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Une lutte de titans entre Google et Microsoft. L’enjeu : Vos données !

1 mai 2007

Je vous ai déjà parlé brièvement de ce qui se prépare de l’autre coté de la frontière. En particulier de la lutte te titans qui s’amorce entre Google et Microsoft. Une guerre commerciale et technologique sur plusieurs fronts, dont ceux de la vitesse de transmission, la capacité d’entreposage des données et les services Web et qui a pour enjeu rien de moins que toutes vos données….

Sur le front de la vitesse, on peut voir qu’entre l’Asie et les USA existe le PC1 Cable System et que ce dernier offre actuellement une possibilité de 180 gigabits/seconde (Gbps) et qu’en plus il a été conçu pour atteindre UN Tétrabit/seconde !!! (Tbps). Cette méga-autoroute n’a pas été mise là par hasard. Autant les USA, que le Japon et la Chine ont de grandes ambitions mais ce sont Google et Microsoft qui en sont les utilisateurs commerciaux privilégiés. Ils ne sont pas seuls car les universités et les militaires y sont également (voir les 6 cultures d’Internet de l’ami Martin Lessard)..

Mais Google et Microsoft voient en ce réseau «téra-rapide» autre chose que de la vitesse. En fait, ils sont en train d’installer des méga-usines de serveurs et d’entreposage de données en Oregon et dans l’état de Washington (sur le chemin du PC1).

La méga-usine de serveurs de Google en installation dans une ancienne aluminerie

Les deux entreprises américaines visent rien de moins que de révolutionner l’ordinateur ! Le LapTop deviendrait un vulgaire terminal pour accéder à une foule de Services Web. Sceptiques ? Regardez l’offre de Services Web actuelle de Google et demandez-vous pourquoi Bill Gates a laissé sa place à Ray Ozzie, le créateur de Lotus Notes… Si vous voulez en savoir plus sur ce facsinant sujet, je vous invite à lire les fantastiques reportages réalisés pour Wired par Georges Gilder et Fred Vogelstein. Dans ma présentation du mois d’octobre 2006 à webcom-Montréal, j’y avais aussi fait allusion, surtout celui, intitulé : «The Information Factories», où l’auteur, Georges Gilder, décrit ainsi ce que Google et Microsoft sont en train de réaliser et qui est à mon avis très proche du «Operating System» :

«The desktop is dead. Welcome to the «Internet cloud», where massive facilities across the globe will store all the data you’ll ever use. »

Plus encore, «l’Internet Cloud» et les «Information Factories» chères à Wired ainsi que les Services Web chers à Microsoft et Google annoncent également l’avènement des «LifeLogs», véritables carnets de vie personnels aussi bien que corporatifs. Science-fiction ? Pas du tout…Cette solution, à mon avis existera bientôt (d’ici 2020 ou avant) et passera par la prochaine génération de blogs : les LifeLogs. Imaginez… Un employé entre au service d’une entreprise à 20 ans et le quitte, disons, à 50… Il aura accumulé 30 ans d’expériences diverses, d’expertise cumulative, acquise au fil des ans et à grands frais et tout cela sera perdu au moment où l’employé quittera, pour une raison ou une autre. Mais il y a :…

Microsoft et MyLifeBits

J’ai déjà parlé que Microsoft Research planchait sur le sujet avec le projet MyLifeBits, sorti tout droit de l’imagination de Gordon Bell. Ce dernier est en train de tester le concept. Imaginez… Pouvoir emmagasiner toute une vie d’articles, de livres, de cartes, de CD, de lettres, de courriels, de mémos, de rapports, de photos, d’images, de présentations, de films, de bandes vidéos, de DVD, d’émissions télé, de revues de presse, de conférences Power Point, de podcasts, d’enregistrements audio, de conversations téléphoniques, etc. et tout cela emmagasiné et digitalisé dans une base de données unique avec recherche intégrée. Des vrais carnets de vie en entreprise. Toute l’expertise capturée au jour le jour, classée et surtout récupérable, les anglais disent «retrievable».

