J’ai pris beaucoup de retard… Et ce n’est pas un #vendrediconfessions… C’est juste que j’ai été en panne de réseau pour toute la journée d’hier, ou presque. Donc pas moyen d’écrire directement de mon blogue. Et ce matin de début de conférence à LeWeb 2012 à Paris, je me promettais bien d’arriver très tôt pour reprendre le temps perdu. Encore une fois raté ! M… technologie. Mon réveil sur iPhone a bien fonctionné mais le son n’y était pas. Donc course dans le métro pour arriver avant que ne commence la conférence. Arrivé tout juste pour avoir une place.
Je voulais au moins faire un billet sur la journée d’hier et en particulier sur le visite pré-leWeb et aussi sur la soirée des blogueurs avec plein de surprises. Mais en attendant que Loïc arrive avec Géraldine pour lancer les premiers mots de bienvenue, nous avons eu droit, comme à l’habitude à des vidéos d’ambiance dont u particulièrement sur les «balloon fights.»
Bref, retour sur lundi, 15h30. Vu l’état de la salle au pavillon Pullmann, j’étais convaincu que Loïc ne viendrait pas nous rencontrer comme à l’habitude. Tout semblair tellement en retard. Et pourtant, avec quelques minutes de retard, il était avec nous pour une généreuse visite. Et plus celle-ci avançait, plus je suis devebu convaincu que LeWeb ouvrirait ce matin «On Time», comme disent nos Voisins du Sud.
Voici quelques photos tirées de cette visite avec un bref commentaire pour chacune:
Un coup d’oeil de la régie vidéo de la conférence. Deux canaux en streaming direct. Et toutes les conférences enregistrées et mises en ligne en continu sur la chaîne You Tube de la conférence.
À la mezzanine où l’an dernier nous étions installés avec les représentants de la presse traditionnelle, on retrouve cette année le «Google Campus» avec une variété impressionnante d’offres dont un «ping-pong hangout», un photomaton personnalisable, une salle pour des ateliers, des accès à Google+, etc.
Une murale toute en post-it en train d’être montré. Avec la caméra, on aperçoit le contour du isage de Marissa Mayer prendre forme. À juste regarder, on ne voit qu’une partie des 2 030 post-it nécessaires à terminer l’ensemble.
Et la photo de notre hôte sur la scène principale. Ce n’est pas voulu mais la lumière donne un air d’illumination à l’organisateur.
Donc, voilà pour une partie du temps perdu et retrouvé. Je reviens avec la fin de la soirée et le début de cette journée qui a déjà vu passer Apple, Interaxon et la NASA…
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