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Claude Malaison

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Plus de vitesse sur Internet : Vidéotron vise 100 mégabits/seconde (mbit/s)

2 février 2007

Aujourd’hui, j’ai une irrésistible envie de vous relater dans son intégralité, une petite nouvelle parue ce matin dans Technaute.com et qui a trait à une conférence de presse qui s’est tenue hier à Montréal. Le texte va comme suit : «En partenariat avec le fournisseur de technologies Cisco, Vidéotron expérimente depuis plus d’un mois une technologie d’accès à Internet susceptible de quintupler la vitesse de son service actuel le plus performant.Pas moins de 120 abonnés résidentiels et 30 abonnés d’affaires de la région de Montréal ont été choisis pour la mise à l’essai de la technologie de modems Wideband, de Cisco, pouvant atteindre des vitesses de 100 mégabits/seconde (mbit/s).

En conférence de presse, jeudi, Manon Brouillette, vice-présidente responsable du marketing chez Vidéotron, a démontré qu’un clip de trois minutes pouvait être téléchargé en 45 secondes, à raison de 50 mégabits par seconde, alors que la technologie de Cisco pourrait réduire le temps requis à 20 secondes. «C’est bien beau de parler de 100 mégabits, mais est-ce que les ordinateurs sont capables de le prendre? On fait partie de la chaîne. On travaille pour 100 mégabits, mais il se pourrait très bien qu’on décide de lancer à 30 ou 40 mégabits, quitte à proposer quelque chose de plus rapide par la suite», a fait valoir Mme Brouillette. «C’est ce que les consommateurs vont nous dire qui va nous permettre d’identifier la vitesse requise au moment du lancement. Si le besoin se fait sentir, on pourra proposer 100 mégabits», a-t-elle commenté.

Pour les internautes, outre de payer leur abonnement à Vidéotron, le seul changement nécessaire sera l’ajout d’un câble modem multi-canaux. «On change le modem et le tour est joué», a dit Mme Brouillette. Les porte-parole de Vidéotron croient que le nouveau service pourrait être lancé dès cette année. Le prix de ce service n’a pas encore été déterminé.»

Évidemment, le service coûtera plus cher mais quelle avancée intéressante ! Et quand on regarde un peu plus loin, on peut voir qu’entre l’Asie et les USA existe le PC1 Cable System et que ce dernier offre actuellement une possibilité de 180 gigabits/seconde (Gbps) et qu’en plus il a été conçu pour atteindre UN Tétrbit/seconde !!! (Tbps). Cette méga-autoroute n’a pas été mise là par hasard. Autant les USA que le Japon et la Chine ont de grandes ambitions. Ainsi Google et Microsoft sont en train d’installer des méga-usines de serveurs et d’entreposage de données en Oregon et dans l’état de Washington. On vise rien de moins que de révolutionner le PC ! Le LapTop deviendrait un vulgaire terminal pour accéder à une foule de Services Web. Sceptiques ? Regardez l’offre de Services Web actuelle de Google et demandez-vous pourquoi Bill Gates a laissé sa place à Ray Ozzie… Si vous voulez en savoir plus sur ce facsinant sujet, je vous invite à lire les fantastiques reportages réalisés pour Wired par Georges Gilder et Fred Vogelstein.

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OpenSocialWeb

Encore un autre site du Web 2.0 au Québec !

1 février 2007

Après avoir déploré. fin 2006, l’immobilisme du Québec techno. en matière d’occupation de la sphère du Web 2.0, je dois avouer que le début 2007 laisse entrevoir un avenir plus radieux pour nos entreprises. Ainsi, après l’annonce par Canoë du lancement de la plate-forme EspaceCanoe.com, une plate-forme de mise en relation sociale du type MySpace et qui est quelque peu calquée sur le site de mise en relation personnelle Réseau Contact.com (Le directeur des communautés Canoë, Martin Aubut, supervise les deux sites), on apprend que les dirigeants de Radioactif.com ont décidé de concurrencer le bébé de Québécor en lançant la plate-forme Radioactif.tv.

La nouvelle plate-forme veut offrir la possibilité pour ses membres de créer des pages personnelles et de faire du réseautage social mais aussi, comme pour YouTube, de mettre en ligne, de visionner et/ou de partager des vidéos, esayant ainsi de devancer EspaceCanoë en ce domaine, puisque les responsables de la plate-forme propriété de Québécor prévoyaient cette possibilité dans six mois. Gageons que l’annonce, faite hier, obligera M. Aubut et ses collaborateurs à revoir leur stratégie d’implantation.