Pour y arriver, vous comprenez toute la pertinence des «Information Factories» et le course aux alumineries désaffectées de Microsoft et Google. Surtout que les possibilités des LifeLogs semblent plaire de plus en plus aux gestionnaires qui, d’ici 2014, verront quitter 60% de la main d’oeuvre des grandes entreprises, des sociétés para-gouvernementales et des gouvernements eux-mêmes. Un énorme problème en perspective en matière d’expertise et de mémoire d’entreprise. Créer cette mémoire et retenir cette expertise font partie des fantasmes les plus avoués de tout responsable RH et la solution dans ses rêves les plus fous….. Mais elle passe par l’intégration des technologies actuelles de capture de cette expertise afin de créer la «mémoire de l’entreprise». Ce sont les blogs, les wikis, les sites de mise en relation, les nouveaux engins de recherche sémantiques et open source, les nouveaux outils de partage de vidéos et de photos qui vont amener à cette mémoire, en plus bien sûr des banques de données existant déjà dans les couches de gestion documentaire en entreprise.

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Toujours par deux…Caricatures à l’appui !

30 avril 2007

Vous remarquez que je produis régulièrement des billets à deux sujets ? Non ? Pas grave… Je vais récidiver en parlant de deux sujets très importants pour l’Internet de demain mais surtout caricaturés par le site BLaugh, l’équivalent américain de Têtes à Claques mais qui se permet uns satyre quotidienne de la Blogosphère. Juste quelques mots sur ses fondateurs, Brad Ftizpatrick, un extroverti originaire de Winslow, Maine et son comparse Chris Pirillo, plus introverti, d’on ne sait où…

La première caricature fait référence à un de mes thèmes favoris : L’écart générationnel, que nous avons tendance à identifier comme le «Déclic générationnel». Plusieurs, dont Marc Prensky et René Barsalo s’y réfèrent en parlant de cet écart en identifiant les Immigrants du numérique, soit en généralisant, les 30 ans et plus et les Natifs du numérique, soit les 30 ans et moins. Toute une théorie de l’apprentissage tourne autour de ce principe. Nous en reparlerons…

Mais voici une caricature qui explique la fracture entre ces générations. L’une de la télé et l’autre du Web :

La seconde caricature, tirée de la banque de BLaugh et a trait à la vitesse. Vitesse de transmission de données par le Web s’entend. Si je me reporte en février dernier, en conférence de presse, Manon Brouillette, vice-présidente responsable du marketing chez Vidéotron, a démontré qu’un clip de trois minutes pouvait être téléchargé en 45 secondes, à raison de 50 mégabits par seconde, alors que la technologie de Cisco pourrait réduire le temps requis à 20 secondes. «C’est bien beau de parler de 100 mégabits, mais est-ce que les ordinateurs sont capables de le prendre? On fait partie de la chaîne. On travaille pour 100 mégabits, mais il se pourrait très bien qu’on décide de lancer à 30 ou 40 mégabits, quitte à proposer quelque chose de plus rapide par la suite», a fait valoir Mme Brouillette. «C’est ce que les consommateurs vont nous dire qui va nous permettre d’identifier la vitesse requise au moment du lancement. Si le besoin se fait sentir, on pourra proposer 100 mégabits», a-t-elle commenté.

Une image vaut mille mots…

Pour les internautes, outre de payer leur abonnement à Vidéotron, le seul changement nécessaire sera l’ajout d’un câble modem multi-canaux. «On change le modem et le tour est joué», a dit Mme Brouillette. Les porte-parole de Vidéotron croient que le nouveau service pourrait être lancé dès cette année. Le prix de ce service n’a pas encore été déterminé.»

Évidemment, le service coûtera plus cher mais quelle avancée intéressante ! Et quand on regarde un peu plus loin, on peut voir qu’entre l’Asie et les USA existe le PC1 Cable System et que ce dernier offre actuellement une possibilité de 180 gigabits/seconde (Gbps) et qu’en plus il a été conçu pour atteindre UN Tétrbit/seconde !!! (Tbps).

