State of the Blogosphere 2008
Où est passé le quatrième pouvoir ?
L’Entreprise 2.0 : comment tirer profit des réseaux sociaux professionnels ?
L’Europe met les pieds dans le blog
How to Build a Next-Gen Business Now
Les jeunes diplômés 2007 et 2008 ont rapidement trouvé un emploi
Global survey shows 58% of people don’t know what social networking is, plus over one third of social networkers are losing interest
Jeu sérieux: Il revient en force !
The Big Risk for Corporate Trust Agents
Bon anniversaire Google ! (en retard…)
30 septembre 2008Eh oui, c’était il y a quelques jours, le dixième anniversaire de ma compagnie préférée. Alors bon anniversaire Google ! Pour l’occasion, l’entreprise de Mountain View a eu l’idée sympa de faire un peu comme nous avions fait avec «Pourquoi bloguer dans un contexte d’affaires» afin de souligner les dix ans des blogues : réunir dix auteurs et leur demander de se commettre dans un texte. La commande de Google était fort simple : demander à ces auteurs d’extrapoler sur ce que sera le futur du Web en dix tendances.

L’exercice est intéressant mais contrairement au nôtre, ils ont limité les auteurs à des billets de blogue, somme toute assez courts. Le choix des auteurs est aussi intéressant mais surtout, j’aime bien les sujets choisis et le résultat final, publié sur le blogue officiel de Google le 25 septembre dernier. Tout d’abord, la brochette d’auteurs et leurs sujets :
1- Vint Cerf – Introduction portant sur l’intégration du Web à la vie de tous les jours
2- Larry Brilliant – Le web et la santé
3- Bill Weihl – Le Web et l’environnement
4- Hal Varian – Le Web des données
5- Andy Rubin – Le Web mobile
6- Alfred Spector – Le «nuage» intelligent
7- Chad Hurley (tiens, YouTube) – Le Web vidéo
8- Joe Kraus – Le Web social
9- Susan Wojcicki – Le Web publicitaire
10- Marissa Mayer – La recherche Web
Point n’est besoin de vous mentionner quels sujets ont particulièrement attiré mon attention… Oui ? Je dois le mentionner ? OK alors… J’ai particulièrement apprécié les billets de Hal Varian sur le Web des données et celui d’Alfred Spector sur le «nuage intelligent». Pas de surprises donc car deux de mes sujets favoris.
Du billet de Varian, retenez ceci et c’est capital pour tous ceux qui sont intéressés par l’Entreprise 2.0 :
«A decade ago, only the big multinational corporations could afford systems to allow for international calling, videoconferencing, and document sharing. Now startups with a handful of people can use voice over IP, video, wikis and Google Docs to share information. These technological advances have led to the rise of « micro multinationals » which can leverage creativity and talent across the globe. Even tiny companies can now have a worldwide reach.»
C’est donc dire que finalement, les PME vont prendre le train du Web 2.0. Encore une fois, je tiens à tempérer ses ardeurs. Ces lignes ont été écrites avant la crise financière actuelle. La tendance risque donc de nous frapper ici à plus long terme. Toutefois, je suis d’accord avec ceux et celles qui disent que cette crise est source d’opportunités. Du moins pour des PME audacieuses comme DessinsDrummond, gagnante de prix internationaux pour son travail avec l’amie Michelle Blanc. D’ailleurs ne manquez pas leur présentation au prochain webcom-Montréal le 12 novembre.
Donc, Google voit dans les PME une nouvelle part de marché intéressante et avec raison selon Hal Varian :
«These changes will have a profound effect on the global economy. According to the U.S. Small Business Administration, « small businesses represent 99.7 percent of all firms, they create more than half of the private nonfarm gross domestic product, and they create 60 to 80 percent of the net new jobs. » Information technology has already had a huge effect on the productivity of large businesses, but the benefits from « trickle down productivity » may be even more significant.»
Même chose ici au Québec. La PME est LE véritable moteur de l’économie et doit pour rester compétitive et créer des emplois, faire passer ses technologies au Web 2.0 mais aussi sa gestion, ses communications et l’approche de ses ressources humaines. Et bonne nouvelle pour tous les experts et consultants sur le Web selon Varian :
- Today, only the largest companies can afford to hire consultants and experts. In the future, even small companies will be able to purchase on-demand expertise and other services via the Internet.
- Today, marketing intelligence are costly reports describing data many months or years old. In the future, small businesses will have access to real-time data on market conditions.
Et vive les blogues d’expertise !
Et comme de plus en plus d’entreprises et de personnes vont utiliser le Web et y générer des «térabits» de données, plus le Web aura besoin de gérer ces données, de les entreposer mais aussi de proposer aux individus et entreprises, des suites logicielles et d’applications qui quitteront ainsi l’ordinateur traditionnel. Ce dernier deviendra un terminal branché sur un «nuage Web» ou ordinateur central planétaire : le Cloud Computing». Et l’ordinateur ainsi libéré rapetissera et sera entièrement mobile ou intégré aux objets usuels.
Je pourrais ainsi continuer pour des paragraphes mais je vous laisse sur deux citations, l’une de Alfred Spector :
«In coming years, computer processing, storage, and networking capabilities will continue up the steeply exponential curve they have followed for the past few decades. By 2019, parallel-processing computer clusters will be 50 to 100 times more powerful in most respects. Computer programs, more of them web-based, will evolve to take advantage of this newfound power, and Internet usage will also grow: more people online, doing more things, using more advanced and responsive applications. By any metric, the « cloud » of computational resources and online data and content will grow very rapidly for a long time.»
Et celle-ci d’Andy Rubin :
«There are currently about 3.2 billion mobile subscribers in the world, and that number is expected to grow by at least a billion in the next few years. Today, mobile phones are more prevalent than cars (about 800 million registered vehicles in the world) and credit cards (only 1.4 billion of those). While it took 100 years for landline phones to spread to more than 80% of the countries in the world, their wireless descendants did it in 16. And fewer teens are wearing watches now because they use their phones to tell time instead (somewhere Chester Gould is wondering how he got it backwards). So it’s safe to say that the mobile phone may be the most prolific consumer product ever invented.
However, have you ever considered just exactly how powerful these ubiquitous devices are? The phone that you have in your pocket, pack, or handbag is probably ten times more powerful than the PC you had on your desk only 8 or 9 years ago (assuming you even had a PC; most mobile users never have). It has a range of sensors that would do a martian lander proud: a clock, power sensor (how low is that battery?), thermometer (because batteries charge poorly at low temperatures), and light meter (to determine screen backlighting) on the more basic phones; a location sensor, accelerometer (detects vector and velocity of motion), and maybe even a compass on more advanced ones. And most importantly, it is by its very nature always connected.»
Et vous, qu’en pensez-vous ? Pour moi, je ne tiens plus en place, vite mon gPhone !!!
Entreprise 2.0 : IBM veut conserver les données pour des siècles !
26 septembre 2008Vous connaissez mon intérêt marqué pour le phénomène des LifeLogs ou carnets de vie (voir un de mes premiers billets sur le sujet et la définition de Wikipedia ICI), que je considère être l’avenir des blogues et du micro-blogging. Ces carnets semblent intéresser de plus en plus les grandes entreprises technologiques… Ainsi, après Microsoft, c’est au tour d’IBM de se positionner…