Dans une entrevue rapportée par Technaute.com, Dominic Gignac, le vice-président aux opérations chez Generationflash.com, la firme qui a conçu Radioactif.tv,  souligne : «Nous allons offrir une véritable alternative aux sites américains dans lesquels le contenu québécois se noyait et n’était pas mis en valeur». Pas un mot sur la concurrence québécoise !

D’autres sites du même genre ont récemment fait leur apparition sur le Toile québécoise, dont Justepourrire.com, Ckoitonblogue.com, Tontuyau.com et Tonclip.com.. Les précurseurs du mouvement avaient été Yves Williams, Stéphanie Simard et Martine Gingras, trois internautes de la première heure au Québec, qui ont fondé en 2001 la plate-forme de mise en relation professionnelle AgentSolo.com. Et même si ces derniers affirment à qui veut l’entendre que leur plate-forme n’est pas Web 2.0… Parlant d’Agent Solo, tous les efforts semblent mis, ces jours-ci, sur une version anglaise de la plate-forme, version qui pourrait bien apparaître en ligne ce printemps…Tags: Tags: Tags: Tags: Tags: Tags: Tags:

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Quand les utilisateurs se comptent par millions…

30 janvier 2007

Les sites de «networking» social, on le sait, jouissent en 2006-2007 d’une popularité fulgurante. Il n’y a qu’à penser à MySpace qui a atteint le plafond du 130 millions de membres. De son côté, Friendster va atteindre sous peu 30 millions de membres, comme Windows Live Spaces. Live Journal, quant à lui, flirte avec le 11 millions de membres, alors que Facebook en a 12 millions et que la plate-forme de mise en relation professionnelle LinkedIn a atteint récemment 8 500 000 membres. Ça, ce sont les USA et nos voisins du Sud écrasent littéralement toute concurrence dans le domaine ou presque..

Car il existe des sites ailleurs de par le monde et qui tentent de faire leur niche. Ainsi en France, il y a quelques jours, le co-fondateur.de la plate-forme de mise en relation professionnelle Viadeo, Dan Serfaty, annonçait fièrement aux membres de la plate-forme le dépassement du millions d’abonnés en ces termes : «Un peu plus de deux ans après son lancement, Viadeo passe aujourd’hui le cap du million de membres. Au-delà de ce chiffre symbolique, cela veut dire que vous être tous les jours plus nombreux à nous faire confiance et à utiliser Viadeo pour déveloper votre réseau professionnel. C’est dans cette perspective que nous avons ouvert le site à six langues et que nous sommes passés en fin d’année dernière, du nom de Viaduc à celui, plus international, de Viadeo. Le succès de Viadeo, c’est avant tout le succès de chacun d’entre vous, ses membres..».

En passant, Viadeo s’est ouverte à d’autre langues, d’autres cultures mais aussi au Québec… En effet, de plus en plus de québécois deviennent membres de Viadeo faute d’avoir une plate-forme semblable au Québec. D’autres s’inscrivent également à LinkedIn, question de réseauter avec le marché nord-américain. Du côtéeuropéen, Viadeo compte sur un comcurrent direct en OpenBC et son pdg Lars Hinricks. Cette autre plate-forme européenne a elle aussi dépassé le cap du million de membres mais en mars 2006 et a aussi changé de nom pour XING, probablement pour attirer une clientèle orientale ???.

De gauche à droite : Lars Hinrichs (XING), Matt Cohler (Facebook), Eric Wachmeister (a Small World)

Dans les autres sites qui tentent de résister à la vague américaine, on compte Cyworld en Corée du Sud (l’équivalent de MySpace) avec 15 millions de membres, Mixi au Japon avec 5 millions de membres mais aussi Piczo au Canada avec 10 000 000 de membres. Citons également iWiW de Hongrie avec 1,5 million de membres et Lunar Storm de Suède avec 1,2 million de membres. Finalement, il y a Doyoulookgood.com, site français, fondé par Sportif et LadyMystaria en 2002 et qui compte près de 1,5 million de membres. Il y a aussi aSmallWorld, un site très niché et qui vise l’élite européenne et qui, pour l’instant, compte 150 000 membres
Pour en revenir au Québec, peu de choses en fait… Le plus fréquenté des sites de ce type est RéseauContact de Québécor avec une communauté de 1 065 423 d’hommes et de femmes. Et pour concurrencer MySpace, Québécor a créé tout récemment, presquu’un clone de RéseauContact, soit EspaceCanoë.com. Pour le moment la plate-forme est trop jeune pour afficher quelque chiffre que ce soit. Côté mise en relation professionnelle, rien…ou presque car il existe bien AgentSolo, qui compte 13 445 membres, tous des trvailleurs autonomes, ce qui limite son effet viral…Tags: Tags: Tags: Tags: Tags: Tags: Tags: Tags:

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Google, Google et encore Google…

27 janvier 2007

Y’a rien à faire… On ne peut pas consulter l’actualité technologique ces jours-ci sans entente parler de l’entreprise mise sur pied par Larry Page et Sergey Brin,et qui domine le marché mondial des engins de recherche avec 54 % des parts de marché, selon le cabinet de mesure d’audience Neilsen NetRatings. Tout d’abord et vous en avez certainement entendu parler ces derniers jours, l’entreprise, qui a son siège social à Mountain View, en Californie, a décidé d’avoir pignon sur rue à Montréal et s’est installée discrètement au 1000 De La Gauchetière avec une petite équipe et cherche déjà à embaucher des programmeurs et développeurs, spécialistes du système d’exploitation Windows…

D’autres sources parlent qu’il s’agit d’un compromis géographique trouvé pour accomoder les équipes finlandaises du numéro 1 de la recherche sur Internet, qui avaient l’habitude de se réunir dans la Métropole avant que leur entreprise ne soit rachetée par Google. Une installation qui fait jaser dans la Cité et qui en fait saliver plusieurs…Des rumeurs parlent même d’expansion future de d’embauche pouvant aller jusqu’à 300 personnes ! Voilà qui fait saliver…

Ce qui fait aussi saliver c’est le branding… Ainsi, le magazine brandchannel.com a demandé à 3 625 professionnels et étudiants du monde entier quelles marques de commerce ont eu le plus d’impact dans leur vie en 2006. Et vous ne serez pas surpris d’apprendre que Google vient en tête de liste pour une seconde année consécutive. Vient au second rang Apple et ensuite YouTube, acheté en cours d’année par Google pour 1,64 milliard $US. En quatrième poistion on retrouve Wikipedia.. Les cinq premières positions occupées par des entreprises du Web 2.0... Vous vous souvenez de ma chronique d’hier et du classement des sites québécois. Force est de constater que l’influence et la fréquentation sont deux choses fort différentes mais il ne’en reste pas moins que l’on voit apparaître une tendance très nette vers la dominance de ces sites et plate-formes sur l’Internet et ce pour bien des années…

D’ailleurs, s’il n’en tient qu’à Wikipedia, il en sera ainsi car le patrpon et fondateur de la plus inportante encyclopédie collaborative au monde, Jimmy Wales. planche sur un moteur de recherche d’un genre nouveau. Sur le même principe que Wikipédia, il fera appel aux internautes pour vérifier la pertinence des résultats. Nom de code : Search Wikia. Celui qui refuse toujours toute forme de publicité sur sa plate-forme, veut créer un moteur de recherche pour tenter de concurrencer Google. Pour lancer son nouvel outil, par le biais de sa société Wikia (dont l’un des principaux investisseurs est Amazon.com), il entend s’inspirer des principes qui ont fait le succès de Wikipedia: des technologies ouvertes et la participation des internautes.

Et finalement, fallait bien parler d’un autre produit vedette de la firme californienne soit Google Maps… Ainsi, le moteur de recherche sur Internet va relier les livres qu’il propose sur sa librairie en ligne à son service de cartographie pour que l’internaute puisse utiliser directement les plans des lieux cités dans un ouvrage. Google a commencé «à animer l’information statique» contenue dans les livres qu’il a numérisés à ses cartes interactives accessibles sur Google Maps, a indiqué vendredi un ingénieur de Google, David Petrou, sur son blog. L’idée est de créer un lien hypertexte pour chaque lieu cité dans un ouvrage, qui conduira automatiquement à une ville, un lieu-dit, un quartier sur une carte numérique.
Chôment pas les amis et c’est sans parler des méga-projets de «manufactures d’information» et de «nuage Internet» en cours de conception, loin dans les montagnes de l’Orégon. de cela on s’en reparle…


Oh ! en passant, en bon citoyen corporatif, Google offre le service Wifi gratuit à tous les résidents de Mountain View. Gentil non ? Tags: Tags: Tags: Tags: Tags: Tags:

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Palmarès des sites Internet au Québec : Les TêtesàClaques et Atomas en vedette !

