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Comment exercer un leadership éclairé en pleine transformation numérique

27 novembre 2018

NOTE: Je reprends ici un billet que j’ai signé sur le blogue d’ExoB2B tout en le modifiant  pour correspondre aux intérêts de mes lecteur(trice)s.

Ce n’est plus un secret pour personne : aujourd’hui, l’entreprise qui veut être ou est déjà un LEADER dans son domaine d’expertise, qui cumule habituellement de nombreuses années d’expertise dans le développement (R&D), la vente de ses produits souvent de fabrication, se doit d’affirmer ce fait à la face de ses publics-cibles (partenaires, clients, employés et actionnaires) et pour ce faire, ne peut plus compter que sur des tactiques traditionnelles, dont les bons vieux «trade shows», pour obtenir des «leads» ou d’utiliser les relations publiques et la pub pour se démarquer.

L’entreprise du XXIe siècle doit faire des choix stratégiques 

Dont celui d’affirmer sa position de dominance sur plusieurs grands axes, en particulier ceux de leader de produit ou service et de leader en innovation et de procéder au plus vite à sa propre transformation numérique pour assurer sa dominance et son leadership. En tant qu’experts en stratégies de communication et de marketing, on recommande dans certains cas, de s’affirmer comme tel et de faire preuve de leadership éclairé ou « Thought leadership » et de s’insérer dans une démarche de transformation numérique.

De là aussi l’importance de bien PLANIFIER et établir sa PRÉSENCE sur les réseaux sociaux et ENGAGER une relation de confiance basée, entre autres, sur la production de contenus de haute qualité venant appuyer son offre traditionnelle et une ouverture aux interactions socio-professionnelles. (Voir ci-dessous)

Tiré de l’étude «The Evolution of Social Business: Six Stages of Social Business Transformation», par Altimeter Group

L’approche «Thought Leadership»

Le «Thought leadership» se caractérise, entre autres, par une production régulière et durable de contenus et d’analyses innovants. Aucune entreprise ne peut y prétendre sans l’avoir profondément enraciné dans sa pratique, dans son organisation et dans sa culture. Cela implique d’y investir des ressources et de le valoriser dans sa gestion courante. Voici d’ailleurs une autre définition assez semblable venant du grand spécialiste de l’influence en marketing,  Michael Brenner de MIG :

«I define thought leadership as a type of content marketing where you tap into the talent, experience, and passion inside your business, or from your community, to consistently answer the biggest questions on the minds of your target audience, on a particular topic.»

Pour ce faire, les formes de contenus les plus souvent utilisés sur les médias et réseaux sociaux sont :

– les livres blancs
– les 
webinaires
– les études de cas clients
– les billets de blogue et autres articles
– les infographies
– les slideshares ou autres présentations analogues
– l
es vidéos et les podcasts

 

La capacité à décrypter des tendances ne suffit plus. Il faut savoir les influencer dans un futur proche. Montrer un chemin que 90 % des acteurs du marché n’ont pas même identifié comme étant possible. Vous avez dit prise de risque ? Oui. Il ne suffit pas que le contenu soit innovant ou même unique. Il faut qu’il trace une voie.

Une entreprise ne sera donc reconnue comme un «Thought leader» de son marché que si elle se revendique propriétaire d’un point de vue unique bousculant les idées reçues. Et que les autres acteurs vont progressivement adopter. Car à quoi sert de montrer la voie si vous n’êtes pas suivis ?

Toute stratégie répond à un processus défini dans sa nature et dans le temps.  Ce dernier correspond aux meilleures pratiques de l’industrie et s’applique à toute démarche d’amélioration. En communication, on parle d’émetteur, de canaux et de récepteurs. Ici, le processus est un peu plus complexe :

Dans les «desired ouctomes» on retrouve la vision, les buts et les objectifs que nous voulons nous donner. La personnalité et la voix, c’est «US» ou nous, ce qui nous caractérise. «Them» ce sont les publics qui sont visés dans notre nouvelle approche. Mais aussi, dans une stratégie qui fait appel aux médias et réseaux sociaux, il faut aussi clairement identifier qui sont les influenceurs qui nous aideront à réaliser cette approche.