Comment ? En perfectionnant les technologies de conservation et ainsi conserver vos données et celles de l’entreprise 2.0 pour des siècles !… Ainsi, il y a quelques semaines, plus exactement le 8 septembre dernier, IBM a fait une annonce qui est presque passée inaperçue en Amérique du Nord car faite à Haïfa en Israël. Voici comment débute le communiqué de presse :
«IBM Research today announced an entirely new way to preserve digital information, so it can be read decades after it was created despite future changes in digital formats. Researchers at the lab in Haifa, Israel, are ensuring that digital files — such as photos, movies, music, videos, financial records, health records, manuscripts, and more — will be accessible and readable for decades and possibly even centuries—no matter how the content was created.»
Et si vous avez lu la définition des LifeLogs et mon billet précédent, pas besoin de faire de dessins pour comprendre qu’IBM vient de mettre une pierre importante dans l’édification du concept de carnets de vie mais aussi dans la création de la mémoire de l’entreprise, un autre de mes thèmes favoris.
La Mémoire d’entreprise en dix étapes :

Pourquoi le mémoire, vous direz ? Lisez plutôt ces deux passages du communiqué :
«As the world becomes increasingly digital, we may find ourselves in the “digital Dark Ages » in which business, cultural, and personal assets are in ever greater danger of being lost or rendered unreadable due to changing technologies and standards.»
«A recent study by the Academy of Motion Picture Arts and Sciences revealed that fewer than half of all feature films made before 1950 have survived. And because the annual cost of digital film archiving is more than 10 times greater than that of storing celluloid film, we could be facing classic movie extinction. Today, no media, hardware or software exits that can reasonably assure long-term accessibility of digital assets.»
En annonçant ces nouveaux développements, la multinationale américaine sait très bien que la possibilité de créer des LifeLogs et de les conserver sur une longue période aussi bien pour les individus que pour les entreprises devenues 2.0, va nécessiter de formidables capacités de stockage de données, d’où, bien sûr, les méga-entrepôts de données. Voici un autre passage révélateur du communiqué :
«As the volume of digital information continues to grow and digital formats change from year to year, consumers and companies will be faced with archiving and data retention problems. According to analyst firm IDC, more than 160 exabytes of digital information was created – that’s three million times the information in all the books ever written – in 2006 alone.»
En juin dernier, IBM annonçait à Boston la sortie d’une nouvelle ligne de serveurs 2.0, les iDataPlex Servers, destinés aux entrepôts de données des entreprises 2.0 mais on a appris, fin août dans un autre communiqué de presse repris par le Journal du Net, qu’ils allaient investir plusieurs centaines de millions dans leurs propres entrepôts… Pas seulement dans les serveurs et les entrepôts mais aussi dans le marché du SaaS et du Cloud Computing.
LifeLogs, entrepôts de données, Cloud Computing et mémoire d’entreprise tout se tient et vise à soutenir le marché de l’entreprise 2.0 dont j’ai parlé dans mon billet d’hier… Reste à voir ce que les entreprises feront avec ces données, ce qui soulève les questions de propriété, de sécurité, de portabilité et d’identité numérique, questions de l’heure et qui sont soulevées de plus en plus dans les grandes conférences internationales comme webcom-Montréal ou encore Digital ID World 2008 !
Et vous, ces questions de données et d’identité numérique, ça vous inquiète ou vous stimule ???
Le Web 2.0 sauvera-t-il le monde ???
