On célèbre ces jours-ci le 20e anniversaire du premier site Web, soit celui conçu par Sir Tim Berners-Lee au CERN avec un ordinateur NEXT lui-même créé par l’équipe de Steve Jobs après son éviction de chez Apple. Histoire, tu nous rattrape : 1993-2013, donc… Ce qui ne me rajeunit guère car en 93 je travaillais déjà depuis presque 10 ans avec les premiers micro-ordinateurs achetés par l’entreprise où je travaillais. Des Macs mais aussi des PC… Et c’était juste avant que je ne fasse le saut de la communication corporative d’entreprise à la communication informatique d’entreprise. Là je sais, je suis en train de vous perdre. Mais attendez, je vous explique.
La mort de SL Enterprise: une question de prédation ou de téléportation ?
23 avril 2013Vous vous souvenez de Second Life ??? Cette plate-forme qui a connu un succès mondial en 2006-2007 au point où son concepteur, Philip Rosedale est devenu une vedette instantanée du mouvement Web 2.0 encore naissant. Des articles et reportages dans la presse trad. mais aussi des billets de blogues, des podcasts et des analyses dithyrambiques de la presse spécialisée et consécration suprême, une apparition à TED en 2008.
Villes intelligentes: quand Francis Pisani nous parle d’innovation #sdbx3
26 mars 2013Finalement, j’ai eu le temps d’assister à une partie de la conférence de l’ami Francis Pisani. Ce dernier avait été invité à participer au panel intitulé «Le numérique rend-il nos villes plus intelligentes», panel présidé par Alain Juppé, maire de Bordeaux et auquel participait également Hazem Galal, associé du Price Waterhouse Coopers, le professeur Carlos Moreno de GDF Suez ainsi que Gilles Berhault du Comité 21 et ACIDD.
#LeWeb12: l’absence et le retour de Jeff et de Marissa !
19 décembre 2012Non, ils n’étaient pas à la conférence LeWeb à Paris. Tous les autres grands y étaient mais pas eux. Je fais donc un aparté pour écrire quelques lignes sur deux personnages qui pourtant, sont de retour dans l’actualité jours-ci. Je commence par Marissa Mayer, tiens… Elle est une habituée de LeWeb mais n’y était pas cette année pour des raisons personnelles.
Québec numérique ? Des voix se lèvent en pleine campagne
24 août 2012Plusieurs d’entre nous militent depuis longtemps pour que notre gouvernement prenne enfin le virage du numérique et nous assure une compétitivité mondiale en ce domaine mais il semble que bien peu de nos politiciens soient au fait de l’importance d’une politique numérique pour une société qui se veut fermement tournée vers le futur. Il y a bien eu une amorce avec le rapport Gautrin qui a d’ailleurs accouché du portail de données ouvertes. Mais il faut voir plus loin, beaucoup plus loin…
Quels usages pour le français dans les TIC et les réseaux sociaux ?
26 juin 2012Je tenais à partager avec vous les propos que je tiendrai mardi le 3 juillet prochain à Québec dans le cadre de la RIFÉ 2012 (Rencontre internationale de la Francophonie économique). La question posée aux membres de mon panel est : « L’usage du français dans les TIC et les réseaux sociaux : une exigence pour développer les échanges francophones ?
Excusez l’expression mais ça me turlupine («gosse» en chinois) dans les neurones depuis l’annonce faite par Microsoft de la mise en marché prochaine d’une nouvelle tablette tactile à la iPad nommée Surface… J’ai bien entendu ? On a dit ici Surface ??? Si c’est effectivement le cas, je tiens à vous ramener sous les yeux un billet que j’ai commis en septembre 2010. Voici donc ce que j’écrivais à l’époque, justement sur Microsoft et un certain produit nommé Surface:
L’entreprise sociale et le RSI: n’y a-t-il que des bénéfices intangibles ?
1 février 2012Je suis à la recherche depuis quelques semaines d’exemples de RSI des réseaux et médias sociaux. C’est toujours la même chose lorsqu’on parle de l’introduction de nouvelles technologies au sein d’une entreprise. Il faut obligatoirement passer par le Retour Sur Investissement ou ROI (chez nos Voisins du Sud) pour convaincre les patrons de délier les cordons de la bourse.
DRH et Social Business: tout le monde veut aller au ciel mais personne ne veut mourir…
13 janvier 2012En plus de l’Observatoire de l’intranet édition 2012, la société française Arctus effectue aussi un sondage annuel auprès des entreprises et sociétés afin de sonder les DRH sur leur degré de e-transformation. Elle publie donc, comme c’est le cas pour les intranets, un Observatoire. L’enquête en ligne a été ouverte du 4 septembre au 30 novembre 2011. L’échantillon retenu pour l’analyse des données est composé de 83 entreprises françaises. Et il faut noter et on le verra dans les résultats qu’il n’y a pas que les Communications ou les Ti/Si qui sont impliquées dans ce que Michel Germain nomme la e-transformation, soit le passage d’une entreprise traditionnelle à une entreprise sociale (Social Business).
L’avenir du Québec ne passe pas par le Plan Nord mais par un Plan Numérique !!!
