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SIJM08 à Montréal : le «Serious gaming» sort de l’ombre…

18 novembre 2008

J’ai passé la journée au Sommet international du jeu de Montréal. C’est l’édition 2008 et à cette occasion, les organisateurs ont eu la bonne idée de structurer une «piste» consacrée uniquement au « Serious GamIng« , euphémisme anglophone qui veut nommer la réalité du jeu vidéo appliquée à tous les domaines dits sérieux de notre vie : l’éducation, le travail, la santé, à science, la défense, etc.

Avec la complicité d’Ovilier Champion de l’Alliance Numérique, qui m’a déniché une passe de presse, j’ai donc assisté aux conférences de cette piste et suis tombé sur celle de Joseph Biglin, fondateur et CEO de TrainingPort Stretegies, une compagnie qui produit de ces jeux pour des compagnies mais aussi pour des commissions scolaires, des universités, pour l’armée, etc.

Joseph Biglin en conversation avec un  militaire de l’armée canadienne…

Ce fut difficile de couvrir les évènements de la journée en direct. Fallait d’abord être capable de trouver comment se brancher au réseau sans fil du Palais des congrès. On m’a  d’abord dit que le sans fil ne serait disponible que dans la salle de presse avec un code de branchement. Ce qu’on nous a pas dit, c’est que pour obtenir ce branchement, il fallait absolument utiliser InternetExplorer au lieu de Firefox.

J’ai aussi fini par savoir que le sans fil était aussi disponible dans la salle d’exposition, où ont lieu les conférences «keynotes« ainsi que dans le salon VIP, malheureusement hors limites pour les participants… Et pas non plus dans les salles de conférences. Dommage pour ma couverture en direct sur Twitter… J’ai donc fait du 140 caractères dans la salle de presse après, question de supplémenter mes notes écrites. Eh oui, la bonne vieille méthode dans une conférence sur le supposé Web 3.0 et possiblement 4…

En voici quatre avant de justement complémenter :

Viens d’assister à la conférence de Joseph Biglin sur le Serious Gaming parle de «Constructivism Learning»

L’entrée des jeux vidéo sérieux à l’école se fera avec XBox ou avec le gPhone ? Les deux… .

Projets de Serious Gaming aux US : Baltimore County Public Schools, aussi www.dimensionm.com

How do we engage kids in schools ? Not by blocking Internet games sites at school…

Dans le premier de ces «twits»« je fais référence  à une notion qui n’est guère connue ici et qui a soulevé l’intérêt de l’ami Christian Joyal d’inpowr... Le «Constructivisim Learning» ?  Une théorie de plus sur l’éducation qui a été récupérée par ceux qui croient que l’appretissage à l’école ne se base pas sur le «par coeur» né des théories du « behaviorisme » mais plutôt sur le fruit de l’expérience utilisateur, comme disent maintenant les apôtres de «l’utilisabilité».

En clair, l’apprentissage se fait par le biais de l’expérience vécue, qu’elle soir réelle ou virtuelle. Déjà, Marc Prensky a souscrit à cette vision dans ses bouquins sur le «Digital Game Based Learning«. À la récente conférence webcom-montréal, il a parlé des réussites de l’apprentissage en simulation vidéo dans le domaine de la chirurgie, expérience dont j’ai traité dans CE billet.

Bref, le « Serious Gaming » ou DGBL entrera dans nos vies dans les prochaines années, c’est un fait accompli mais comment ? À en croire M. Biglin, il faudra avant, réformer les enseignants et trouver un moyen de réduire les coûts d’implantation des jeux vidéos, aussi bien dans les écoles que dans les entreprises.

Comment ? Par l’introduction  de nouvelles technologies… Autant celles de conception que celles de diffusion. Vous voyez le diagramme que j’ai maladroitement dessiné lors de sa conférence car nous n’avions pas accès à ses slides… ?

J’écris aussi mal que mon doc…

Les premiers jeux ne coûtaient pas cher mais ne valaient que dalle… Vient après la réalité virtuelle à la SecondLife moins chère mais elle ne concrétise pas assez l’expérience utilisateur en dressant une frontière entre l’apprentissage  virtuel et réel. Selon Biglin, le « Serious Gaming » sera en mesure de faire le pont entre l’expérience et l’économie…

De quelle façon ? En utilisant non pas les ordinateurs à l’école, trop vieux, et trop chers à optimiser mais la XBox et ultimement les gPhones. Pas les iPhones, car selon lui, ils ne sont pas ouverts aux protocoles de gaming. Tous les jeunes utilisent ces plates-formes moins onéreuses et plus versatiles, plus «portables», plus nomades…

Reste, comme dans mon dernier «twit», qu’il faut réformer les profs, dont la majorité est réfractaire à ce type de changement, changer les technologies accessibles et surtout, laisser ouvertes les voies d’accès.  Ce qui n’est pas le cas dans le système scolaire mais aussi dans les entreprise.