25 septembre 2008Des gourous ou grands spécialistes tels que Tim O’Reilly, Dion Hinchcliffe et Jeremiah Owyang aimeraient bien qu’il en soit ainsi et profitent de toutes les tribunes qui leur sont offertes pour «prêcher» la bonne parole. O’Reilly, en particulier… Il est en quelque sorte le «Dieu-le-Père» du Web 2.0 et surfe actuellement sur la vague qu’il a lui-même aidé à créer. Il organise entre autres, plusieurs conférences Web 2.0 (Web 2.0 Summit, Web 2.0 Expo International (San Francisco, New York, Berlin, Tokyo). Je l’ai vu en avril dernier à SF faire sa séance de motivation 2.0 devant plus de 2 000 personnes. J’en avais parlé ICI.
O’Reilly en a remis une couche épaisse à New York, il y a quelques jours, reliant l’avenir de la planète et des entreprises (Économie, énergie, environnement) au Web 2.0. Pour cela, voyez par vous-mêmes sa présentation de plus de 80 «slides» reproduite ci-dessous.
De son côté, Hinchcliffe et compagnie, multiplient les séminaires, les conférences et billets sur leurs blogues se référant à de multiples études et affirment que la vague de fond 2.0 est là non seulement pour rester mais qu’elle constitue pour les entreprises la voie de salut dans une économie en plein désarroi, une bouée de sauvetage lancée à la mer. En effet, Hinchcliffe et Forrester parlent d’un marché de 4,3 milliards $ sur cinq ans aux USA.

Chiffre qui peut paraitre énorme mais qui est «du p’tit change» quand on regarde ce qui se passe actuellement sur les marchés financiers. Juste au cours des dernières semaines, les banques centrales ont injecté des centaines de milliards pour soutenir les marchés !
Alors, le Web 2.0 sauvera-t-il le monde ??? J’en doute… Comme je doute de son effet à court terme sur l’ensemble des entreprises… Bien que plus d’un milliard de personnes sur la planète utilisent maintenant l’Internet et qu’il y ait à ce jour 133 millions de blogues, reste encore 5 milliards d’individus pour qui, l’Internet vient loin dans leurs priorités de vie. Et même dans le milliard branché, plus des trois quarts utilisent le Web à des fins 1.0, soit pour rechercher de l’information. Et quand vient le temps de parler de réseaux sociaux et de leur influence sur les individus et les entreprises, c’est 60% des individus qui ne savent pas de quoi il est question. Club social, oui mais Facebook, Beebo, MySpace ? Pas entendu parler… Les résultats de cette étude, publiés par Synovate montrent à quel point le décalage est grand… Je dis souvent que l’entreprise est le reflet de la société alors…
Pessimiste ? Peut-être mais il faut au moins s’attendre à ce que l’Entreprise 2.0 prenne plus de temps que prévu avant de devenir une réalité. Et pourtant, tous ceux qui oeuvrent à l’intégration du Web 2.0 et à la transformation des entreprises afin que ces dernières soient mieux adaptées à un milieu de travail en complet changement savent que c’est inéluctable et il y a, je l’accorde plusieurs études de cas et réussites déjà documentées dont plusieurs qui feront l’objet de conférences au prochain webcom-Montéal. Sauf que le changement sera plus lent que prévu et ce, même si les entreprises vont perdre jusqu’à 60% de leur force de travail d’ici 2015. Et même là, je vous invite à lire certains ouvrages récemment parus comme celui de Ken Dychtwald, intitulé «Workforce Crisis: How to Beat the Coming Shortage of Skills And Talent» et qui parle au chapitre 4 de la fin des retraites…
Car oui, les générations Y et NetGen vont révolutionner l’entreprise et risquent d’avoir sur la société, un impact aussi puissant que celui de leur aînés les Baby Boomers. Les Digital Natives de Marc Prensky, qui sera d’ailleurs conférencier lors du prochain Webcom en novembre, sont depuis des années, le sujet de toute l’attention des spécialistes, conférenciers (dont moi) et même fournisseurs de solutions 2.0 pour les entreprises, à preuve le dernier livre blanc de la société BlueKiwi.