25 janvier 2007

Lu ce matin sur Technaute.com ce matin : On y rapporte les derniers chiffres sur la fréquentation des sites Internet au Québec, chiffres publiés par la firme comScore Media Metrix. Sans surprises, la palmarès québécois est dominé par les grands portails et engins de recherche. Ainsi, MSN (ce qui inclue MSN.ca et MSN.com) arrive en tête avec 6 824 000 de visiteurs uniques(VU) en décembre 2006, en hausse par rapport à 2005 où il dominait alors avec 5 862 000 VU. Il n’y a pas à aller très loin pour rencontrer la première surprise… En effet, le deuxième rang de Live devant Google en constitue une de taille ! Le moteur de recherche de Microsoft fait son entrée au palmarès avec 3 423 000 VU contre 3 394 000 VU pour son concurrent Google.Faut dire qu’il s’agit de Google.ca… Si on ajoute les VU de Google.com, soit 2 383 000. Google domine nettement la marché québécois pour les moteurs de recherche avec 5 777 000 VU.

Autre surprise, qui n’en est pas une pour ceux qui ont suivi l’ascension de la nouvelle étoile qui brille maintenant au firmament des dix sites les plus consultés au Québec. Vous vous en doutez ? Eh oui ! TêtesàClaques.TV fait son entrée au neuvième rang avec une audience fort respectable de 2 075 000 VU, devant Canoë.com et Yahoo! qui ne franchissent pas la barre du 2 millions de VU. Une autre surprise : Le 13e rang de Free.fr un fournisseur français d’accès Internet haut débit, avec tout de même 1 770 000 VU.Vous cherchez YouTube, MySpace, Wikipedia, Flickr ou Blogger.com ? Les sites emblématiques du Web 2.0 sont loin du «Happy 10»…

Les deux plus visités sont Wikipedia en 16e position avec 1 581 000 VU et YouTube en 17e avec 1 460 000 VU toujours en 2006…Blogger.com vient loin derrière en 30e position avec 960 000 VU. Pas de MySpace ou de Flickr dans le décor des 50 sites les plus visités…

Attention les As, voici Atomas !!!

Vous vous souvenez de ce dessin animé ? Vous êtes nostalgiques des Yogi l’ours et tous les personnages de Hanna-Barbera ? Eh bien, vous pouvez les retrouver sur le 44e site le plus visité au Québec, soit Miniclip.com. Vous pourrez vous délecter en regardant la Fourmi Atomique ou Atom Ant car les clips sont en anglais Oh ! Ils ont aussi Bugs Bunny, Daffy Duck, Porky Pig et…El Kabong

Parlant de chiffres, vous avez aussi lu cet autre article qui mentionne que deux américains sur trois passent plus de temps devant leur ordinateur qu’avec leur blonde ??? C’est ce qui ressort d’une étude sérieuse…menée aux États-Unis par la firme indépendante Kelton Research, entre décembre 2006 et janvier 2007. Lisez les détails dans Technaute.com.

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Web politique

Techno et politique prise 6 : Une première Démocrate – Obama ou Hilary ???

24 janvier 2007

Comme je le disais dans une récente chronique, il y a quelques semaines, les Démocrates ont pris le contrôle de l’agenda politique chez nos voisins du Sud avec des majorités au Congrès, au Sénat mais aussi chez les gouverneurs des divers États … Vont-ils profiter des deux prochaines années pour sécuriser le seul verrou qui leur résiste toujours, soit la Présidence ? Et il est encore toujours ausi vrai qu’ils auront certes fort à faire avec l’héritage de Georges Bush, surtout en politique étrangère.

Qui sera à la hauteur et capable de redonner aux USA une crédibilité internationale et de sortir du bourbier Irakien et de définir une politique objective et inclusive pour le Moyen-Orient ? De «normaliser» les relations avec l’Amérique du Sud et l’Amérique Centrale ? Plusieurs candidats se sont déjà déclarés et du groupe, Hillary Clinton est la plus polupaire et de loin avec 34% des intentions de vote contre 18% pour Barack Obama et 15 % pour John Edwards ?

Les deux camps se positionnent dans la plus pure tradition politique américaine mais aussi dans la plus pure Web politique, une réalité qui est ausi américaine dans ses origines. Sur le Web, déjà, pullulent les sites et les blogs en faveur d’une multitude de candidats et en plus, on retourve les grands blogs politiques tels que Daily Kos. Dans le camp Démocrate, qui nous intéresse plus particulièrement ce matin, Barack Obama s’est démarqué au fil de départ par l’utilisation des nouvelles technologies de communication telles que les Podcasts. Toutefois, la lutte des sites officiels et des blogs le met clairement «on a collision course»avec la sénatrice Hilary Clinton.

Cette dernière a été un peu plus lente à organiser sa stratégie Web mais il est maintenant clair, qu’après s’être officiellement lancée dans la bataille, elle bénéficie d’une stratégie béton et de moyens financiers importants, ayant même embauché Peter Daou, blogueur politique qui avait participé à la dernière campagne présidentielle dans l’équipe de John Kerry.. C’est lui-même qui a annoncé dernièrement, sur son Daou Report, avoir accepté une proposition pour rejoindre l’équipe d’Hillary en tant que « blog advisor ». Ce qui fait qu’elle est actuellement la seule à offirir, pour l’instant des Webcasts interactifs, question de «chatter» avec l’américain moyen qui veut bien s’inscrire.