Vient ensuite le plan d’action. Une fois réalisé, ce dernier se devra d’être mesuré, évalué et au besoin amélioré ou même réinventé. Le processus est donc, nous le constatons, défini dans sa nature comme dans le temps mais tout de même ouvert à l’évolution dans ce même temps.

Pour les besoins de l’approche «Thought leadership», voici l’ossature qui servira de table des matières à votre stratégie. Il faut donc au préalable définir :

  1. La vision, les buts et objectifs
  2. La personnalité et la voix de l’entreprise
  3. Les publics
    • Segmentation
    • Influenceurs
    • Communautés
  4. La concurrence
  5. Le plan d’action
    • Projets
    • Canaux
    • Contenus
    • Ressources
    • Échéancier
  6. Le Search Engine Optimisation (SEO)/Indexation
  7. Les indicateurs de performance

De l’importance des médias et réseaux sociaux

Ceci étant dit, je tiens à revenir sur les canaux utilisés pour véhiculer les formes de contenus les plus souvent utilisées et définies précédemment. Et ceux qui ont la cote actuellement, ce sont bien entendu les médias et réseaux sociaux.

Dans une récente étude, publiée par Social Media Examiner, on découvre qu’en  2018, ce n’est pas LinkedIn qui est la plate-forme sociale préférée pour diffuser les contenus professionnels mais surprenamment Facebook. Cette étude est basée sur les données d’un sondage réalisé auprès de 5,726 marketeurs qui travaillent dans une vaste gamme d’entreprises.

LinkedIn est bon deuxième à 79% et fait étonnant, Twitter suit juste derrière à 70%. Et personne ne se surprendra du fait que SnapChat arrive bon dernier avec un maigre 7% et est selon un récent article dans The Verge, une plate-forme en déclin qui n’a jamais séduit les entreprises.

Et quand vient le temps d’identifier les principaux bénéfices à utiliser les réseaux sociaux,  aucune surprise. Le principal bénéfice identifié est, selon 87% des répondants, une plus grande visibilité.  Suivent l’accroissement du trafic et la génération de leads. Le «Thought Leadership» arrive bon dernier dans les résultats à 46%. Pourquoi aucune surprise pour cette dernière position ?

Par ce qu’il y a selon les responsables de l’étude, une explication à cette faible performance relative. En effet, le leadership éclairé demanderait plus d’efforts et d’expérience pour être mis en œuvre. Donc, seulement les plus expérimentés des marketeurs disent en faire une réussite par eux-mêmes ou par personnes interposée comme on le verra plus loin.

Pénétrer cet univers n’est pas une question de divertissement. Le but est de faire des affaires, de faciliter l’achat et la vente de produits et services. De mettre de l’avant ou de partager l’expertise d’entreprise, La diffusion des connaissances est essentielle pour rendre l’opération possible. Cela n’empêche pas un côté ludique. Mais en d’autres mots : it’s all about business.

Et de celle des influenceur.e.s

Il faut donc procéder avec méthode, faire un plan, élaborer un projet lié à des objectifs corporatifs et d’affaires. Pour cadrer les efforts, il advient de prendre connaissance des 7 principaux types de projet en médias et réseaux sociaux, à savoir :

Et encore une fois, dans les sept projets-types qui impliquent l’usage des médias et réseaux sociaux, on retrouve le «Thought leadership» (en rouge ci-dessus). Celui-ci permet aux entreprises d’augmenter leur notoriété, leur crédibilité ou réputation, et de faire valoir leur personnalité et leur voix. Il permet d’être l’influenceur de ses marchés cibles par l’aspect novateur de ses idées et son originalité, ses compétences. À ces conditions, le projet devient alors l’expression reconnue et pérenne du capital intellectuel de l’entreprise et de ses réalisations.

C’est donc une chose parfois difficile de prendre en charge à l’interne la responsabilité entière de cette stratégie et d’y accorder les ressources nécessaires, aussi bien financières qu’humaines. Plusieurs entreprises  ne sont pas cependant équipées pour réagir efficacement et rapidement à ce besoin de changement. Plusieurs ont donc recours aux «influenceurs» professionnels, payés par l’entreprise pour faire le travail de positionnement à leur place.