Leur impact sur l’entreprise, selon plusieurs, se fait déjà sentir mais… Car il y a un mais… Mais avec comme frein, le retour sur le marché du travail des retraités qui ont entre 50 et 70 ans. Je parle de frein et non de blocage. Le passage à l’entreprise horizontale, collaborative, ludique et innovante se fera quand même. Mais n’oublions pas que le 4/5 de l’humanité est encore technologiquement illettré ou presque et toujours formatté par une sturcture de pouvoir hiérarchique, que les retraités qui reviennent dans les entreprises sont ceux qui ont perpétué cette hiérarchie sociale et organisationnelle ainsi que la rétention de l’information comme outil de pouvoir personnel.
Et ce n’est pas tout… Le passage à l’entreprise 2.0 sera aussi ralenti par un autre facteur : La capacité financière des entreprises d’implanter les technologies du Web 2.0, de modifier les structures de pouvoir et de gérer les changements ainsi provoqués. Avec une économie et des marchés 1.0 comment pourrait-il en être autrement. Faudra-t-il attendre la «singularité» dont se gargarisent Tim O’Reilly, Peter Thiel et Ray Kurzweil, phénomène qui, selon O’Reilly est plus près de nous avec l’effondrement annoncé du système économique mondial, de la crise énergétique et du réchauffement climatique ?
Je disais l’an dernier, à qui voulait l’entendre, que le créneau de l’Entreprise 2.0, assurerait de l’emploi aux spécialistes du domaine pour au moins dix ans. Je rectifie aujourd’hui : pour au moins 20 ans !!!
Pour bien amorcer le WE, sur Vimeo :
Et les liens plus sérieux :
Utiliser Facebook ou ses propres communautés: le choix d’Unilever et celui de GE
List of Enterprise Microblogging Tools: Twitter for the Intranet
Présence physique obligatoire? Mon oeil…
While I Talked, People Twittered
Ma définition de l’entreprise 2.0
Le Nokia N96 bientôt « en Amérique »
Les TI et le «nuage Web» : l’immobilisme au nom de la symphonie en mouvement !
Pourquoi micro-bloguer dans un contexte d’affaires…
12 septembre 2008Je n’ai pas eu à chercher longtemps pour le titre de ce billet. Bien sûr, il fait référence à notre Collectif «Pourquoi bloguer dans un contexte d’affaires» et s’est imposé de lui-même après deux jours d’intenses sessions sur la plate-forme Twitter mais aussi après avoir assisté en direct à l’évènement TechCrunch50 où, parmi 50 compagnies «startups» finalistes, le jury a choisi comme gagnante, la plate-forme Yammer qui justement, propose aux entreprises une solution de micro-blogging pour leurs employés !

Même si je ne soutenais pas le choix du jury (je penchais plus pour Goodguide), j’ai alors «twitté» sur le sujet et ai eu une intéressante conversation avec Jeremiah Owyang, de Forrester et Laura Fitton, de Pistachio Consulting. Tous deux, sans la savoir, ont monté leur propre liste d’outils de micro-blogging pour les entreprises, une liste qui ne cesse de s’allonger et qui comprend des poids lourds comme IBM, SAP et Oracle. C’est dire que le phénomène des micro-conversations est en train d’exploser, de sortir des officines des «initiés» et experts et de se répandre. Twitdir, qui recense les utilisateurs uniquement de Twitter, arrive déjà au chiffre du million (951 235, pour être plus précis).
La même Laura Fitton, à la conférence Enterprise 2.0 à Boston en juin dernier, avait d’ailleurs fait l’apologie de ce nouveau médium pour les entreprises, surtout dans des situations de gestion de crise, où sa rapidité permet d’être plus réactif et même proactif… Mais le million d’utilisateurs, l’intérêt grandissant des grands comme IBM et SAP ainsi que la multiplication des plates-formes à la Yammer, ne sont qu’un signe de l’éclosion de ce phénomène. De là à ce qu’il devienne «mainstream» et intégré dans les stratégies de communication des entreprises, il y a encore un grand pas à franchir. Pour une fois, le Québec sera-t-il innovant et précurseur ? J’en doute…
Pour en revenir aux deux listes, elles se chevauchent mais en essence, voici les 18 plates-formes qui ont été identifiées à date. De cette liste, une québécoise : Identi.ca. Donc, des solutions pour micro-bloguer dans un contexte d’affaires ou d’intranet et un outil de plus dans l’arsenal de l’Entreprise 2.0 :
- BlueTwit (IBM)
- ESME (SAP)
- Identi.ca
- I Did Work
- Jisko (AGPL)
- Joint Contact
- Mixin
- OraTweet (Oracle)
- Present.ly
- Prologue ( Un «thème» de WordPress par Automattic)
- SocialCast
- Status
- Sweetter 2.0
- Trillr
- Twoorl
- Yammer
- Yonkly
En passant, Laura Fitton sera conférencière à webcom-Montréal le 12 novembre prochain.
Le billet d’aujourd’hui sera assez succint. Je pourrais en remettre sur le personnage mais suffit de dire que le CEO d’AdventNet, Sridhar Vembu, est annoncé par certains analystes comme étant celui qui, avec sa suite logicielle Zoho, sera le «Google Killer»…