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Exoplanète et robot mécano !

29 avril 2007

Je je cache pas on penchant pour la science-fiction et pour la science tout court. Deux nouvelles ont couru les blogs et les bulletins de nouvelles qui rapprochent l’une de l’autre, SF et astronomie et exploration spatiale. Tout d’abord l’annonce de la découverte d’une exoplanète par des chercheurs de trois laboratoires français associés au CNRS, de l’Observatoire de Genève et du Centre d’astronomie de Lisbonne. Ces derniers ont détecté pour la première fois un système planétaire extra-solaire incluant une planète de type terrestre habitable.

Située autour de l’étoile naine rouge Gl581, à 20,5 années-lumière de notre planète, cette « super Terre » est la plus légère des 200 planètes extra-solaires connues à ce jour. Elle est aussi la première à posséder à la fois une surface solide ou liquide et une température proche de celle de la Terre. Il y ferait entre 0 et 40 degrés Celsius… Les États-Unis en quelques sorte :o) Ces points communs avec notre planète permettent d’imaginer l’existence d’une éventuelle vie extra-terrestre !!! (Voilà pour le SF) à n’en pas douter une seule seconde, cette planète va devenir l’objet de toute l’attention des scientifiques (dont ceux du SETI), surtout ceux responsables des prochaines missions dédiées à la recherche de vie extra-terrestre, dont celle mettant en vedette le satellite DARWIN.

Et le robot mécano…

En attendant les découvertes du satellite Darwin et une future mission spatiale à la rencontre de la vie extra-terrestre, l’Agence spatiale canadienne vient d’annoncer qu’elle mettra à la disposition de l’équipage de la station spatiale internationale un nouveau robot canadien. Après le CANADARM il y aura maintenant DEXTRE…Un nouveau robot qui fera de l’entretien mécanique à l’extérieur de la station.

En fait, il remplacera les astronautes dans des tâches d’entretien et de manipulation de précision. L’ancêtre de R2D2 sera équipé de : projecteurs, de matériel vidéo et bien sûr d’une plate-forme complète d’outils Mastercraft ! Lancement prévu pour février 2008 pour le robot conçu par MD Robotics, de Brampton, en Ontario..

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Le virtuel s’insinue dans nos claviers !!!

20 avril 2007

Un petit sujet qui s’est imposé de lui-même et qui a trait à un clavier virtuel pour «laptop» et pour Blackberry. Certains sont au courant mais je ne l’étais point jusqu’à la conférence Lotusphere 2007, qui a eu lieu au Sheraton mercredi dernier. Parmi les exposants, CoreFusion , une entreprise de Toronto, qui, en plus de ses solutions d’hébergement d’applications, avait en démonstration le VKB…pour Virtual KeyBoard, un gadget hich-tech qui, vous ne serez pas surpris, vient de Hong Kong (voir photo ci-dessous) !

Fini les problèmes en avion, en auto ou en vélo (je pousse un peu…) avec votre clavier d’ordinateur ou de Blackberry. Exemple : Vous êtes en voyage d’affaires, en avion en direction de Los Angeles. Vous voulez vous servir de votre BB et taper de nombreuses correspondances. Long et fastidieux. Solution : le VKB. Vous installez votre BB dans la pochette du siège qui vous fait face, descendez la tablette et branchez votre BB au VKB et le tour est joué : Sur la tablette, apparaît une représentation laser Bluetooth de votre clavier et vous tapez sur le clavier reproduit. Génial ! Et tout cela pour moins de 200 $US.

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Allo Montréal, LotusSphere comes to you !