Elle a un site traditionnel, oui, mais aussi un site plus interactif avec blogues, vidéos et une section très Web 2.0 où elle invite ses supporters à s’engager et en plus de contribuer au contenu, de contribuer bien sûr au financement et à l’organisation, à créer des événements, etc. Le site, intitué Just the beginning est fort bien conçu. Donc elle est maintenant en avance dans les sondages mais aussi sur l’uitilisation du Web et de ses nouveaux moyens de communication interactifs.
Toutefois, si l’on tient compte de ce qui se passe dans la Blogosphère et en particulier sur Technorati, rien n’est acquis pour Mme Clinton, même avec tous ses points d’avance. On y parle beaucoup de LA confrontation avec Barack Obama. Alors, un noir (ou plutôt un métis) ou une femme comme candidat Démocrate à la présidence ? Un ou l’autre, si la course finit par les mettre face à face, vont faire l’histoire politique américaine comme l’a fait hier Nancy Pelosi, devenant la première femme «Speaker of the House». L’histoire pourrait être encore plus bousculée si on en arrivait à une course présidentielle entre une femme de race blanche, soit Hilary Clinton et une femme de race noire, soit Condoleezza Rice, assurant ainsi une première aux USA : Madam President. Et que dire d’un G8 avec trois femmes : Hillary Clinton ou Condy Rice, Ségolène Royal et Angela Merkel… Tags: Tags: Tags: Tags: Tags:

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Web politique

La France se donne une plate-forme Web 2.0 pour les présidentielles !

23 janvier 2007

De retour à ma chronique sur le Web et la politique… Non, non, je ne vous parlerai pas aujourd’hui de Hilary Clinton et de ses clavardages mais plutôt de ce qui se passe en France… Ainsi, à moins de 100 jours du premier tour des élections présidentielles et alors que les candidats officialisent leurs sites Web de campagne, un groupe de pionniers du Web 2.0 dévoile Politique2.fr, un portail inspiré de Netvibes mais proposant exclusivement du contenu politique.Utilisant les technologies Web 2.0, Ajax, les services Web et l’Open source, le site compile et agrège plus de 850 sources différentes dont l’ami Loïc bien en vue en haut de liste… : Articles des blogs, de presse, questions, images ainsi que des vidéos de candidats ou des podcasts issus de YouTube ou de Yahoo!.

«Ce concept répond au besoin des internautes qui s’intéressent à la politique et qui veulent suivre en temps réel leurs sources d’informations privilégiées, les comparer et les partager. Ce tableau de bord renvoie aux sources qu’ils peuvent commenter ou ajouter à leur signets. Ainsi, politique2.fr se propose-t-il de favoriser l’émergence d’un véritable ‘cinquième pouvoir’ . La participation au débat public en facilitant l’expression directe individuelle du citoyen est le crédo de politique2.fr» explique Jamin Rubio, cofondateur du site et directeur de la société Tenso, qui souhaite par ailleurs proposer l’application à des médias pour la rentabiliser.

Complémentaire de sites comme PlaceDeLaDemocratie.net et BonVote.com ou de la blogopole de l’université technologique de Compiègne, la plate-forme Politique2.fr devrait séduire les militants et les simples observateurs de la vie politique française. Cette vie grouillante et grenouillante devrait être très mouvementée dans les prochains mois avec des élections présidentielles et législatives en 2007 sans oublier les élections municipales de 2008. Web politique Tags: Tags: Tags:

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Après Skype et la téléphonie Internet, arrive Joost et la télévision Internet !

22 janvier 2007

Un peu tout l’monde dans les blogues et les Web-zines en parlent… Donc je ne suis pas original mais il ne fallait pas passer sous silence cette nouvelle d’importance : Les fondateurs du logiciel de téléphonie sur Internet Skype, Niklas Zennström et Janus Friis, viennent d’annoncer le lancement de Joost, un «système» de télévision sur Internet permettant de regarder les grandes chaînes sur ordinateur avec une programmation personnalisée. Ce projet ambitieux est déjà disponible en version Béta et l’on invite les utilisateurs à tester la nouvelle plate-forme. Intéressé(e)s ? Armez-vous de patience car la liste d’attente est longue, j’en sais quelque chose... Surnommé «Venice Project» jusqu’à tout récemment, Joost permet aux utilisateurs de recevoir les chaînes gratuitement, avec, comme pour Skype, de l’interactivité, soit des possibilités d’enregistrement programmé, de rediffusions, de démarrage des programmes à la demande, etc.