(Source Economist.com)
Mais avant d’en arriver là, il fait trembler le monde de l’informatique traditionnelle, ce que les amécains appellent les «Corporate IT». J’en ai parlé dans un récent billet : Google, Amazon, SalesForce.com et IBM se battent actuellement pour l’énorme marché de vos données mais aussi pour celui encore plus énorme des données et applications des entreprises. Pour ce faire, ces grands joueurs se doivent d’offrir des suites de produits à leurs clients, petits et gros, même si les gros ont habituellement leur propre parc applicatif. Les mieux placés à ce titre sont Google et IBM
Dans mon récent billet sur le monde du «Cloud Computing» et l’immobilisme des «Corporate TI», j’ai oublié de parler de Zoho, honte sur moi, surtout que l’ami Pascal Veilleux en est un ardent promoteur, ici au Québec ! Je fais donc amende honorable et vous laisse avec cet article paru dans The Economist.com

Parlant de Google, vous avez remarqué le changement de logo sur le moteur de recherche ? Qu’en pensez-vous ?
Les TI et le «nuage Web» : l’immobilisme au nom de la symphonie en mouvement !
5 septembre 2008Cela fait au moins un an que je tente de faire venir les gens de Google à Montréal afin qu’ils puissent venir parler à la conférence webcom-Montréal
. Parler d’entrepôts de données mais aussi parler de SaaS (software as a service) et surtout de «Cloud Computing
». Après les avoir rencontrés en juin dernier à Boston, ils ont finalement accepté d’être des nôtres le 12 novembre prochain… Le sujet risque d’être encore plus brûlant d’actualité que je ne croyais. Pourquoi ?

Parce que tous les gros joueurs de l’industrie s’y mettent : Google bien sûr mais aussi Microsoft, Amazon, SalesForce.com et maintenant IBM, oui, oui vous avez bien entendu IBM… En juin dernier, ils annonçaient à Boston la sortie d’une nouvelle ligne de serveurs 2.0, les iDataPlex Servers, destinés aux entrepôts de données des joueurs pré-cités mais on a appris, fin août dans un communiqué de presse repris par le Journal du Net , qu’ils allaient investir plusieurs centaines de millions dans leurs propres entrepôts… Pas seulement dans les serveurs et les entrepôts mais aussi dans le marché du SaaS et du Cloud Computing.

Le iDataPlex présenté en primeur à Boston en juin dernier
En juin dernier, les gens de Google sont débarqués en force à la conférence Entreprise 2.0
, qui avait lieu à Boston, avec comme but inavoué mais certain de convaincre les entreprises que leur salut réside maintenant dans l’externalisation
de leurs données, applications et centres de traitement informatiques vers le «nuage Internet».On parle ici de services Web, de SaaS mais aussi de Web 2.0, d’Entreprise 2.0, de KM 2., etc.
En fait, comme l’a mentionné Rishi Chandra
, de Google, le même qui sera à Montréal, la question n’est plus de savoir s’il y aura une profonde mutation de l’informatique vers le Web mais quand et surtout à quelle vitesse…Après la bataille pour nos données personnelles, ces GROS joueurs vont tout d’abord «écrémer» le marché des grandes entreprises, leurs clients traditionnels. Une stratégie qui devrait se déployer au cours des cinq prochaines années. Par la suite, elles devraient porter leur attention sur un autre segment, la longue traîne des entreprises, soit les PME-PMI, segment qui surprenamment, se montre très «frileux», du moins ici au Québec, à ces grandes mutations.

Rishi Chandra en conférence…
Ce qui me ramène à un de mes thèmes favoris, soit le manque de vision des entreprises québécoises et notre immobilisme technologique qui met sérieusement en danger notre compétitivité internationale. C’est patent au Québec mais pas unique. Lors de sa conférence à Boston, Rishi Chandra et Dion Hinchcliffe ont aussi abordé ce thème : L’innovation ne vient plus de l’entreprise elle-même mais de l’externe et surtout de particuliers comme vous et moi qui créons applications et contenus sur le Web mais aussi qui travaillons avec des outils plus performants que ceux utilisés en entreprise.
Donc, l’informatique traditionnelle est dépassée et ne génère plus que 20 % d’innovation contre 80 % de statu quo, ce qui était l’inverse avant : Et ce sont les vieux qui contrôlent les services TI et ces «vieux» emploient 80% de leur budget pour le maintien des infrastructures traditionnelles et leur sécurisation.
Ces derniers en sont toujours à parler d’architecture technologique d’entreprise visant à gérer l’intégration des solutions technologiques ou encore de gestion du patrimoine technologique et de sécurité des données et applications stratégiques. Ils ne peuvent cependant plus cacher que ces «architectures patrimoniales sécuritaires» entrainent des coûts de plus en plus élevés en termes de planification, d’évolution, de maintenance, d’immobilisation et aussi de gestion de la main d’oeuvre. Ce sera d’ailleurs le sujet d’une conférence à la FIQ le 18 septembre prochain, conférence prononcée par Jean-Pierre Fortin, chef de la planification stratégique des TI à la ville de Montréal : «L’architecture d’entreprise : une symphonie en mouvement».
Une symphonie qui sonne de plus en plus faux car maintenir un service TI qui peut comprendre un ou plusieurs centres de traitement informatique où ronronnent des milliers de serveurs d’applications et de données, des milliers d’applications-maison en plus des solutions des fournisseurs et un parc informatique de plus en plus complexe ouvre la porte aux fausses notes (pannes de toutes nature) et demande parfois un orchestre de plusieurs centaines de personnes (gestionnaires, architectes, analystes, conseillers, programmeurs, dépanneurs, etc). Payer l’orchestre et payer les instruments, payer pour leur entretien et leur réparation en cas de panne revient de plus en plus cher pour une entreprise dont la mission de base n’est pas l’informatique.
De là l’externalisation des installations et la dématérialisation des données dans le «nuage» Web et pas seulement pour les grandes entreprises. De là aussi l’apparition d’entreprises qui travaillent à offrir aux PME les mêmes services que Google et autres mais sous leur radar. Des firmes comme la québécoise Oriso. À court terme, elles pourront tirer leur épingle du jeu. À long terme, il leur faudra une offre différente pour demeurer compétitifs.
Mais les données et la sécurité ?
Question qui revient en effet sur toutes les lèvres des CEO ou CTO des entreprises ainsi que d’autres telles que : Google ou Amazon ou IBM ne deviendront-elles pas des Big Brother, propriétaires de nos données et les utilisant à des fins autres ? Et ne serons-nous pas prisonniers de ces entreprises qui auront nos données ET nos applications ? Et seront-elles en sécurité sur le Web avec tous ces hackers ? En réponse à cela, laissez-moi reprendre le compte-rendu que j’ai fait à Boston de la soirée intitulée «An Evening in the Cloud ».