18 avril 2007

Comme je vous l’ai écrit dans le billet précédent, je suis dans une salle au Sheraton à Montréal, à la conférence LotusSphere 2007, organisée par IBM Canada et une de ses représentantes les plus compétentes à Montréal, Sophie Beauchemin (ce n’est pas de sa faute pour les accès Internet). En effet, dans pareille conférence, on se serait attendus à avoir un accès internet sans fil dans la salle pour tous les participants… Eh bien, non… Seulement quelques accès distribués avec parcimonie aux conférenciers et exposants. Les participants ? Pas assez importants faut croire.. Je me suis donc débrouillé pour en trouver une..

Ceci étant redit, la conférence était un condensé de l’événement mondial de Lotus, «LotusSphere, Comes to You», qui a lieu à tous les ans à Orlando en Floride. IBM, Lotus, Notes, des solutions entreprises et bien sûr, propriétaires. J’y allais avec mes clients du Groupe Canam, Christiane Frégeau, Mathieu Bernatchez et Pascal Vachon. Et comme je m’y attendais un peu, d’entrée de jeu, les premiers conférenciers ont parlé des nouveautés de Notes 8, de SameTime , version 7.5.1, Web Sphere 6.0, etc. mais avec un nouveau langage : IM, vidéo point à point, collaboration, chats, Linux , mahups avec Google Maps ou autres Google gadgets, etc.

L’effet 2.0 sur les grands…

Des concepts très 2.0. En fait, il est devenu évident qu’IBM, comme Microsoft, SAP, BEA et autres grands fournisseurs de «Smart Enterprise Suites», mot inventé par Gene Phifer de Gartner, sont impactés directement par les petits joueurs qui veulent devenir grands et prendre leur place.C’est Chris Anderson, dans Wired qui parlait de la Long Tail

Mais LA nouveauté pour répondre à toutes ces nouvelles technologies issues du 2.0 est Quickr (un nom à la Flickr, Inpowr). Une mini-suite collaborative avec tout ce qui est requis pour le «Team Content Sharing» : Blogs, wikis, calendriers communs, gestion de de contenus avec workflow, Ajax, etc. Ne manque que la mise en relation professionnelle. Et pour aider les entreprises à se faire la main, une version dite «personnelle !

Je disais qu’il ne parlaient pas de mise en relation professionnelle ? Faux ! Le «Social Software» est apparu sur les écrans, lui aussi… Le nom Lotus Connections. C’est LA mise en relation professionnelle à la LinkedIn mais avec blog intégré à la Viadeo et des bookmarks à la Del.icio.us. Le meilleur des trois mondes ! Depuis le temps que j’en parle en conférence et dans mes cours à l’université, c’est maintenant disponible pour les entreprises dans une solution qui ne «dérange» pas les architectures informatiques traditionnelles, ce qu’IBM nomme «Inclusive architecture embracing heterogeneity» !

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Inpowr fait jaser à San Francisco !

18 avril 2007

Comme mentionné hier soir, je voulais bloguer en ce mnercredi matin plutôt ensoleillé, sur la présence québécoise à la conférence Web 2.0 conference & Expo, qui se déroule actuellement à San Francisco. J’ai eu un appel hier soir du président d’Humanix, Michel Chioini, dit Mr. Oscar, qui m’a fait part de leur grande satisfaction quant à la présentation, lundi PM de leur nouvelle plate-forme Inpowr. Près de 3 000 personnes dans la salle lors du lancement… En fait, il y a plus de 11 000 personnes d’inscrites à la conférence !!!

Donc, selon le président d’Humanix, un lancement plus que réussi et qui devrait propulser la compagnie montréalaise à l’avant-scène du Web 2.0, aussi bien au Québec que chez nos voisins anglophones car la plate-forme Inpowr sera bilingue.Et signe de popularité sur place, les membres de son équipe sont sollicités de toutes parts, en particulier par de potentiels «VC», des gros joueurs du marché tels que Yahoo et aussi par les médias. Attendez-vous à un reportage dans LA revue à la mode dans le monde du Web 2.0, soit Business 2.0.
À lire également l’excellent article paru dans VentureBeat, où on réfère à ce que propose Inpowr, non au Web 2.0 mais au «Meilleur vous 2.0» !