Ce qui vient d’être dit pour l’éducation vaut pour tous les autres champs de l’activité humaine dont les entreprises. Fini le temps du vieux eLearning et même du vLearning à la SecondLife. Selon Biglin, toutes deux issues du « Behavioral Learning ». Place au «Digital Game Based Learning» et pour qu’enfin notre école comme notre société s’adapte à une réalité frappante. Cette réalité, Marc Prensky l’avait déjà définie ainsi dans son dernier bouquin.

«I interviewed a boy that said to me that when he went in his classroon,  his teacher was powering him off». N’essayez plus d’asseoir un jeune de la génération «G» ou «Z» dans une classe pour une heure à écouter un prof faire une présentation magistrale. Trop hyperstimulés dans leur quotidien et leurs expériences sur WoW, Halo ou autres jeux pour être en mesure d’êtres immobiles dans une classe… D’où un décrochage scolaire qu’on s’évertue à comprendre les raisons… Mais cela c’est autre chose…

Cloud Computing Communication interactive

Travailler dans le «nuage» Web : faut bien donner l’exemple !

17 novembre 2008

Je sors de la conférence webcom-Montréal avec la conviction encore plus profonde que je me dois de donner l’exemple et finalement vaporiser mes données et applications dans le nuage Web, ce que l’on nomme pour l’instant le Cloud Computing. J’ai commencé, il y a longtemps à parler du phénomène des entrepôts de données ou encore «Information Factories».

J’ai aussi assisté et blogué sur un panel sur le «Cloud Computing» en juin dernier à la conférence Enterprise 2.0 Boston.

J’ai ensuite invité un des principaux acteurs de cette nouvelle informatique, Rishi Chandra de Google, à prendre à parole webcom-Montréal. J’ai aussi discuté de la question  avec un des rares québécois à travailler concrètement dans le nuage et à y inviter ses clients, soit l’ami Pascal Veilleux.

Fallait donc que je passe de la parole aux actes… Me dématérialiser dans l’Internet  et devenir encore plus un travailleur nomade et numérique, thème que nous avons abordé entre blogueurs montréalais il y a quelques semaines.

Ce WE, j’ai donc travaillé à me dématérialiser dans Google et autres-plates-formes Web. Je prévois également faire l’acquisition d’un Aspire One de Acer, comme celui de l’amie Patricia Tessier pour me «connecter» au nuage sans avoir ni données ni applications sur ce petit ordinateur-terminal, très léger, portable et facile à utiliser en mode conférence.

Voici donc comment je me suis dématérialisé :

Un compte Google pour le courriel (gMail), la suite bureautique (gDocs), la recherche (gSearch), le calendrier (gCalendar), la messagerie instantanée (gTalk) et l’analyse de mes stats. de site et de blogue (gAnalytics). Parlant de blogue, j’ai un compte WordPress, fait partie de la communauté MyBlogLog et suis classé par Technorati et Wikio.

Côté communautés sociales et professionnelles, je peux compter sur Facebook, LinkedIn, Viadeo et Plaxo. Pour les photos, c’est Picassa et Flickr, la vidéo DailyMotion, les présentations SlideShare alors que pour le téléphone c’est Skype, le carnet d’adresses et de téléphone Unyk et pour le micro-partage, c’est Twitter, TweetDeck et Seesmic.

Oh, il ne faut pas oublier le partage de fichiers. Cela peut se faire avec nombre de ces outils mais je pense m’installer un wiki personnel mais aussi conserver mon compte WhaleMail pour les fichiers trop importants. Et pour faire un tout cohérent ? Bien… J’hésite encore entre Netvibes iGoogle et Twine

J’ai oublié quelque chose, dites ???

Communication interactive Événements

Ma participation à la conférence LeWeb08

17 novembre 2008

Dans moins d’un mois, je m’envole pour Paris, où je retrouverai, entre autres Patricia Tessier et Bertrand Duperrin afin de bloguer avec d’autres «blogueurs officiels» la conférence LeWeb08, organisée par Loïc et Géraldine LeMeur.

La responsable du groupe de blogueurs et elle-même blogueuse émérite Stephanie Booth, nous a demandé de répondre à un petit questionnaire (en anglais) afin que les membres du groupe en apprennent sur ceux et celles qu’ils ne connaissent pas déjà. Alors, voici ma présentation :

Stephanie sent us an email demanding that we introduce ourselves. First, thanks for inviting us and helping Loic and the rest of the organization make a success of this event, that will be my third. I blogged the event in 2006 and 2007 and remember, in particular the appearance of Nicolas Sarkozy, in 2006 that stirred up controversy and the appearance in 2007 of Hans Rosling and Philippe Starck and that, for very different reasons.

I’m not new to this conference but I’m very excited to meet our little community and live this new experience with you. It will be also the first time that I blog AND micro-blog a conference entirely. So SYS.