Le panel de «Evening in the Cloud»
«Hier, en fin de journée, Google, Amazon et Salesforce.com commanditaient l’événement «An evening in the Cloud», petite soirée où les trois entreprises participaient à un panel inusité. Voici les règles du jeu : Les trois représentants de ces entreprises, soit Jeff Keltner
pour Google, Adam Selipsky
pour Amazon et Ross Piper pour Salesforce ont à convaincre quatre CIO que leurs données et applications ont avantage à résider dans un nuage plutôt que dans un centre de traitement sécurisé avec une distribution client-serveur. Le tout modéré par David Berlind
d’InformationWeek.
Débat intéressant où les quatre CIO ont déballé devant une salle comble ou presque, les peurs traditionnelles des gens de Ti devant tout ce qui est Internet 2.0 et plus… Tout y est passé, portabilité des données, propriété des données, confidentialité et surtout SÉCURITÉ. À ce titre, Richard Mickool
, CTO de l’université Northeastern, a sorti l’artillerie lourde en posant une question fort pertinente sur la dépendance des entreprises face à leurs «fournisseurs» dans l’éventualité de la délocalisation de son infrastructure informatique. Le fait d’être pris avec un seul fournisseur. Qu’arriverait-il si ce dernier disparaissait ou était vendu ? «I don’t want to be locked in» a-t-il lancé comme un cri du coeur.
À cette inquiétude, les trois compères ont opposé le fait que tous trois tenaient à ce que les entreprises demeurent en contrôle de leurs données et applications et qu’elle puissent avoir le choix de les retirer quand bon leur semble. Le principe de la portabilité, quoi. Les mêmes préoccupations que pour les individus avec leurs données sur le Web social…
Ensuite ce fut le tour de Mary Sobiechowski
de poser une autre question que j’attendais depuis le début. Les entreprises pourront-elles compter sur une bande passante suffisante pour leurs besoins croissants, surtout en matière de multimédia ? Je m’attendais à une réponse rapide de Google mais cette dernière n’est jamais venue. En faut, j’ai dû aller poser la question par la suite à Keltner. Ce dernier a confirmé que Google était bien un client d’Internet2
et du PC1 Cable System
, qui offre actuellement une possibilité de transit de 240 gigabits/seconde (Gbps) en plus d’avoir été conçu pour atteindre UN Tétrabit/seconde !!! (Tbps). Pas besoin de dire que les entreprises ont là, largement de quoi se rassasier et ce pour bien des années quand on sait que la plupart d’entre elles utilisent rarement plus que 100 mégabits/seconde.
Autre question que j’attendais et qui est finalement venue en fin de débat et de la part d’un participant dans la salle : Les coûts ! Un avantage net pour Google et compagnie. En fait c’est Amazon qui a répondu de la même façon qu’à la conférence Web 2.0 Expo à San Francisco : Un accès à un serveur d’applications pour aussi peu que 10 cents de l’heure. Besoin d’espace de stockage pour vos données (textes, photos, vidéos, etc.) ? Amazon vous offre le principe du «all you can eat» pour 15 cents du Gigabit par mois !».
Bref, beaucoup de mythes et de fausses croyances véhiculés par ceux et celles qui ne tiennent pas à ce que leurs petits royaumes soient démantelés quitte à faire payer une fortune à leur entreprise pour leur maintien. De là, le conservatisme au nom de la sécurité et l’immobilisme au nom de la symphonie en mouvement !
Intranets 2.0 et entrepôts de données…
20 août 2008Je republie aujourd’hui deux billets que j’ai commis durant la période de vacances de plusieurs d’entre vous. Ces deux billets sont particulièrement importants car ils vont constituer le fondement d’un prochain livre et de deux futures conférences.

