 777 000 VU.

Autre surprise, qui n’en est pas une pour ceux qui ont suivi l’ascension de la nouvelle étoile qui brille maintenant au firmament des dix sites les plus consultés au Québec. Vous vous en doutez ? Eh oui ! TêtesàClaques.TV fait son entrée au neuvième rang avec une audience fort respectable de 2 075 000 VU, devant Canoë.com et Yahoo! qui ne franchissent pas la barre du 2 millions de VU. Une autre surprise : Le 13e rang de Free.fr un fournisseur français d’accès Internet haut débit, avec tout de même 1 770 000 VU.Vous cherchez YouTube, MySpace, Wikipedia, Flickr ou Blogger.com ? Les sites emblématiques du Web 2.0 sont loin du «Happy 10»…

Les deux plus visités sont Wikipedia en 16e position avec 1 581 000 VU et YouTube en 17e avec 1 460 000 VU toujours en 2006…Blogger.com vient loin derrière en 30e position avec 960 000 VU. Pas de MySpace ou de Flickr dans le décor des 50 sites les plus visités…

Attention les As, voici Atomas !!!

Vous vous souvenez de ce dessin animé ? Vous êtes nostalgiques des Yogi l’ours et tous les personnages de Hanna-Barbera ? Eh bien, vous pouvez les retrouver sur le 44e site le plus visité au Québec, soit Miniclip.com. Vous pourrez vous délecter en regardant la Fourmi Atomique ou Atom Ant car les clips sont en anglais Oh ! Ils ont aussi Bugs Bunny, Daffy Duck, Porky Pig et…El Kabong

Parlant de chiffres, vous avez aussi lu cet autre article qui mentionne que deux américains sur trois passent plus de temps devant leur ordinateur qu’avec leur blonde ??? C’est ce qui ressort d’une étude sérieuse…menée aux États-Unis par la firme indépendante Kelton Research, entre décembre 2006 et janvier 2007. Lisez les détails dans Technaute.com.

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Après Skype et la téléphonie Internet, arrive Joost et la télévision Internet !

22 janvier 2007

Un peu tout l’monde dans les blogues et les Web-zines en parlent… Donc je ne suis pas original mais il ne fallait pas passer sous silence cette nouvelle d’importance : Les fondateurs du logiciel de téléphonie sur Internet Skype, Niklas Zennström et Janus Friis, viennent d’annoncer le lancement de Joost, un «système» de télévision sur Internet permettant de regarder les grandes chaînes sur ordinateur avec une programmation personnalisée. Ce projet ambitieux est déjà disponible en version Béta et l’on invite les utilisateurs à tester la nouvelle plate-forme. Intéressé(e)s ? Armez-vous de patience car la liste d’attente est longue, j’en sais quelque chose... Surnommé «Venice Project» jusqu’à tout récemment, Joost permet aux utilisateurs de recevoir les chaînes gratuitement, avec, comme pour Skype, de l’interactivité, soit des possibilités d’enregistrement programmé, de rediffusions, de démarrage des programmes à la demande, etc.


Les promoteurs, qui expliquent vouloir «combiner le meilleur de la télévision et le meilleur d’Internet», ont basé leur nouvelle plate-forme du Web 2.0 sur une technologie de diffusion en PtoP, «peer-to-peer». Le logiciel est déjà téléchargeable sur le site, (Liste d’attente !!!) mais pour l’instant le nombre de chaînes disponibles est limité. «Les gens recherchent davantage de choix et de souplesse dans leur usage de la télévision, et l’industrie du loisir veut garder le contrôle de leur contenu», a souligné Frederick de Wahl, PDG de Joost, cité dans un récent communiqué de presse. Les fondateurs de Skype ne sont pas les seuls à s’intéresser à ce lucratif marché. Déjà plusieurs joueurs offrent des formules plus ou moins semblables dont Watchonline.tv, MSN-TV et quelques autres… Tags: Tags: Tags: Tags:

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Communication interactive

La révolution de la communication interactive: Le meilleur est à venir !

21 janvier 2007

Et si, en matière de communication interactive, le meilleur était à l’intérieur ? Depuis une douzaine d’années, les outils dédiés à la communication interne des entreprises enchaînent révolution sur révolution. Les systèmes de messagerie informatiques se sont faits doubler par le courriel, lui-même rejoint par la vague des intranets et dépassé par la marée des portails. Un mouvement innovant perpétuel aujourd’hui entretenu par de nouveaux prétendants. Car non seulement en matière de communication interne interactive le meilleur est à l’intérieur, mais le meilleur est également à venir !