**Who I am**

Claude Malaison, quebecois blogger (French speaking Canadian because I live in Montreal that is and because Québec province is still speaking French in a North American sea of English & Spanish speaking communities). I blog on WordPress about the integration of new Web technologies in the enterprise (so called Enterprise 2.0) but also about Semantic Web, Cloud computing , Gaming and LifeLogs.

Here in Montreal I have the nickname «Son Émergence», referring to the name of my blog, EmergenceWeb, name that says it all. I also teach Interactive Communications at the University of Montreal, give conferences around the world on Enterprise 2.0 and organize the international conference called webcom-Montreal. www.webcom-montreal.com. I have my own company since December 2005 after being an Intranet Coordinator for more than 10 years. In my spare time, I work to promote our non-benefit organization Yulbiz.org (www.yulbiz.org) that regroups business bloggers around the world and eat thousands of kilometres on my bike every year.

**Where I blog**

https://www.emergenceweb.com/blog is my main blog.
I regularly also blog on :
http://www.webcom-montreal.com/blog/
http://www.inpowr.com/blogue/

I also micro-blog every day on Twitter
http://twitter.com/Emergent007

**Most exciting this year at LeWeb’08**

The Netvibes Party !…. Seriously, I look forward to many panels, especially on December 10 with : David Glazer, Director of Engineering, Google, Dave Morin, Senior Platform Manager, Facebook, David Recordon, Open Platforms Tech Lead , SixApart and Moderator: Marc Canter – CEO, Broadband Mechanics.

I also look forward on hearing Dr. Brian Cox – The School of Physics and Astronomy, University of Manchester, Marissa Mayer – Google, Vice President, Search Products and User Experience, Joi Ito – CEO, Creative Commons, Robin Good – New Media Innovator, Explorer, Independent Publisher,Master New Media, and Chris Anderson – Curator, TED. I’m also intrigued by the theme of the conference: LOVE and how Loïc and Geraldine will pull this one out.

**Looking forward to meeting**

Like Stephanie says, all of you, and seeing my old friends again. I’m not worried as she is. I arrive in Paris on the 8th and heads back to Montreal on the 14th. So, I have plenty of time to meet YOU and many friends like Fred Cavazza, Bertrand Duperrin, Vincent Berthelot, Éric Blot, Natacha Quester-Séméon & others. I may even have time to organize a Yulbiz-Paris with friend Fred Cavazza, so stay tuned. I also look forward meeting our host and friend Loïc.

**My role**

To blog and micro-blog this conference for our readers here in Quebec and generate hundreds of comments, the proof that what I write about the panels & conferences stirs up interest and passion. This will be the first time that I do both. Micro-blogging will be my way of taking notes for a following in-depth analysis on my blog. So I’m looking forward to this new experience that I’ll share with you all.

**Usual suspects**

http://www.emergenceweb.com
http://twitter.com/Emergent007
http://www.facebook.com/profile.php?id=506649955
http://www.linkedin.com/in/emergence
http://www.viadeo.com/fr/profile/claude.malaison
http://www.flickr.com/photos/emergent007/
http://www.netvibes.com/emergent007#General
http://www.unyk.com/fr/id/10593741
Pseudo Skype : emergenceweb1

Communication interactive Événements Réalité virtuelle Web 3.0 Web politique

CNN, Star Wars et le mur magique…

6 novembre 2008

Partout à la télé, dans les journaux et sur le Web, on parle de la couverture de CNN de la soirée des élections aux USA, le 4 novembre dernier et en particulier de l’apparition de la technologie des hologrammes, utilisée à deux reprises durant la soirée pour faire apparaître, entre autres, la reporter Jessica Yellin.

Ce n’est pas le première fois que cette nouvelle technologie est utilisée hors des officines du cinéma qui l’a popularisée dans le premier film de la première trilogie de Star Wars (le message de la princesse Laila délivré par R2D2). Elle a été utilisée ici, à Montréal, il y a quatre ans lors de la conférence Boule de cristal de la FIQ pour présenter à distance la conférence de Ray Kurzweil. Voici ce qu’on en disait alors.

Vous vous souvenez de M. Kurzweil ?  Je vous ai déjà parlé ICI de la conférence qu’il avait livrée à TED et de son obsession pour le phénomène de la singularité technologique et de la symbiose homme-machine-ordinateur. Bref, rien de nouveau dans ces hologrammes présentés par CNN mais qui ont tout de même fait sensation, probablement parce que présentés pour la première fois à un auditoire planétaire et grand public.

Mur magique…

Moi, ce qui m’a beaucoup plus fait «tripper» (Et je ne suis pas le seul, parlez-en à l’ami Sylvain Carle), c’est le mur digital ou encore «mur magique» utilisé depuis des mois par John King, de CNN pour sa couverture de la campagne. J’avais vu une première version de cette technologie à la conférence Wired NextFest à New York en octobre 2006. À mon avis, cette technologie est moins spectaculaire que les hologrammes mais ô combien plus efficace.