Les promoteurs, qui expliquent vouloir «combiner le meilleur de la télévision et le meilleur d’Internet», ont basé leur nouvelle plate-forme du Web 2.0 sur une technologie de diffusion en PtoP, «peer-to-peer». Le logiciel est déjà téléchargeable sur le site, (Liste d’attente !!!) mais pour l’instant le nombre de chaînes disponibles est limité. «Les gens recherchent davantage de choix et de souplesse dans leur usage de la télévision, et l’industrie du loisir veut garder le contrôle de leur contenu», a souligné Frederick de Wahl, PDG de Joost, cité dans un récent communiqué de presse. Les fondateurs de Skype ne sont pas les seuls à s’intéresser à ce lucratif marché. Déjà plusieurs joueurs offrent des formules plus ou moins semblables dont Watchonline.tv, MSN-TV et quelques autres… Tags: Tags: Tags: Tags:

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Communication interactive

La révolution de la communication interactive: Le meilleur est à venir !

21 janvier 2007

Et si, en matière de communication interactive, le meilleur était à l’intérieur ? Depuis une douzaine d’années, les outils dédiés à la communication interne des entreprises enchaînent révolution sur révolution. Les systèmes de messagerie informatiques se sont faits doubler par le courriel, lui-même rejoint par la vague des intranets et dépassé par la marée des portails. Un mouvement innovant perpétuel aujourd’hui entretenu par de nouveaux prétendants. Car non seulement en matière de communication interne interactive le meilleur est à l’intérieur, mais le meilleur est également à venir !

En haut de la pile, la nouvelle génération d’intranets-portails. Au fil des ans, l’intranet est un outil qui s’est largement répandu dans l’univers professionnel. Aux USA, en 2004, un sondage effectué par Jupiter Research indiquait que 98% des grandes entreprises (avec plus de 3 milliards de revenus) avaient des intranets. Au Canada en 2003, 58% des entreprises canadiennes avaient un intranet alors qu’en France, selon les chiffres fournis par l’Association ClubNet, 99,8 % des entreprises de plus de 6 000 employés et 48 % des PME/PMI possèdent un intranet. Et selon la firme de vigie technologique américaine Gartner, d’ici 2010, 98% des entreprises américaines et canadiennes auront un intranet, 81% en Europe et 52% en Asie !

Les entreprises les plus en pointe ont pris la mesure du problème : il ne suffit pas de déployer un intranet pour que la communication interactive interne se fasse. Encore faut-il proposer, dans une interface simple, les services personnalisés, de l’interactivité et des contenus attendus par tous, non seulement informatifs mais aussi collaboratifs (partage d’expertise). En France, chez PSA Peugeot Citroën, l’équipe en charge de l’intranet menée par Bénédicte Alzati, a choisi de prendre le virage technologique. Pour satisfaire le plus grand nombre possible de salariés et susciter l’adhésion, le groupe automobile mise sur un intranet de nouvelle génération entièrement personnalisable. A chaque collaborateur d’y construire son propre univers de travail. Même chose au Québec, chez Bell Canada avec l’équipe menée par Céline Barbeau.

Autre problème, celui de la diffusion. En "électronisant" sa communication interne, l’entreprise risque de laisser de côté une partie de ses salariés, ceux qui n’ont pas d’accès à un outil informatique. Une fracture qui peut devenir très vite délicate à gérer. Il faut donc donner à ces salariés des outils qui leur permettent d’accéder aux contenus intranets hors entreprise. La connectivité croissante, les outils Wifis, les ordinateurs portables avec RPV et autres consoles commencent à apparaître dans l’arsenal de communication technologique de l’entreprise

La nouvelle communication interactive ne se limite pas aux seuls intranets. Elle couvre également tous les échanges directs entre salariés. Dans ce domaine, le courriel devra d’ici quelques années affronter de sérieux concurrents. En premier lieu la messagerie instantanée, que beaucoup de spécialistes imaginent comme la prochaine grande étape de la communication inter-personnelle. Mais la MI est peut-être déjà chose du passé car un autre phénomène frappera sous peu l’entreprise et de plein fouet : Les Wikis. Avec ces plates-formes dynamiques, les salariés peuvent construire ensemble un document, qu’ils alimentent, qu’ils modifient au gré de leurs problèmes, de leurs idées. Les Wikis seront suivis par les plates-formes de mise en relation, les plates-formes d’échanges, les sites de micro-conférence et peut-être, un jour les «Worklogs»…

Toute une révolution dans le monde encore très discret du travail collaboratif et de la communication interne en phase de devenir interactive !