En haut de la pile, la nouvelle génération d’intranets-portails. Au fil des ans, l’intranet est un outil qui s’est largement répandu dans l’univers professionnel. Aux USA, en 2004, un sondage effectué par Jupiter Research indiquait que 98% des grandes entreprises (avec plus de 3 milliards de revenus) avaient des intranets. Au Canada en 2003, 58% des entreprises canadiennes avaient un intranet alors qu’en France, selon les chiffres fournis par l’Association ClubNet, 99,8 % des entreprises de plus de 6 000 employés et 48 % des PME/PMI possèdent un intranet. Et selon la firme de vigie technologique américaine Gartner, d’ici 2010, 98% des entreprises américaines et canadiennes auront un intranet, 81% en Europe et 52% en Asie !

Les entreprises les plus en pointe ont pris la mesure du problème : il ne suffit pas de déployer un intranet pour que la communication interactive interne se fasse. Encore faut-il proposer, dans une interface simple, les services personnalisés, de l’interactivité et des contenus attendus par tous, non seulement informatifs mais aussi collaboratifs (partage d’expertise). En France, chez PSA Peugeot Citroën, l’équipe en charge de l’intranet menée par Bénédicte Alzati, a choisi de prendre le virage technologique. Pour satisfaire le plus grand nombre possible de salariés et susciter l’adhésion, le groupe automobile mise sur un intranet de nouvelle génération entièrement personnalisable. A chaque collaborateur d’y construire son propre univers de travail. Même chose au Québec, chez Bell Canada avec l’équipe menée par Céline Barbeau.

Autre problème, celui de la diffusion. En "électronisant" sa communication interne, l’entreprise risque de laisser de côté une partie de ses salariés, ceux qui n’ont pas d’accès à un outil informatique. Une fracture qui peut devenir très vite délicate à gérer. Il faut donc donner à ces salariés des outils qui leur permettent d’accéder aux contenus intranets hors entreprise. La connectivité croissante, les outils Wifis, les ordinateurs portables avec RPV et autres consoles commencent à apparaître dans l’arsenal de communication technologique de l’entreprise

La nouvelle communication interactive ne se limite pas aux seuls intranets. Elle couvre également tous les échanges directs entre salariés. Dans ce domaine, le courriel devra d’ici quelques années affronter de sérieux concurrents. En premier lieu la messagerie instantanée, que beaucoup de spécialistes imaginent comme la prochaine grande étape de la communication inter-personnelle. Mais la MI est peut-être déjà chose du passé car un autre phénomène frappera sous peu l’entreprise et de plein fouet : Les Wikis. Avec ces plates-formes dynamiques, les salariés peuvent construire ensemble un document, qu’ils alimentent, qu’ils modifient au gré de leurs problèmes, de leurs idées. Les Wikis seront suivis par les plates-formes de mise en relation, les plates-formes d’échanges, les sites de micro-conférence et peut-être, un jour les «Worklogs»…

Toute une révolution dans le monde encore très discret du travail collaboratif et de la communication interne en phase de devenir interactive !

Au final, une question est posée par le milieu de la comm. en France : Tous ces nouveaux outils, remplaceront-ils à terme la communication orale et le support papier ? «C’est peu probable, estime Vincent Fournout, directeur général de Textuel La Mine, agence de conseil et de production de contenus éditoriaux pour les services en ligne, dans une entrevue au Journal du Management. Il est par exemple difficile de remplacer un magazine de communication interne d’une trentaine de pages avec de belles photos et que les salariés peuvent ramener chez eux. Nous allons donc plus vers une logique de complémentarité entre les différents supports, une circulation de l’information
de plus en plus intense».

Une réponse typiquement française et générationnelle. D’un côté, le tableau d’affichage, les notes et bulletins internes sur papier et le journal d’entreprise (quatre couleurs process…), moyens soutenus par l’anciienne génération littéraire. De l’autre, les Wikis, les blogues et l’intranet, soutenus par les jeunes qui investissent le champ professionnel. Deux mondes hermétiques en apparence, mais qui vont pourtant devoir apprendre à communiquer et à collaborer.  Tags: Tags: Tags:   Tags: Tags:

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