Une technologie inventée par Jeff Han, fondateur et premier scientifique de la compagnie Perceptive Pixel. Pour vous en convaincre, regardez cette fascinante vidéo sur l’utilisation qu’en fait John King et la montagne d’information qu’il est capable d’en tirer pour les téléspectateurs…

N’en demeure par moins que CNN a prouvé une fois de plus qu’elle avait une longueur d’avance dans l’utilisation des nouvelles technologies dans cette campagne. Et je ne vous parle même pas de son utilisation des médias sociaux tels que YouTube, Twitter et les blogues…

Communication interactive Entreprise 2.0 Études Internet Événements Intranet

Entreprise 2.0, les wikis plus populaires ?

3 novembre 2008

Je ne suis pas surpris…  Pourquoi ? Tout simplement parce que j’ai mis les yeux en lisant ReadWriteWeb sur les plus récentes conclusions de la firme Forrester qui, dans de récents rapports sur l’entreprise 2.0,  prévoit que les principaux outils de «réseautage social» (Social Networking Tools) à s’implanter dans les entreprises au cours des prochains mois seront les wikis, les fils RSS et les mashups.

Curieusement, Forrester n’inclut pas les blogues, ne prévoit pas d’avenir pour les podcasts en entreprise et demeure sceptique sur le micro-blogging à la Twitter… Les précédentes études, réalisées soit par Forrester et dévoilées à la conférence Enterprise 2.0 à Boston en juin, soit par Jane McConnell de NetStrategy et publiées sur son site montraient la même chose mais en incluant les blogues dans l’arsenal 2.0 des entreprises qui auront les premiers intranets 2.0.

En fait, les deux constataient la même évolution tout en oubliant de parler du micro-blogging. Un  peu normal car le phénomèene est tout nouveau et encore peu connu dans les entreprises. Eh bien, ça risque de changer si l’on se fie sur une autre étude, publiée aujourd’hui par Laura Fitton de Pistacho Consulting et qui sera à webcom-montréal le 12 novembre prochain.

Dans cette étude disponible ICI, on peut apprendre en grandes lignes que:

  • Twitter, Inc. may provide some kind of enterprise offering.
  • Enterprise internal microsharing tools should be interoperable with Twitter.
  • Your employees are likely already microsharing.
  • Identica and other open source solutions offer another self-service model.
  • Case studies are on their way.

Remarquez qu’on identifie la plate-forme québécoise identi.ca comme un outil à code source ouvert possible pour nos entreprises. En fait, Mme Fitton y va d’une analyse très serrée de tous les outils sur le marché. Remarquable pour une série d’outils en émergence (j’aime ce mot)…

Parlant de Boston, en juin dernier,  Dion Hinchcliffe avait présenté la dispo suivante sur les perspectives de marché du Web 2.0 en entreprise pour les cinq prochaines années. Cela tiendra-t-il, compte tenu de la crise économique annoncée.

Plusieurs spécialistes pensent que oui :

«This is the time to be audacious. The world has changed, totally and irrevocably. Change is the entrepreneur’s friend.»ReadWriteWeb

«I also want to point out that rough times are often the best times for creativity, opportunity and change.» Tim O’ReillyThoughts on the Financial Crisis


Communication interactive Événements

Retour sur le Yulbiz et publication de LA liste…

30 octobre 2008

Je reviens brièvement sur le dernier Yulbiz-Montréal, qui a eu lieu mardi au café Méliès. Comme plusieurs le savent déjà, ce fut l’occasion de signer la lettre publiée par l’amie Patricia Tessier sous l’égide de Yulbiz.org et destinée au Premier ministre Jean Charest. Une lettre ouverte que plusieurs ont publié sur leurs blogues respectifs, dont moi, et qui demande à nos politiciens de doter le Québec d’une politique numérique.

L’idée a commencé à filtrer dans les médias numériques ICI et ICI. D’ailleurs, Patricia, accompagnée de la présidente de Yulbiz.org, Michelle Blanc, sera aujourd’hui à l’émission Le Citoyen Numérique à CIBL-FM, émission de Michel Dumais.

Pour conclure sur le Yulbiz, il me faut mentionner la tenue d’une édition spéciale le 11 novembre prochain. Ce sera alors l’occasion de venir rencontrer plusieurs conférenciers de webcom-Montréal dont Laura Fitton alias @Pistachio, Isabelle Juppé, Marc Prensky, Thomas Vander Wal et plusieurs autres…

En terminant, je publie comme à chaque mois, LA liste des blogueurs d’affaires qui compte maintenant 112 noms. Si votre nom ne s’y retrouve pas, SVP, me le faire savoir en commentaire à ce billet.