Attendez-vous aussi à voir des reportages dans VentureBeat.com et bien ûr dans le très québécois Technaute qui est sur place avec Marie-Ève-Morasse. C’est d’aulleurs cette dernière qui, parlant à Michel Chioini, lui a fait dire que la sélection de leur solution par les organisateurs avait été faite par un jury dont le président est nul autre que Chris Anderson, le rédacteur en chef de la revue Wired.

J’ai dit que je voulais bloguer… En fait j’ai écrit ce billet mais n’ai pas pu le publier avant d’avoir eu une connexion par un des mes amis exposant car j’étais dans une salle au Centre Sheraton à Montréal, à la conférence LotusSphere 2007, organisée par IBM Canada.  En effet, dans pareille conférence, on se serait attendus à avoir un accès internet sans fil dans la salle pour tous les participants… Eh bien, non… Seulement quelques accès distribués avec parcimonie aux conférenciers et exposants. Les participants ? Pas assez importants faut croire…Je vous reparlerai de cette conférence, très différente de l’autre, dans un autre billet qui suit.

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Enfin, la télé sur Internet avec une foule de canaux au choix; c’est JOOST !

12 avril 2007

Je vous ai parlé de Joost, le projet de TV sur Internet des créateurs de Skype, Niklas Zennström et Janus Friis.. Je me suis inscrit cmme «Bétà testeur» et enfin, j’ai la télévision sur Internet, qui me permet de regarder une foule de chaînes sur mon «LapTop» avec une programmation personnalisée.

La résolution vidéo est surprenante de qualité mais le son laisse un peu à désirer avec des coupures. On arrive sur Joost dans «MyChannels». On vous offre au départ, un choix de 23 canaux. de la musique, du sport, de la télé-réalité, des dessins animés, des documentaires (voir celui sur Mars en photo) mais pas de nouvelles, pas d’actualités ou de politique…encore ! Pour obtenir plus de choix, on se rend dans le «Catalogue».

C’est, en fait, un portail qui offre l’ensemble des fonctionnalités. Dans une disposition traditionnelle, vous avez un menu à gauche qui vous offre :

– New on Joost
– Most Popular (Les choix du public)
– Staff Picks

Catégories
– Entertainment &Films
– Comedy
– Music
– Sports&Games
– Documentary$Life Styles
– Cartoons&Animation

Chaque catégorie ouvre un sous-menu avec les choix de postes. Vous choisissez, disons Music, vous avez ensuite le choix entre divers postes qui chacun, vous offre un choix de spectacles.Toujours en termes de navigation, vous avez un menu horizontal en haut qui vous offre le choix entre : Découvrir, Explorer ou Décider. Ce dernier est un des endroits où on accède à la personnalisation. Car chaque canal vous offre le choix de le mettre dans vos favoris ou de le retirer.Et quand vous écoutez une émission, vous avez dans le bas de l’écran, votre télécommande pour le son, avancer et reculer, pause, information etc…

Il y a aussi «MyJoost». On y Retrouve un «MenuWidget» qui permet d’ajouter à l’écran des fonctionnalités superposées de blog, de chat, d’IM, la possibilité d’inviter des connaissances, d’évaluation des postes et/ou des émissions, etc. Très complet !

En écrivant ce post, j’ai pu «écouter» en écran séparé, un documentaire sur Mars et une émission intitulée 5th Gear, une émission britannique où on fait des essais d’autos «à la Jacques Duval»... Mais c’est exotique avec des modèles tels que la Pagani Zonda S, disponible pour la modique somme de 651 280 $Can. Exotique aussi de les voir conduire à gauche des voitures faites pour être conduites à droite… Et finalement j’ai terminé en écoutant un film de science-fiction intitulé BrightNight. Oh ! En passant… Les pubs sont courtes pour l’instant (moins de 5 secondes…).

Un petite soirée de test et je suis accro ! Maintenant j’ai mon téléphone et ma télé sur mon «LapTop». Quoi d’autre ?