Et des influenceurs, surtout sur les réseaux sociaux, il y en a une pléthore: il y a les artistes et les sportifs avec des dizaines de millions de followers sur Facebook, Instagram et Twitter, il y a aussi les Youtoubeurs(beuses) mais aussi ceux et celles qui ont de l’influence sur d’autres critères que les seuls chiffres. J’avais fait une liste québécoise sur ce blogue en 2007 et une autre mondiale pour ExoB2B en 2018 qui a eu un grand retentissement, justement sur les réseaux sociaux.

Ces personnes, pour moi devaient se qualifier selon 10 indices de mesure:

  • Reconnu(e) par tous les acteurs du domaine marketing Web
  • Identité numérique – Présence structurée et extensive dans les moteurs de recherche
  • Présence régulière sur une multitude de plates-formes sociales (Facebook, Twitter, LinkedIn, YouTube, Instagram, Pinterest, SnapChat, Google+, Quora, etc.)
  • Blogue actif et autres publications
  • Contribution à la communauté Web (conférences, enseignement, implication sociale)
  • Présence dans les médias comme porte-parole de la communauté
  • Visibilité et présence internationale
  • Expérience dans les domaines reliés au Web
  • L’audience qualifiée en terme de nombre mais aussi en terme de qualité (exemple : pas de faux comptes)
  • Unanimité dans les autres classements

Professionnels ou pas, l’entreprise a le loisir d’investir dans cette forme de promotion mais reste qu’elle se doit d’avoir une stratégie de contenus qui vient conforter ses prétentions au leadership et qui puisse prouver le bien fondé de sa transformation numérique et son leadership dans son domaine.

Pour des employés à l’interne ou des contractuels c’est tout un programme !

Événements Médias sociaux Réseaux sociaux Web politique

La grande désillusion aux DSA

6 novembre 2018

Un petit billet rapide, comme cela, le jour où nos Voisins du Sud vont voter aux élections de mi-mandat. Un billet pour noter que les USA n’ont jamais été aussi divisés. Politiquement, socialement, économiquement et bien entendu technologiquement…

Le président a beau utiliser Twitter comme arme de désinformation massive, les grands des nouvelles technologies ne suivent pas politiquement et peinent à tenir leurs plates-formes en bon ordre. Les GAFAM, Twitter et l’écosystème des start-ups sont campés dans les grands États et grandes villes (Californie et Côte Est dont New York et Boston ou même Austin au Texas), des États et villes à large pourcentage démocrates.

La majorité de leurs dirigeants sont aussi de la même mouvance mais par leurs excès d’appétit fiscal et d’impuissance en gestion des contenus, ils polarisent de plus en plus leurs utilisateurs et leur société. De «Don’t be evil» ils le sont pour plusieurs devenus. La technologie comme la politique divisent encore plus les  USA, creusent des fossés idéologiques mais aussi creusent le fossé des classes sociales et exacerbent les extrémismes et le racisme.

De plus, les élections se sont technologiquement transformées depuis 2008. Les deux camps s’affrontent actuellement à coup désinformation, fake news, et fermetures de comptes, d’ingérence Russe même dans les groupes Facebook, Mais aussi à coup de campagnes médias sociaux utilisant toutes les stratégies de marketing numérique connues et reconnues.

Et tous les coups sont permis non seulement sur Twitter et Facebook mais aussi sur You Tube, Instagram et plusieurs applications mobiles de messagerie instantanée. La guerre technologique fait rage comme le chantait Jean Leloup.

Jamais les USA n’auront été aussi divisés et polarisés et la faute en incombe en partie, pas aux réseaux sociaux en eux-mêmes  mais à ceux qui les ont créés, les gèrent mais aussi et surtout les utilisent. Le climat social au sud de la frontière est délétêre ce qui m’incite et je ne suis pas le seul, à éviter toute visite mais je note et vous aussi probablement que ce climat se répand aussi vite que les changements climatiques.