Michelle Blanc

Yannick Manuri

Martin Lessard

Kristina Tomaz-Young

Marie-Chantal Turgeon

Pascal Beauchesne

Mario Asselin

Christian Guy

Claude Malaison

Jean-Marc Langevin

Philippe Martin

Benoît Descary

Sylvain Carle

Adrien O’Leary

Marc Snyder

Josh Nursing

Martin Ouellette

Patrick Jetté

Mitch Joel

Pascal Veilleux

Geoffroi Garon

Heri Rakotomalala

Guillaume Brunet

Jean-Julien Guyot

Louis Delage

Geneviève Piquette

Muriel Ide

Harry Wakefield

Christian Aubry

Yannick Manuri

Yves Williams

Jean Fahmy

Vincent Abry

Gabriel Rodrigue

Jacques Warren

Jean-Sébastien Bouchard

Éric Baillargeon

Harry Wakefield

Arnaud Mangasaryan

Yannick Manuri

Kim Auclair

Jean Fahmy

Pascal Hébert

Rémi Prévost

François Aubin

Benoît Meunier

Sébastien Provencher

Rebecca Coggan

Stéphane Guérin

Manuel Angelini

Patrick Tanguay

Barry Welford

Bruno Boutot

Nathalie Berger

Sébastien Paquet

Louis Durocher

Mathieu Bélanger

Frédérick Giasson

Carl Charest

Pierre Bouchard

Martin Leclair

Michelle Sullivan

Pierre Côté

Guillaume Thoreau

Gabriel Rodrigue

Marc-Olivier Vachon

Denis Canuel

Andrés Restrepo

Yanick Bédard

Amélie Racine

Isabelle Lopez

Alain Savard

Benjamin Yoskovitz

Stéphane Hamel

Kim Vallée

Michael Carpentier

Laurent Maisonnave

Stéphane Gauvin

Alain Thériault

Dany Dumont

Jérôme Paradis

Martin Bittner

Daniel Lafrenière

Simon Bédard

Nathalie Gauthier

Luc et Aryane Gendron

Anouk Hébert

Ahmed Galipeau

Katheline Jean-Pierre

Renée Wathelet

Isabelle Poirier

Sandrine PromTep

Marie-Louise Gariépy

Yannick Gélinas

Vallier Lapierre

Patricia Tessier

Quynh Nguyen

Francis Bilodeau

Laurent LaSalle

Yves Carignan

Denis Paul van Chestein

Pascal Bernardon

Geneviève Lamy

Karine Miron

Olivier Mermet

Cédric Fontaine

Éric Noël

Julie Fortin

Anne-Marie Cordeau

Francis Bilodeau

Karine Vezeau

Benoît Grenier

Communication interactive Web politique

«I have a dream» – Yes we can !

29 octobre 2008

Décidément, je suis politique ces jours-ci… Pour ceux et celles qui ne l’ont pas vu à la télé, voici la demi-heure Obama. Rien vu d’aussi inspirant depuis JFK et croyez-moi, j’y étais… J’ai aussi assisté en direct au discours de MLK : «I have a dream…». Aura-t-il le même parcours ou saura-t-il réinventer son pays et le réhabiliter face aux autres nations de cette planète au cours des huit prochaines années ?

Communication interactive Événements Identité numérique Web politique

Le Québec numérique. Lettre ouverte au Premier ministre du Québec

28 octobre 2008

Ce n’est un secret pour personne : depuis au moins deux ans, je peste contre l’immobilisme technologique du Québec, en particulier celui du gouvernement et des entreprises, immobilisme que j’avais dénoncé IcI et ICI entre autres.

Comme c’est le 80e anniversaire de naissance du grand Gilles Vigneault, j’aurais pu reprendre son thème «Lettre de ti-Cul lachance à son premier ministre…». Je reprends plutôt avec un grand plaisir la lettre ouverte écrite par l’amie Patricia Tessier elle-même reprise par l’autre amie Michelle Blanc. Je vous incite à la reprendre également sur votre blogue et veuillez noter qu’il en sera question ce soir au Yulbiz, une autre raison pour vous y présenter en grand nombre :

Monsieur Jean Charest
Premier ministre
Conseil exécutif
Édifice Honoré-Mercier
835, boulevard René-Lévesque Est, 3e étage
Québec (Québec)  G1A1B4
Télécopieur : 418 646-1854

Monsieur le Premier Ministre,

Tout récemment, l’Indice du commerce électronique au Québec et Recherche Internet Canada (RIC) publiaient respectivement un rapport sur l’état de l’utilisation d’Internet au Québec et au Canada.  Suite à la publication de ces rapports, force est de constater que le Québec est nettement en retard par rapport au reste du Canada. Par exemple, avec 64% d’internautes à l’été 2007, le Québec était 19 points derrière l’Alberta qui revendiquait la première place avec un taux de pénétration de 83%.  Le rapport nous démontre aussi que l’on retrouve un écart de 15% dans les niveaux d’adoption entre les Canadiens anglophones et francophones (82% contre 67%).

Par ailleurs, l’Indice du commerce électronique au Québec rapporte qu’il y a eu pour 3,5 milliards de dollars d’achats en ligne sur un an au Québec (septembre 2007 – août 2008).  Toutefois, au moins le tiers de ces achats s’effectue à l’étranger.