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Les 40 maîtres de l’innovation technologique !

29 mars 2007

Comme à chaque année depuis 10 ans, le magazine Wired publie ce mois-ci son classement des 40 compagnies les plus «Wired»», comprenez les plus innovatrices en matière de nouvelles technologies…et pas seulement dans le domaine du Web… ou presque !

En fait, je vous fais la liste des dix premiers de la liste. À vous de consulter la nouvelle édition pour le reste. Donc, qui vient en premier cette année ? Pas la moindre idée ? Allons, c’est facile ! Il s’agit d’une compagnie américaine dont le siège social est établi à Mountain View en Californie. Vous y êtres ? Google bien entendu ! Et selon Wired, ce classement se mérite par le fait que Google est en train de transformer ses énormes revenus publicitaires en un réseau planétaire basé sur la fibre noire et des méga-centres de traitement de données. Appelez cela le «Cloud Computing»

J’en ai d’ailleurs déjà traité en surface : En plus de «Cloud Computing», on parle «d’Information Factories». J’y reviendrai dans un autre chronique…Mais revenons à notre classement. Sur les neuf autres du Top10, quatre proviennent du domaine de l’informatique : Apple en 2e, Samsung en 4e, Salesforce.com en 7e et Nvidia en 10e. Les autres sont des cousins plus ou moins proches. Genentech en 3e fait dans la bio-génétique, NewsCorp. en 5e fait dans les Mass Médias, Nintendo en 6e dans lers jeux et le «Gaming»et General Elecrtic en 9e fait dans…les systèmes de sécurité, l’avionique (moteurs) et les nouvelles technologies médicales…Bref, loin des turbines pour les barrages hydroélectriques.

Petite analyse rapide : Prenez cinq des six premiers et listez leurs champs d’expertise : 1- Cloud Computing, 2- iPods, iPhones, iTV, 3- Santé génétique 5- Médias sociaux, 6- Gaming. Si on rajoute Cisco en 8e avec les télécommunications, nous avons là, un condensé des principales avancées technologiques des dix prochaines années…

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SAP retarde le lancement de son nouveau bébé : Non de code A1S

19 mars 2007

Le célèbre firme allemande SAP, c’est un secret pour personne, offre des solutions progicielles à code propriétaire aux grandes entreprises, SAP restant perçue comme la «Rolls-Royce» du progiciel de gestion (la RR coûte très cher à acheter, conduire et réparer…).Dans un monde en profond changement, où foisonnent maintenant les solutions à code source ouvert, beaucoup moins dispendieuses ainsi que les plates-formes Web 2.0, la firme allemande commence à sentir la soupe chaude..surtout au vu des derniers résultats de SAP, plutôt décevants.

Même si SAP occupe toujours le terrain avec des clients dans 120 pays, 15 millions d’utilisateurs, ses solutions «mid-market» ont du mal à décoller : 10 000 utilisateurs à ce jour pour All in one, et 12 000 pour Business One. Un changement culturel s’impose : Cibler les départements informatiques, c’est le passé… SAP doit désormais parler aux utilisateurs finaux. Avec la «Consumption Ready Suite», SAP devait passer à l’offensive avec comme cible les utilisateurs des PME..

L’annonce était attendue au grand salon européen CeBit 2007 qui se déroule à Hanovre du 15 au 21 mars. Déception : la firme allemande, spécialisée dans les progiciels de gestion devrait plutôt la présenter dans plusieurs semaines… Pourtant, ce devait être LA plus importante annonce professionnelle du salon : le lancement d’une solution pour PME  (nom de code: « A1S« ). SAP a plutôt annoncé une autre nouveauté à la place…

L’éditeur a donc revampé son offre existante. Il a annoncé 80 nouveautés ajoutées à son offre SAP «All in One» dont une nouvelle interface simplifiée sur le mode d’accès en un seul clic. SAP revendique aussi plusieurs exemples de projets avec des implémentations de moins de 100 jours. La ligne Business One, plus particulièrement dédiée aux PME, va aussi profiter d’améliorations : la prochaine version est attendue au deuxième trimestre 2007.