Divided States of America

Il se répand en Grande-Bretagne, en Pologne, en Hongrie, en Italie, en Turquie, au Brésil, en Indonésie et même ici au Québec mais tranquillement… Mais rien comme aux USA où les élites, les immigrants et les médias sont laminés par le vent de populisme largement issu des réseaux sociaux.

La création du Web puis des réseaux sociaux, le fameux 2.0, auront porté de grandes espérances de liberté, d’égalité et de fraternité et de partage du savoir planétaire. Mais force est d’admettre que le facteur humain a faussé la donne et nous donne aujourd’hui le gueule de bois numérique et un goût amer de déjà vu.

Photo Sylvain Carle

Voyez d’ailleurs ce qui se passe au Web Summit qui s’est ouvert lundi soir à Lisbonne où on parle de grande désillusion et lisez le cri du coeur de Tim Berners-Lee qui essaie de sauver l’utopie.

Pendant ce temps au sud de la frontière, nos voisins n’auront jamais été aussi divisés. C’est pour cette raison que j’ai choisi cette image. Car il faut maintenant parler de Divided States of America. Comment de temps ce pays tiendra-t-il encore ensemble?

Personne ne saurait le dire mais la technologie (et pas juste les réseaux sociaux) mal utilisée risque de pousser ce pays au bord de la guerre civile ou dans le giron de la dictature.

Souvenez-vous du «Printemps arabe» ou des élections en Iran en 2009…

MAJ 1

Et au sortir de cette journée d’élections, le constat est encore plus vrai : le Sénat aux Républicains et le Congrès aux Démocrates. Et surtout pas de vague bleue. Juste une preuve de plus que les divisions sont bien réelles et profondes.

Dans la même veine lisez cet entretien avec Joseph Stiglitz, économiste reconnu:

https://www.theguardian.com/business/2018/nov/05/joseph-stiglitz-america-should-be-a-warning-to-other-countries?CMP=Share_iOSApp_Other&fbclid=IwAR2Jl7Czn737i6dDvGgggGWX6iPBul9k_lS2vCS2TU49PoupiXjE1LmCvDw

Médias sociaux Réseaux sociaux

Twitter, Trump et le ménage de la toilette (prise 2)

27 octobre 2018

J’ai commis, il y a un peu plus d’un an un billet sur la nécessité évidente de faire le ménage régulier de nos abonnés Twitter, question de faire disparaître la saleté, les cernes de bain, les mousses qui roulent sur le plancher (Lire faux comptes, spam, etc.), bref tout ce qui pollue notre compte.

Je fais régulièrement ce ménage mais l’exercice vaut pour tous nos comptes sur les réseaux sociaux. J’élimine ainsi tous les trolls et une bonne partie des fausses nouvelles car les abonnés que je conserve sont habituellement fiables et pour beaucoup, certifiés par Twitter et aussi avec un historique et des références sur leur identité.

Mon billet, intitulé  «Twitter et le ménage de la toilette», relatait l’histoire fictive d’Alexandre, étudiant en communication et aussi gestionnaire de communautés qui se laisse prendre au jeu de la popularité sur les réseaux sociaux.

Drôle de coincidence, je lis ce matin un article dans LaPresse que Voldémort Trump se plaint justement du sain exercice effectué par Twitter, soit de faire le ménage sur son compte à lui puisqu’il ne le fait pas lui-même.

«Le président américain Donald Trump s’est plaint vendredi de la suppression selon lui par Twitter des comptes de certains de ses abonnés, critiquant les efforts du réseau social pour éliminer les comptes faux ou injurieux.»

Comme j’abhorre cet homme, je ne suis pas un de ses abonnés mais pour les besoins de la cause, j’ai été juste vérifier les plus récents de ses 55 millions d’abonnés. Édifiant comme vous êtes en mesure de le constater:

Je vous gage un vieux 20$ que si j’étais chargé par Twitter de faire le ménage de son compte, son nombre d’abonnés tomberait drastiquement. Et comme pour moi depuis des années, Twitter a finalement compris le bien-fondé de cet exercice:

«Le réseau social tente actuellement de se défaire des utilisateurs qui essaieraient de se servir du site à des fins de propagande. Il a ainsi bloqué au cours des derniers mois des centaines de comptes manipulés depuis la Russie ou l’Iran pour mener des campagnes d’influence ou de désinformation.