Le premier porte sur les entrepôts de données et le second sur les intranets 2.0. Alors, vous me voyez venir ?
Entrepôts de données : Microsoft joue la transparence…
Dessine-moi un intranet 2.0 : Il en va de la compétitivité de nos entreprises !
Vous voulez participer à webcom gratuitement ? Alors, à vos claviers…
14 août 2008Juste un court billet aujourd’hui pour terminer celui d’hier sur webcom-Montréal. Ainsi, en donnant accès gratuitement aux présentations spéciales (keynotes) du matin, en poursuivant avec le concept de webcamp gratuit pour tous, en renouvelant l’expérience Yahoo-Live, en offrant gratuitement sur le site toutes les conférences en captation vidéo dans les jours qui suivent, les organisateurs font un véritable effort pour rendre la conférence accessible à tous et toutes. Ils ont franchi un pas de plus aujourd’hui en offrant à dix d’entre nous blogueurs, 20 billets à distribuer à nos fidèles lecteurs.
L’annonce du Yahoo-Live faite au webcom de mai dernier Nous avons donc deux billets chaque à distribuer, des billets d’une valeur de près de 500$ et qui donnent accès à TOUTES les conférences, le repas, le cocktail, etc. Ce que vous avez à faire pour en avoir un ? Pas compliqué… Vous n’avez qu’à répondre en commentaire à ce billet à la question suivante : «Dites-moi en quelques paragraphes quel serait, pour vous, la parfaite conférence webcom ?». Les deux meilleurs commentaires seront déterminés avec les organisateurs d’ici la fin septembre, ce qui vous donne plus d’un mois pour participer.Je publierai les noms des gagnant(e)s ainsi que leurs commentaires début octobre et transmettrai les noms aux organisateurs pour qu’ils les inscrivent à la conférence. Alors, à vos claviers… Partez !
Webcom-Montréal – automne 2008 : Un grand cru !
13 août 2008Avec de la suite dans les idées, je continue sur ma lancée du billet d’hier, qui portait sur les conférences Web 2.0 et qui a suscité plusieurs commentaires. Ainsi plusieurs lecteurs m’ont suggéré d’autres conférences, dont certaines à Montréal comme le StartUpCamp3. J’ai pourtant bien écrit que ma liste était non-exhaustive, donc incomplète, le but n’étant pas de recenser TOUTES les conférences mais certaines qui me semblaient intéressantes.

Plus particulièrement, je veux m’attarder sur la prochaine édition de webcom-Montréal, qui va avoir lier le 12 novembre prochain. La programmation n’est pas encore finale mais il convient de noter qu’il s’agira d’un grand cru. Des preuves ? Alors il suffit de mentionner la présence des conférenciers(ères) suivants : Rishi Chandra, de Google, qui viendra parler de «Cloud Computing», un de mes sujets favoris et dont je parle depuis plusieurs mois ou encore Marc Prensky de New York, qui viendra pour la première fois à Montréal. Ce dernier n’est pas n’importe qui… C’est lui qui dans son premier bouquin a défini ce que l’on nomme dorénavant la génération Y et la suivante la «NetGen». Pour lui, ils sont les «Digital Natives» et nous pauvres vieux de 30 ans et plus, nous sommes les «Digital Immigrants».
Rien que cela, ce serait une raison majeure pour assister à la conférence à l’OACI mais imaginez qu’il y a plus, bien plus : Isabelle Juppé, auteure du bouquin «La femme digitale», Ross Mayfield, le fondateur de SocialText, entreprise-phare du Web 2.0 et des wikis d’entreprise, Laura Fitton, la diva du micro-blogging chez nos voisins du Sud, la présence de Scott Gavin, une des références mondiales de l’Entreprise 2.0, René Barsalo de la SAT qui vient parler de notre existence et identité numériques et aussi Thomas Vander Wal. Vous vous souvenez de lui ? Thomas est une sommité mondiale du Web et en particulier du tagging et de la folksonomie et aussi Joël Muzard, une des références québécoises et mondiales en matière de Gestion de la connaissance.
Une brochette impressionnante n’est-ce pas ? En plus d’être sur place lors de la conférence, une grande majorité d’entre eux sera aussi présente la veille au soir au café Méliès pour le traditionnel Yulbiz spécial qui en quelque sorte, donne le coup d’envoi de l’évènement. Parlant d’activités qui gravitent autour de webcom, je m’en voudrais de ne par écrire sur le retour du webcamp gratuit, une idée du copain Sylvain Carle et qui en sera à sa troisième édition. Sylvain sera entouré de Seb Paquet, Martin Lessard et Philippe Martin. Le webcamp et le Yulbiz ne sont pas les seules activités gratuites.