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«Word of Mouth», Web 2.0 et télé sur Internet : Convergence

14 mars 2007

Deux sujets à traiter ce matin et je vous jure, ils n’ont rien à voir  avec le débat des chefs d’hier… Le premier a été relevé par Matrin Lessard dans un récent carnet et a trait au «Word of Mouth», un sous-courant du Web 2.0 qui s’applique particulièrement au nouveau marketing Web. On retrouve d’ailleurs une association sur le sujet, dont l’acronyme est WOMMA. On retrouve aussi un intéressant blog, publié par Sean Moffitt, dans lequel il explique le phénomène en 36 points (comme les 36 cordes sensibles). Donc, comme le souligne Martin, le WoM a non seulement son association et un ardent défenseur qui en blogue mais aussi une chaîne Télé sur le Web !

Ainsi, à l’instar de Diggnation et Joost, apparaîtra sur vos écrans d’ordinateurs, dès le 30 mars,  DailyWOM.TV, outil de diffusion et d’information quotidienne sur les techniques de Word of Mouth et de valorisation du pouvoir du consommateur.

Bienvenue à la nouvelle télé !

C’est justement le propos de mon second sujet. Déjà le 22 janvier dernier je vous ai parlé de Joost, le projet de TV sur Internet des créateurs de Skpe, Niklas Zennström et Janus Friis. Ces derniers viennent d’annoncer le lancement de Joost, un «système» de télévision sur Internet permettant de regarder les grandes chaînes sur ordinateur avec une programmation personnalisée. Ce projet ambitieux est déjà disponible en version Béta et l’on invite les utilisateurs à tester la nouvelle plate-forme. Intéressé(e)s ? Armez-vous de patience car la liste d’attente est longue, j’en sais quelque chose... Surnommé «Venice Project» jusqu’à tout récemment, Joost permet aux utilisateurs de recevoir les chaînes gratuitement, avec, comme pour Skype, de l’interactivité, soit des possibilités d’enregistrement programmé, de rediffusions, de démarrage des programmes à la demande, etc.

La télé sur Internet selon Joost

Les promoteurs, qui expliquent vouloir «combiner le meilleur de la télévision et le meilleur d’Internet», ont basé leur nouvelle plate-forme du Web 2.0 sur une technologie de diffusion en PtoP, «peer-to-peer». Le logiciel est déjà téléchargeable sur le site, (Liste d’attente !!!) mais pour l’instant le nombre de chaînes disponibles est limité. «Les gens recherchent davantage de choix et de souplesse dans leur usage de la télévision, et l’industrie du loisir veut garder le contrôle de leur contenu», a souligné Frederick de Wahl, PDG de Joost, cité dans un récent communiqué de presse. Les fondateurs de Skype ne sont pas les seuls à s’intéresser à ce lucratif marché.

Et il y a Diggnation et bien d’autres qui frappent à la porte… Dans le cas de Diggnation, un des deux fondateurs est Kevin Rose, aussi fondateur du site Digg, dans lequel les animateurs, dont lui-même, vont puiser les sources d’information qui font la programmation. Déjà, ils attirent un auditoire de 1,5 million de spectateurs par mois. Et si vous doutez des possibilités de la télé sur Internet, lisez le reportage récemment paru dans Business 2.0. Selon une étude publiée récemment, on prévoit que 53% de la population des États-Unis regardera la télé sur Internet d’ici 2010 et surtout, 80% de celle qui est branchée !!!

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500 millions de téléchargements de Skype !

12 mars 2007
Le logiciel de téléphonie sur internet Skype a été téléchargé plus de 500 millions de fois. «La barre des 500 millions de téléchargements a été atteinte en un peu plus de 42 mois, depuis la première introduction du logiciel en mode bêta en août 2003», se félicite la société Skype Inc. Côté utilisateurs, ils seraient aujourd’hui plus de 171 millions dans le monde assure la société rachetée en 2005 par Ebay.