• 87 millions de dollars avaient abouti dans les coffres de détaillants ou de particuliers non canadiens en mars dernier (36 % des achats totaux),
• 146 millions de dollars en mai (58 %),
• 103 millions de dollars en juillet (33 %).

Une des raisons principales est qu’il y a peu d’offres québécoises. Uniquement 52% des PME disent avoir leur propre site Internet. Et de celles-ci seulement :

• 30% y proposent du service après vente,
• 26% acceptent des commandes en ligne,
• 7% reçoivent des paiements en ligne.

Nous sommes d’avis que les investissements dans l’économie numérique accroissent la compétitivité de l’ensemble des autres secteurs de l’économie et que la préparation d’un plan de développement de l’économie numérique est un impératif pour le gouvernement québécois.

Nous avons identifié quatre priorités :

1) Permettre à tous les Québécois d’accéder aux réseaux et aux services numériques et éliminer les barrières liées à la sécurité des transactions en ligne.
2) Accroître l’adoption et diversifier les usages d’Internet dans les entreprises, en particulier les PME.
3) Garantir la formation aux usages des technologies de l’information dès le plus jeune âge.
4) Implanter une gouvernance numérique.

Citoyens

Le gouvernement québécois doit garantir l’accès à tous les Québécois à Internet haut débit partout dans la province. L’Internet haut débit constitue aujourd’hui, comme l’eau, le téléphone ou l’électricité, une commodité essentielle.

Parallèlement, il est critique de renforcer la confiance numérique. Uniquement 47% des adultes québécois considèrent les transactions effectuées par carte de crédit sur Internet très ou assez sécuritaire alors que les problèmes réels de sécurité sont plus rares que dans le cas des transactions hors Internet.

Finalement, des mesures doivent être développées pour assurer la protection de la liberté d’expression des citoyens.  Un individu confiant participera activement aux débats politiques et à l’activité économique et contribuera ainsi à la santé de notre société.

PME

Alors que le développement des PME est l’une des clés de notre avenir économique, celles-ci ne disposent souvent pas des ressources ou des connaissances nécessaires pour évaluer les bénéfices qu’elles pourraient retirer des investissements en TIC et non pas, non plus, l’expertise requise pour définir une stratégie cohérente avec leur stratégie d’affaires.

Le faible taux de participation des entreprises québécoises à l’économie numérique et l’exode des dollars d’achat des Québécois sont inquiétants pour l’avenir de notre économie.  Il apparaît primordial que l’offre de services numériques doit être renforcée au Québec.  Pour atteindre cet objectif, les entreprises doivent trouver un environnement favorable au développement des outils numériques notamment par une sensibilisation accrue des PME et une aide financière à l’investissement.

Éducation

L’introduction d’une formation, dès le plus jeune âge, répond à la nécessité de donner, à chaque enfant, des compétences qui sont devenues aujourd’hui indispensables pour réussir tant au niveau professionnel que social.

À cet égard, il est pertinent de garantir la disponibilité d’un accès à Internet haut débit et WiFi dans chaque école et université, d’améliorer les synergies des universités avec les entreprises en général et les entreprises de haute technologie en particulier et de créer des incubateurs d’entreprises.
Finalement, la numérisation accrue et la disponibilité en ligne des contenus académiques et leur libre accès sont des incontournables.

Gouvernement

L’efficacité des actions « numériques » du gouvernement passera par une mise en œuvre concertée et non par un écartèlement des efforts et des budgets entre différents ministères.  Il nous appert critique que ce rôle soit regroupé sous un seul ministre avec une capacité d’agir de façon transversale.

L’administration publique doit moderniser l’accès au travail parlementaire en implantant des outils additionnels d’information, de transaction et d’échange.  La transparence doit être à l’ordre du jour et le gouvernement doit ainsi démontrer qu’il a confiance au fait que les citoyens sont d’importants contributeurs à notre système démocratique.
Il est aussi impératif que le gouvernement québécois soit un porte-parole de la neutralité du net et s’assure qu’Internet demeure ouvert et accessible à tous.
Finalement, il est important que le gouvernement provincial supporte et guide les gouvernements municipaux en matière de politiques numériques. En effet, ces derniers sont des acteurs importants du développement de l’économie numérique locale.

En conclusion, sans actions claires du gouvernement, nous croyons que le Québec court le risque de maintenir son retard et d’être laissé pour compte dans l’économie de demain. Nous vous demandons de planifier, au plus tôt, un exercice de réflexions et un plan de mise en œuvre pour stimuler l’économie numérique au Québec afin que nous puissions, non seulement rattraper le retard, mais devenir une nation qui prendra sa place et se distinguera dans la nouvelle économie.

Veuillez agréer, Monsieur Charest, nos salutations les plus distinguées.