Au final, une question est posée par le milieu de la comm. en France : Tous ces nouveaux outils, remplaceront-ils à terme la communication orale et le support papier ? «C’est peu probable, estime Vincent Fournout, directeur général de Textuel La Mine, agence de conseil et de production de contenus éditoriaux pour les services en ligne, dans une entrevue au Journal du Management. Il est par exemple difficile de remplacer un magazine de communication interne d’une trentaine de pages avec de belles photos et que les salariés peuvent ramener chez eux. Nous allons donc plus vers une logique de complémentarité entre les différents supports, une circulation de l’information
de plus en plus intense».

Une réponse typiquement française et générationnelle. D’un côté, le tableau d’affichage, les notes et bulletins internes sur papier et le journal d’entreprise (quatre couleurs process…), moyens soutenus par l’anciienne génération littéraire. De l’autre, les Wikis, les blogues et l’intranet, soutenus par les jeunes qui investissent le champ professionnel. Deux mondes hermétiques en apparence, mais qui vont pourtant devoir apprendre à communiquer et à collaborer.  Tags: Tags: Tags:   Tags: Tags:

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Événements OpenSocialWeb

Des batailles fort différentes : TVA contre YouTube et iPods contre iPods !

19 janvier 2007

Lu dans la version électronique du Journal Les Affaires : Le réseau TVA a démandé récemment, aux autorités de  YouTube (Google) de retirer de leur plate-forme tout contenu provenant des émissions du réseau québécois, propriété de Québécor. Donc, après RBO et Radio-Canada, c’est au tour de TVA de bloquer la diffusion de ses contenus sur Internet.

 Jusqu’à maintenant, TVA tolérait la présence de courts extraits de sa programmation sur YouTube. La filiale de Quebecor Media a cependant coupé court à cette tolérance lorsqu’elle a commencé à voir apparaître des émissions intégrales sur le populaire site de téléchargement. Selon un porte-parole de Québécor, Luc Lavoie, c’est que YouTube «draine du contenu canadien sur une plate-forme américains. Et avec le contenu s’envolent aussi les dollars publicitaires, au profit de YouTube». Question de gros $$$..

En réponse à la demande TVA, YouTube a retiré tous les clips vidéos envoyés sur son site avec l’étiquette du télédiffuseur. L’étiquette est une mention que donnent les utilisateurs pour permettre d’identifier facilement le contenu qu’ils placent sur YouTube. Le contenu de TVA serait cependant encore accessible sur d’autres sites de partage de fichiers…La requête de TVA n’est pas tout à fait innocente car il faut noter que Québécor permettra l’hébergement de contenu de TVA sur son propre site de mise en relation, EspacesCanoë, qui vient d’être lancé, il y a quelques jours…

Des batailles de iPod !!!

Il y a un an de cela, naissait à Paris, le concept de bataille de iPod : les «iPod Battles». Il s’agit de faire s’affronter deux équipes munies de iPods et qui doivent, avec des clips audio allant de 30sec.à 2 mins,  séduire, provoquer, étonner, bref faire réagir l’assistance.  Autre principe : répondre à l’adversaire en faisant monter le rythme, l’ambiance. Au fur et à mesure, le son monte, l’énergie aussi jusqu’au climax applaudi ou hué par la foule hystérique….

C’est comme les organisateurs le disent un matrch de lutte audio avec ring et arbitre !!! Les équipes peuvent même se présenter avec costumes et accessoires !!! Et il y a plusieurs manches avant de déterminer le gagnant, ce qui lasse la possibilité à une équipe de se reprendre disons, sur une mauvaises performance d’entrée. Le gagnant est déterminé comme pour les matches d’impro. C’est la foule qui décide…Mais pas avec des cartons…Avec ses applaudissements et il n’y a pas de claques de lancées… Le prochain événement du genre aura lieu samedi soir à Montréal au club Lambi, au 4465 rue St-Laurent et a été présenté en «expérience» à l’émission Christiane Charette en direct à Radio-Canada vendredi matin. Pour plus d’informations sur le phénomène, lisez le reportage de Nicolas Rioux sur Technaute.comTags: Tags: Tags: Tags: Tags:

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Communication interactive LifeLogs

D’ici 2010, bloguerons-nous notre vie dans des carnets ?