En fait, il y aura aussi le retour de Yahoo-Live sur place toute la journée et animé par les copains Christian Aubry et Laurent Maisonnave, la captation vidéo par PQM.net de toutes les conférences et leur diffusion gratuite sur le site dans les semaines suivantes (voir les conférences de mai dernier disponibles) mais aussi et surtout l’accès gratuit à une partie de la conférence soit aux présentations spéciales de : Marc Prensky, René Barsalo, Laura Fitton, Isabelle Juppé et Joël Muzard.
Et ce n’est pas tout. Dans la partie payante de la conférence, les organisateurs ont pris justement en compte les suggestions de leur public-usagers en mettant au programme une vaste gamme d’ateliers pratiques et d’études de cas concrètes. Les participants seront à même de voir comment le Groupe Canam a organisé un grand évènement corporatif avec Facebook, comment Lockheed Martin a intégré le Web Social dans son intranet avec SharePoint, comment intégrer la Web vidéo dans une stratégie marketing, comment développer une mini-application Facebook, ainsi que les deux sites Web québécois qui ont mérité les 1ère et 2e place au concours international Intrablog, soit DessinsDrummond et Zap-Québec. Cet honneur sera d’ailleurs souligné sur place par le fondateur de ce prix international, soit Vincent Berthelot.

En fin de journée, webcom se termine toujours par un cocktail. Ce dernier sera cette année l’occasion de lancer deux nouveaux livres : d’une part le Guide des bonnes pratiques en développement de projets Web, une initiative de l’Alliance Numérique et d’autre part, le collectif «Entreprise 2.0 – Réflexions autour d’une nouvelle odyssée». Cet ouvrage auquel j’ai participé ainsi que le copain Bertrand Duperrin, est un collectif d’auteurs regroupés autour d’un projet nommé l’Odyssée de l’Entreprise 2.0. Le bouquin peut être acheté sur LULU.com et les recettes seront versées à la Fondation Wikimedia.
Voici venu le temps des… conférences !!
12 août 2008Retour de vacances un jour plus tard que prévu… Et ce n’est pas que la température ait été clémente au point de me faire hésiter à revenir, au contraire… Pour des vacances ensoleillées, j’aurais dû faire comme l’ami Philippe Martin et m’enfuir dans une île des Caraïbes. Soleil et chaleur assurés… Mais non, j’ai préféré les plaines bucoliques de la Montérégie, pour le vélo et le golf. Pas de chance… Il a fallu braver Dame Nature à chaque jour… Mais assez parlé du mauvais temps ! De retour au boulot en cette fin d’été, il est de mise de planifier les prochains mois.

Planification qui m’amène à vous parler de conférences. Sur le Web, actuellement, il n’y en a que pour les évènements Web 2.0. Se planifier un horaire de conférences devient un véritable casse-tête. Pour votre bénéfice et le mien, j’ai dressé une liste de 20 conférences intéressantes à se tenir un peu partout sur la planète d’ici à Noël :
1- Virtual Worlds Conference & Expo – Los Angeles, les 3 et 4 septembre
2- TechCrunch50 – San Francisco, les 8, 9 et 10 septembre
3- Digital ID World 2008 – Anaheim (Californie), les 8, 9 et 10 septembre
4- WikiSym 2008 – Porto (Portugal), les 8, 9 et 10 septembre
5- Web 2.0 Expo – New York, les 16, 17, 18 et 19 septembre
6- Interop New York 2008 – New York, les 15, 1, 17, 18 et 19 septembre
7- PodCamp Montréal – Montréal, les 20 et 21 septembre
8- BlogWorld&NewMediaExpo – Las Vegas, les 20 et 21 septembre
9- EmTech08 – Boston (MIT), les 23, 24 et 25 septembre
10- KM World&Intranets 2008 – San-Jose (Californie), les 23, 24 et 25 septembre
11-WebBuilder 2.0 – Las Vegas, les 13, 14 et 15 octobre
12- Web 2.0 Expo Europe – Berlin, les 21, 22 et 23 octobre
13- International Semantic Web Conference – Karlsrhue (Allemagne), du 26 au 30 octobre
14- Web 2.0 Summit – San Francisco, les 5, 6 et 7 novembre
15- PubCon 2008 – Las Vegas, les 11, 12, 13 et 14 novembre
16- Webcom-Montréal – Montréal, le 12 novembre
17- Online Information 2008 – Londres, les 2, 3 et 4 décembre
18- Gilbane Boston Conference, Boston, les 2, 3 et 4 décembre
19- LeWeb 08 – Paris, les 9 et 10 décembre
20- Search Engines Strategy 2008 – Chicago, du 8 au 12 décembre
De cette liste, non-exhaustive, j’ai retenu quatre conférences auxquelles je vais assister et vous relater les moments forts : Web 2.0 Expo à New York, PodCamp Montréal tout-de-suite après, webcom-Montréal, bien entendu et dont je vous reparle dans le prochain billet et finalement LeWeb 08 à Paris. La conférence que je vais manquer et à laquelle j’aurais aimé assister ? Définitivement KMWorld & Intranets 2008. Pour le contenu très Entreprise 2.0 et aussi pour l’endroit (Silicon Valley)