Twitter a annoncé cette semaine que le nombre d’utilisateurs actifs avait baissé de 9 millions au dernier trimestre, dans le cadre de ses efforts pour rendre la plateforme plus « saine ».

Et comme récompense. Twitter remonte en bourse, justement pour cette raison. Tout pour rendre furieux Voldémort qui pourtant, en a fait son outil de communication favori avec les médias mais aussi avec une base d’abonnés en forme de gruyère…

NDLR: C’est le seul et unique billet qui porte sur ce sinistre personnage…

blogue perso Non classé Réseaux sociaux Transformation numérique

De retour…

27 août 2018

Cela fait un bail que je n’ai pas écrit un billet sur mon blogue perso. En fait. depuis 2013 je n’y ai eu qu’une présence sporadique. J’écris ce court billet comme un prélude. Un retour longtemps repoussé pour une foule de raisons. Des raisons légales, financières, sociales, professionnelles et surtout médicales, la totale, quoi ! Je ne l’ai pas eu facile depuis ma fête cette année-là. Pas besoin d’entrer ici dans les détails d’une période de loin la plus noire de ma vie. Et non, je n’ai pas été assimilé dans le Collectif…

Une chance, j’ai eu quelques quelques membres de la famille et ami.e.s pour me soutenir durant cette période de cinq longues années qui se termine. Après avoir presque fait le vide autour de moi,  je sors du dessous de ma roche, enterré là pendant cinq ans. Ça c’est du Scorpion tout craché et quand il ressort, il a la carapace plus dure, il est plus coriace et déterminé mais méfiant.

Malgré cette prédisposition, je reprends donc ma liberté de parole et ma liberté d’action dans  le vie de tous les jours, lire dans le réel mais aussi sur les réseaux et médias sociaux. J’en ai fait beaucoup des MRS ces dernières années mais pour d’autres, dans l’ombre. Ne vous surprenez donc pas de me revoir vous demander d’être amie.e.s Facebook, relations sur LinkedIn  ou de vous suivre sur Twitter ou Instagram, de commenter et aimer dans vos fils ou sur vos murs et écrire sur mes sujets préférés.

Comme la transformation numérique (anciennement l’entreprise sociale qui anciennement se disait Entreprise 2.0) maintenant devenue un enjeu non plus seulement organisationnel mais aussi politique et social (éconumérique comme dirait la candidate de Mercier, Michelle Blanc) . Je traiterai aussi de communication interactive, des devoirs de mémoire, du marketing de contenu et d’influence mais aussi sur de nouveaux sujets comme la fiction devenue science, comme le montre l’image qui illustre ce texte et qui nous plonge dans l’univers des cyborgs et  de l’Intelligence artificielle.

Ah oui, l’image… Vous remarquerez que pour ce premier billet, j’ai été avare de tout sauf de mots. Pas de liens, pas d’inter-titres, pas de vidéo ou d’infographie et une seule image (mes excuses à mes anciens étudiants). C’est voulu. Je refais contact avec la blogosphère et la sociosphère avec humilité et simplicité.

Merci de m’avoir lu.

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Twitter et le ménage de la toilette…

13 mars 2017

Laissez-moi vous raconter une courte histoire ( le Storytelling est tellement tendance). C’est celle du gars qui vit seul dans son appart. du Plateau à  Montréal. Il est encore aux études en communication à l’UQAM en prenant la vie très relax même un peu trop car le mémoire de maîtrise tarde à aboutir. Pour lui rien de grave car il est de famille aisée et peut compter sur le soutien financier parental… Lire la suite

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Mon Top 50 des influenceurs Web au Québec

1 mars 2017

Depuis plus de dix ans, je travaille de près et parfois de loin, avec plusieurs des principaux acteurs du Web au Québec mais aussi d’ailleurs. J’en ai cotoyé des centaines au fil des conférences que j’ai organisées ou auxquelles j’ai assisté ici, en Europe ou aux USA. Et partout j’ai rencontré des personnages d’influence, des experts de longue date du Web 1.0 puis 2.0. Ils sont maintenant légion en marketing, relations publiques ou en communication. Ces influenceur(e)s prennent beaucoup de place, non seulement dans les conversations mais aussi dans les stratégies des entreprises qui se les arrachent ou cherchent à profiter de leur auditoire et de leur crédibilité.  Lire la suite

Marketing Médias sociaux Réseaux sociaux

Experts, champions et gourous du marketing Web: il y a de quoi désespérer !