Regroupement YulBiz Montréal

N’hésitez pas à ajouter vos noms en commentaires et en signant ce document ce soir. Un groupe Facebook viens d’être créé. N’hésitez pas à le joindre Monsieur Charest – Le Québec a besoin d’un plan numérique

Communication interactive Intranet

Mon meilleur souvenir de formation ? Ma réponse à Bertrand

28 octobre 2008

Puisque l’ami Bertrand Duperrin me passe le «bébé», il faut bien que je m’en occupe… Le bébé étant la question suivante : «Quelle formation ou auto-formation a le plus influencé votre vie professionnelle actuelle ?».

Bonne question tiens et qui ouvre plein de perspectives sur l’éducation traditionnelle, sur la formation professionnelle, le rôle des RH en entreprise, le «Serious Gaming» et j’en passe… Mais revenons à la base. Ma formation traditionnelle en lettres au Cégep de Jonquière et en journalisme et Information à l’université Laval de Québec m’a influencé, certes, dans ma jeune carrière.

Photo de l’université Laval par  Tjerk Bartlema sur Flickr

Elle m’a permis de travailler pendant sept ans dans le journalisme écrit, aussi bien hebdomadaire que quotidien et m’a laissé avec ce goût d’écrire, ce goût pour les mots. C’est Flaubert qui disait :«Tout le talent d’écrire ne consiste après tout que dans le choix des mots». Cette citation va trôner bientôt sur la nouvelle version de mon blogue, car le blogue est une extension de ce goût pour les mots, de cette passion d’écrire qui me vient de cette formation littéraire et journalistique.

Mais ce n’est pas tout. Comme le mentionne Bertrand, il n’y a pas qu’une formation qui nous influence ou influence notre vie professionnelle. Je dois ajouter, à cet effet, ma proximité dans les années 90 avec les architectes technologiques d’Hydro-Québec. Je faisais alors de la communication interne dans une vice-présidence informatique. C’est à côtoyer ces personnes que j’ai compris l’énorme impact qu’aurait Internet sur nos vies, personnelles et professionnelles.

C’est avec eux que j’ai fait mes premières lignes de code HTML, créé mes premiers sites intranet. Et de là, toute une série de cours de perfectionnement et de séminaires et conférences sur les technologies du Web. Le journaliste s’est lentement métamorphosé en technologue car le balancier nous fait toujours passer d’un extrême à l’autre avant de se stabiliser au centre. Pour moi, ce centre c’est l’hybride, le profil parfait qui intègre mes deux pôles : journaliste et informaticien.

Une université des hybrides ?

Depuis ce temps, de l’eau a coulé sous le pont mais j’ai toujours estimé que les entreprises et les universités devaient à tout prix s’entendre pour former ces hybrides, ce qui n’est pas le cas actuellement. Aujourd’hui, on forme toujours les jeunes comme les moins jeunes à des disciplines uniques, qui n’intègrent pas l’utilisation des nouvelles technologies dans leur travail de tous les jours et pourtant, le Web est maintenant un incontournable.

Mais les diplômés sont encore, dans bien des cas, très peu en mesure d’assumer la direction d’une stratégie Web d’entreprise. Pour cela, il faut comprendre les grands enjeux certes, mais aussi la technologies qui aideront à les réaliser. Les entreprises perdent ainsi temps et argent à reformer professionnellement leurs diplômés récemment engagés. Perte de productivité, perte d’argent…

C’est pour cela que je me suis investi dans la formation professionnelle à l’université de Montréal afin de réaliser un vieux rêve que je partageais avec Jean Lanoix : créer une université d’hybrides…

Mais avant que ce rêve ne se réalise, il faudra probablement attendre l’arrivée de la «NetGen» à l’université et dans les entreprises, les vrais hybrides naturels… Ce qui m’amène à ma dernière grande influence. J’aurais pu parler des conférences de 2005, les premières à parler de Web 2.0 et qui ont mené à ma spécialisation, mon créneau professionnel en Entreprise 2.0 mais je voudrais plutôt insister sur une autre influence. Celle de mon fils.

C’est lui qui m’a formé aux univers virtuels et aux jeux vidéos. Le Serious gaming, c’est aussi son influence. C’est après l’avoir regardé collaborer sur WoW que j’ai fait le lien avec les difficultés des jeunes de la «NetGen» avec le système scolaire traditionnel et que j’ai ensuite pris contact avec Marc Prensk, le père des Digital Natives et grand apôtre du DGBL (Digital Game Based Learning) à l’école. En passant, Marc donne la conférence d’ouverture à webcom-Montréal le 12 novembre à 7h30. C’est tôt mais ne manquez pas ça…

Et maintenant, dans mes conférences, je lui en rend crédit : pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, la transmission du savoir s’inverse. Ce sont maintenant les jeunes qui apprennent aux plus vieux. Vous demeurez sceptiques ? Alors, je vous montre le début d’un article paru dans Le Devoir.com (non-disponible gratuitement sur internet…dommage)

Cloud Computing Communication interactive Entreprise 2.0 LifeLogs Web 3.0

Avis aux mauvais augures : Le Web 2.0 n’est pas mort. Il évolue !