Malgré ce succès, Skype est toujours à la recherche d’un modèle économique viable. La grande majorité des utilisateurs ne font en effet que converser gratuitement de PC à PC. «Seulement 2,5% des utilisateurs enregistrés de Skype ont pris une option payante, principalement pour appeler des fixes ou des mobiles», confiait fin 2006 un de ses responsables. Skype a récemment tenté un virage tarifaire, en lançant une formule par abonnement qui n’a pas convaincu les analystes. Début 2007, Skype a lancé aux États-Unis et au Canada une formule par abonnement annuel, dont le prix est sans équivalent sur le marché des télécommunications: pour 30 $US, l’utilisateur pourra passer des appels illimités vers les fixes et mobiles sur toute l’Amérique du Nord.

À titre de comparaison, les services de VoIP concurrents outre-Atlantique sont facturés 25 $US par mois en moyenne. C’est le cas chez les opérateurs AT&T, Vonage ou Verizon. Les câblo-opérateurs, comme Comcast, proposent pour environ 40 $US par mois, la VoIP couplée à l’accès internet et la télévision, à l’image des offres triple play françaises ou du forfait trio de Viidéotron à partir de 69.95 $CAN par mois. Le coût de la VoIP est évalué à environ 10 $US. Là encore, la formule de Skype apparaît donc comme très avantageuse.

Les analystes estiment pourtant qu’elle aura un impact modéré. Tout d’abord, ils rappellent que Skype est un acteur très peu populaire aux États-Unis et réservé aux technophiles. Il y rassemble environ 4 millions d’utilisateurs enregistrés…Ils rappellent par ailleurs qu’aux USA et au Canada, le prix des communications sont très bas. Les communications locales sont le plus souvent gratuites. Sur le marché du mobile, la formule de référence intègre pour 40 $US par mois: 10 heures de communications en journée, plus l’illimité le soir et le week-end (T-Mobile USA). Au final, pour un Américain, Skype n’a réellement d’intérêt que dans le cadre des communications internationales, concluent-ils.

Parlant de téléphonie...

À partir de mercredi il sera possible de transférer son numéro de téléphone cellulaire d’une entreprise à l’autre au Québec dans les indicatifs régionaux 514, 450, 418 et 819. On parle ici de transfert entre téléphone cellulaire. De plus, les numéros de ligne terrestre.pourront également être transférés sur un téléphone cellulaire, et vice versa. Dans son bulletin publié le 7 mars, Infopresse mentionne que la firme PriceWaterhouseCoopers évalue à 850 000 le nombre d’abonnés qui pourraient changer d’opérateur au cours de la première année.

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Les CS Games 2007 débutent aujourd’hui !

9 mars 2007

Vous connaissez les CS Games ???  Moi je ne connaissais pas…jusqu’à ce que je lise le blog de Heri Rakotomalala. La cinquième édition des Computer Science Games ont lieu à l’Université McGill à Montréal à compter d’aujourd’hui et ce jusqu’au 11 mars. Ainsi 34 délégations d’universités du Canada et des États-Unis et bien sûr du Québec, vont rivaliser d’adresse pendant trois jours et se disputer les grand honneurs de la compétition. Une compétition féroce, basée sur des épreuves imposées dans des domaines aussi divers que l’intelligence artificielle, les algorithmes, la cryptographie, le LAN Gaming, le Team Software Engineering, le design Web, etc.

L’an dernier l‘École de Technologie Supérieure à Montréal était l’hôte de la quatrième édition des CS Games en 2006. L’événement avait alors accueilli 313 participants venus de 24 universités du Canada et des USA, dont la moitié du Québec. Les participants se sont battus jusqu’à la dernière minute avec des résultats serrés jusqu’à la dernière compétition. Finalement, c’est l’équipe de l’Université de Rochester qui l’a remporté grâce à leurs bonnes performances dans toutes les compétitions.

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