6 juin 2016

Ce billet est un peu la suite de mon plus récent sur les influenceurs. Dans un récent billet sur Marketing Profs de Vernica Jarski  on retrouve une partie d’infographie réservée à ces derniers et où elle identifie qui ils (ou elles) sont.  Et vous savez quoi? Elle parle, entre autres, de «Social Media Experts». N’en mettez plus, la cour est pleine!

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Blogues Communication interactive Marketing Réseaux sociaux

Influenceurs: mais qui sont ces drôles de «bibittes» ?

31 mai 2016

Il se dit beaucoup de choses ces temps-ci sur les influenceur(e)s en particulier dans le domaine du marketing, qu’il soit B2B ou B2C. Pour que votre stratégie fonctionne, c’est maintenant un incontournable: elle doit comprendre des actions précises pour rejoindre cette masse informe mais omniprésente et omnipuissante que sont les nouveaux influenceurs sur le Web. Lire la suite

Communication interactive Événements Real-Time Web Réseaux sociaux

Un 20 000e Tweet, ça se souligne!

21 septembre 2015

J’aimerais vous écrire un mot en cette occasion spéciale.. Mais avant, laissez-moi vous expliquer. Il y a quelques lunes déjà (2008-2010) , j’ai écrit une série de billets sur ce blogue sur la miniaturisation des conversations. Je faisais évidemment référence aux fils d’actualité des réseaux sociaux qui offrent, en opposition aux plus longs statuts que nous permettent un outil comme le blogue, la possibilité de nous exprimer et d’interagir dans la quasi-immédiateté. Lire la suite

Événements Identité numérique LifeLogs Mémoire d'entreprise Réseaux sociaux

Musicobio: racontez votre vie en musique !

14 avril 2015

J’ai publié de nombreux billets sur ce blogue concernant la mémoire d’entreprise™. Comment faire en ces temps de départs massifs à la retraite pour conserver l’expertise et l’intelligence collective et ainsi conserver sa compétitivité. Et oui, je vais finir par l’écrire ce livre… Mais en attendant, j’aimerais profiter de ce billet pour mettre en valeur une autre initiative de conservation de la mémoire qui, cependant, ne concerne pas directement l’entreprise mais nous tous, ce qui nous rapproche tout de même du concept de «LifeLogs» ou Carnets de vie, mis de l’avant par Gordon Bell. Lire la suite

E-Commerce Gestion des organisations Real-Time Web Réseaux sociaux

Best Buy, une vieille marque qui n’a pas recours aux réseaux sociaux ? Pas d’accord !!!

1 avril 2015

Juste un court billet… Oui, oui, je vous entends dire qu’à chaque fois que je commence ainsi je finis presque par écrire un roman… Mais cette fois, c’est promis, je ferai court même si le sujet n’est pas sans importance… On parle ici de E-Commerce et surtout de la dernière tuile à tomber sur la tête d’une entreprise établie au Québec, je parle ici de Future Shop bien entendu.  Lire la suite

Communication interactive Gestion des organisations Ideagoras Réseaux sociaux Social Business

Lego la marque la plus puissante au monde… Ont-ils découvert la stratégie qui tue ?

9 mars 2015

J’ai eu une belle opportunité ce matin… Elle m’a été fournie par @DominicDesbiens sur Twitter. Dans un de ses nombreux tweets, il référait à un article du Clubic Mag qui titrait :«Comment Lego est devenu la marque la plus puissante du monde». Accrocheur comme titre… Je pensais à Apple mais Lego ? Sont-ils aussi puissants sur le Web ?  Ont-ils découvert la stratégie qui tue ? Alors j’ai cliqué sur le lien pour en savoir plus. Et surprise !!! Lire la suite