27 octobre 2008

Le tout a commencé le 14 octobre par un billet de l’ami Philippe Martin sur la mort du Web 2.0, intitulé :«Le Web 2.0 est mort, vive le Web 2.0 !». Je ne sais pas si c’est la morosité ambiante, la crise financière, la récession annoncée et les coupures de postes dans les startups du Web 2.0 mais on dirait que bien des gens sont rapides sur la gâchette à prédire la fin de Web 2.0 et en particulier de son phénomène le plus connu : les blogues.

L’ami Laurent Maisonnave a été le premier à relever les propos de Paul Boutin dans le magazine Wired d’octobre où ce dernier écrit :« @WiredReader: Kill yr blog. 2004 over. Google won’t find you. Too much cruft from HuffPo, NYT. Commenters are tards. C u on Facebook?», un clin d’oeil à l’utilisation de plus en plus grande de Facebook et Twitter pour communiquer et s’exprimer sur le Web. Pour Boutin, les blogues sont un phénomène de 2004, récupéré par les médias et les entreprises. Les blogues seraient devenus «affaires», impersonnels…

Oui, il y a plus de blogues d’affaires et donc Yulbiz.org mais impersonnels ? Alors là, pas d’accord ! Boutin n’a pas lu «Pourquoi bloguer dans un contexte d’affaires» et n’a pas suivi nos conversations sur la puissance des blogues de niche ou encore les billets de l’amie Michelle Blanc sur la passion et les affaires… Les blogues ont certes évolué depuis 2004 mais ne sont pas un phénomène à la veille de disparaître.

Selon le plus récent recensement de Technorati, il y en a 133 millions. Difficile de sortir du lot selon Boutin mais est-ce le but premier du blogueur que d’être dans les 100 premiers au monde ? Pas du tout…. Ce n’est pas pour cette raison qu’on commence à bloguer et pas pour cette raison qu’on continue. On commence et on continue parce qu’on a envie d’écrire et pas seulement que 140 caractères… On continue parce qu’on se sent un peu coupables de ne pas publier une journée, on continue pour s’exprimer sur les sujets qui nous passionnent, sur les sujets sont les moteurs de notre vie professionnelle. On blogue parce qu’on veut demeurer «à la fine pointe», parce qu’on tient à ce que notre expertise soit visible, reconnue. Qu’elle soit dans les 100 premiers, tant mieux mais ce n’est pas le but !

Et les blogues vont continuer à évoluer. Le micro-blogging à la Twitter fait partie de cette évolution et oui, on peut y retrouver les «pionniers» tels que Calacanis, O’Reilly et Scoble mais cette tendance à la communication instantanée ne fera pas disparaître pour autant le blogue, comme le blogue n’a pas fait disparaître le journal traditionnel. Les blogues, comme les autres médias sociaux ont changé le rapport de pouvoir face à la liberté d’expression. Twitter n’amène rien de neuf de ce côté. Toutes ces formes d’expression écrites sont complémentaires, s’influencent et évoluent dans le fond comme dans la forme…

Et cette évolution passe par la vidéo, les podcasts et les vlogues. «Join the video conversation» dit Seesmic Il s’agit bien de l’appropriation de l’image par tous, comme ce fut le cas de l’écrit. Mais l’image, ce n’est pas que la vidéo : il y a la photo, donc Flickr et autres clones du genre… Et quand on parle ensuite de partager vidéos, photos et texte, on pense alors aux réseaux sociaux, à Facebook, Ning, Flickr lui-même et bien d’autres dont Twine

Twine, c’est le Web sémantique, donc le Web 3.0. À tous les mauvais augures qui annoncent le mort du Web 2.0 : Il n’est pas mort, il évolue ! C’est d’ailleurs ce que notent plusieurs observateurs du Web, dont les rédacteurs de ReadWriteWeb. Ces derniers ont identifié récemment dix tendances lourdes en termes d’évolution :

1. Le Web sémantique
2. L’intelligence artificielle
3. Les mondes virtuels
4. Le mobile
5. «L’Attention Economy»
6. Les sites Web comme services Web
7. La video en ligne / Internet TV
8. Les «Rich Internet Apps»
9. Le Web international
10. La personalisation

À mon avis, ils ne se trompent guère sur les deux premiers et sur le mobile mais oublient la suite logique soit les carnets de vie, ou si vous préférez «LifeLogs», et le «Cloud Computing»  avec ses entrepôts de données.

En terminant, je vous réfère aussi à ce billet, paru sur le blogue de Chris Brogan. Il est de Dennis Howlett et est intitulé «Web 2.0 – Was it ever alive?». Un autre mauvais augure qui dénigre le phénomène et son extension en entreprise, soit l’entreprise 2.0. Lisez ce billet mais surtout, lisez les commentaires de Tim O’Reilly en réponse. Non, le Web 2.0 n’est pas mort. Il évolue !

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