17 janvier 2007

Lu dans plusieurs blogues et Webzines français ces derniers jours, dont Leblogueur.com ou Toute seule avec… et sur Internet Actu, plusieurs références aux travaux du Nomura Research Institute de Tokyo sur la possible feuille de route de l’évolution du Web 2.0 d’ici 2011 et l’apparition vers 2010 des «Lifelogs» dans nos vies et nos technologies. Le terme est aussi référencé dans Wikipedia car, vous le verrez plus bas dans cette chronique, plusieurs organismes américains dont certains militaires, s’intéressent au phénomène depuis des années déjà…

D’une part, la feuille de route du Nomura Institute Cette feuille de route me fait étrangement penser à un graphique sur lequel je travaille et qui vise à expliquer l’émergence et l’évolution des nouvelles technologies d’ici 2020 et qui, pour le moment, n’en est pas à sa forme finale même si présenté en avril dernier à Webcom-Montréal 2006. Les deux mettent en lumière, l’apparition après 2010 des «Lifelogs» en tant que synthèse, d’une part, de plusieurs technologies de communication et de mise en relation, des valeurs fondamentalement behaviorales… et d’autre part, les technologies d’exploration de soi, venant répondre au nouveau courant développemental de la société du XX1e siècle, soit le «mieux-être»…

Les Lifelogs ou Carnets de vie, originent d’un projet de l’«Information Processing Technology Office» et du «Defense Advanced Research Projects Agency» chez nos voisins du Sud. Il s’agit d’un projet basé sur un système orienté-ontologies qui capture, stocke et rend accessible tout le bagage et l’expérience de vie d’une personne ainsi que ses interactions avec le monde afin de nourrir des agents intelligents et autres potentialités du système. Le but est que le système puisse ensuite «suivre» la personne, de tracer des «fils de vie» en termes d’événements, d’états d’esprit et d’interrelations humaines et de «proposer» des changements et/ou améliorations. Pour compiler les immenses bases de données nécessaires et ainsi créer un «Carnet de vie», le système suit systématiquement toutes les activités électroniques de l’individu, des transactions par carte de crédit aux courriels en passant les appels cellulaires, le sites Web visités, les déplacements enregistrés par sondes GPS, les dossiers médicaux, les données biométriques, etc.

Bloguer sa vie, être constamment présent sur le Web et être constament visible en tout temps et en tous lieux : Microsoft parle de son côté de MyLifeBits… C’est le nom du projet dans sa phase actuelle chez Microsoft Research, un des projets «fétiche» de la nouvelle stratégie concoctée par le successeur de Steeve Jobs, Ray Ozzie.Ouvrir cette possibilité est comme ouvrir la boîte de Pandore… Qui sait et jusqu’où nous mènera cette nouvelle avenue ? Pensez seulement à tout le potentiel de capture et de partage du savoir que ces carnets peuvent offrir aux entreprises et institutions…

De nombreuses questions d’éthique seront cependant soulevées sur la confidentialité des méga banques de données ainsi créées et de leur utilisation. L’ombre de Big Brother plane sur nous… Tags: Tags: Tags: Tags: Tags:

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OpenSocialWeb

MySpace veut séduire les jeunes français…

15 janvier 2007
Je vous écris cette chronique, confortablement installé à une table du Café Méliès, rue St-Laurent à Montréal. Dehors, il neige à plein ciel….Certains parlent de tempête mais comme disent les gens originaires du Saguenay, c’est une légère chute de neige…Encore une fois, j’ai le goût de vous transporter ailleurs… Encore une fois en France, un pays que j’affectionne… Alors que se passe-t-il chez nos cousins ?  Non, je ne parlerai pas de politique, de Sarko ou de Ségolène… Je veux simplement vous souligner le fait que l’américanité va atteindre de nouveaux sommets en France. Et pourquoi donc ?

Tout simplement parce que MySpace, propriété du groupe News Corp. (Rupert Murdoch). vient d’annoncer la création d’une filiale française, MySpace France. Et si vous doutez de la réussite de l’entreprise, posez-vous cette simple question : qui peut se targuer de compter 650 000 utilisateurs référencés avant même son lancement ? En test depuis août 2006, MySpace France , dirigée par Marc Mayor, ancien directeur général du site de finance bfinance.com, a reçu plus de 1,2 million de visiteurs uniques en novembre. Première plate-forme du Web 2.0, la plus populaire aux États-Unis mais deuxième en chiffres absolus derrière Yahoo!, MySpace est un site de « mise en relation sociale et d’exposition de soi  » :Il permet d’ouvrir gratuitement sa page personnelle, pour parler de soi, ses goûts, ses coups de coeur. Les autres membres, séduits par une photo ou des affinités communes, demandent à prendre contact et des réseaux d’intérêts se forment ainsi progressivement. Dans ce créneau, MySpace France entrera en concurrence directe avec Skyblog et la nouvelle plate-forme Vox.de la société  SixApart..Tags: Tags: Tags: Tags:

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