15 décembre 2011Je rebondis sur le billet publié cette semaine par Michelle Blanc à la suite de sa présence à la conférence LeWeb11 à Paris. Michelle note avec justesse que le gouvernement français a démontré de façon évidente son implication dans le numérique (voir son billet) surtout en étant présent lors de la plus grande conférence européenne sur le Web mais aussi en invitant 300 des plus influents acteurs présents à la conférence à rencontrer le chef de l’État Français. Et Michelle de se demander pourquoi le gouvernement du Québec n’en fait pas autant ou qu’il ne soit pas présent à webcom-Montréal, la plus importante conférence sur le Web au Québec…
Jean Charest lors de l’annonce de son Plan Nord
Surtout que Jean Charest, notre premier ministre, ne daigne pas recevoir les acteurs les plus influents d’ici afin de parler du fameux Plan numérique au lieu de se pavaner avec son Plan Nord. Faut dire que le gouvernement a fait un premier pas en étant présent au dernier webcom avec le OpenGouv, une initiative commandée par le premier ministre au député Henri-François Gautrin. Mais ce n’est peut-être que de la poudre aux yeux, on verra bien mais la présence de Jean Charest à webcom aurait marqué la volonté affiché du gouvernement de faire un virage.
Un virage vers l’avenir. D’aligner le développement économique du Québec vers les nouvelles technologies et entreprises numériques. Au lieu de cela, on parle de développer les ressources naturelles comme on le faisait dans les années 50 ou 60. Brader nos ressources pour que d’autres en fassent des produits de la nouvelle économie. Quel poids aura le Québec face à des géants comme les USA, l’Europe, la Chine, l’Inde, la Russie ou le Brésil ? Pourtant, le Québec occupe une position stratégique, un créneau que nous pourrions occuper si nous ne dormions pas collectivement au gaz comme c’est la cas présentement.
Géographiquement le Québec occupe, d’une part, une place stratégique pour la transmission de données par fibre optique, Il est sur le chemin le plus court pour relier l’Europe et la Chine, donc en mesure de profiter des retombées potentielles de l’installation d’une autoroute à méga-débit, un peu comme le PC1-Cable (PC pour Pacific Crossing et à 640 Gigabits/seconde) qui relie actuellement le réseau WIDE Internet (Widely Integrated Distributed Environment) au Japon au réseau américainAbilene (Advanced Networking for Learning-edge Research and Education) du projet nommé ambitieusement Internet2.
Le Québec pourrait profiter de ce nouvel Internet qui se met en place aux USA et au Japon, certes mais aussi en Europe avec le Projet DANTE (Delivery of Advanced Network Technology to Europe) et son réseau GÉANT2 mais aussi en Chine avec CERNET2 (China Education and Research Network). À la croisée des chemins numériques et virtuels, le Québec pourrait se tailler une place de choix, tant au point de vue économique, technologique que politique et socio-culturel.
L’urgence pour nos gouvernements locaux est d’investir au plus vite dans les infrastructures du futur et non seulement dans celles du présent ou du passé. Imaginez seulement ce que le réseau GÉANT2 a pu réaliser pour le CERN (Organisation européenne pour la recherche nucléaire) et le projet EGEE (Réalisation de grilles pour la science en ligne) :
«Au cours du mois d’avril 2006, la Grille a en effet été utilisée dans la lutte contre le virus mortel H5N1 de la grippe aviaire. Grâce à l’infrastructure de grille du projet EGEE, six laboratoires en Europe et en Asie ont analysé 300 000 composants de médicaments potentiels pour le traitement de la maladie. Cette recherche, menée sur 2 000 ordinateurs dans le monde entier avec l’aide d’un logiciel développé au CERN, a permis d’identifier et de classer les composés chimiques les mieux à même d’inhiber l’enzyme N1 du virus. En un mois, la collaboration est parvenue à traiter autant de données qu’un seul ordinateur en 100 ans».
C’est donc l’utilisation en réseau ultra-rapide du potentiel des ordinateurs de la planète, ce que l’on nomme le «Grid Computing» mais ces «grilles« sont déjà remplacées par un nuage… Le «Cloud Computing», soit la possibilité de transférer dans le nuage Internet, l’ensemble des données et applications de la planète, le sujet de l’heure et dont j’ai traité en détails ICI.
Lors de l’un de mes passages à San Francisco, pour la conférence Web 2.0 Expo, j’avais relaté l’entrevue entre Tim O’Reilly et Jonathan Schwartz, alors président et CEO de Sun Microsystems, dont voici un extrait :«Ce qu’il veut dire par entrepôts-containers, c’est que Sun, Google et les autres doivent penser à des entrepôts mobiles, qui peuvent suivre les sources d’énergie. Encore plus intéressant, il en est arrivé à parler des entrepôts situés dans des endroits où on réchauffe les équipements au lieu de les climatiser. De l’antigel au lieu de l’air climatisé… Et aussi en arriver à les automatiser complètement. Un peu comme les postes et les centrales hydroélectriques qui sont opérés à distance… En ce sens, certains joueurs comme Microsoft planifient l’installation d’entrepôts en Sibérie…»
Vous voyez les opportunités ici, entre autres, pour l’économie québécoise. En effet, le Québec est un pays nordique et théoriquement assez froid. Il a une source inépuisable d’énergie : l’eau. Et il a des infrastructures industrielles à recycler dont des alumineries, idéales pour installer des méga-entrepôts de données puisque déjà équipées de l’infrastructure de transformation électrique. Vous imaginez pour l’économie de Shawinnigan ? Ou de Jonquière, ou de Baie-Comeau ? Le gouvernement et l’entreprise privée devraient comprendre et exploiter ce nouvel atout…
Il est clair que le gouvernement du Québec n’a pas compris car il a justement refusé la permission à Google de venir s’installer au Québec… Il y a des sous-ministres qui pensent plus à ne pas faire de vagues jusqu’à leur retraite plutôt qu’à prendre des risques pour assurer le développement économique et technologique du Québec et ainsi assurer notre compétitivité sur la scène mondiale où se joue actuellement le grand positionnement technologique, la «Data War» dont je parle souvent… Il n’ont pas compris que l’installation de méga-entrepôts de données, même s’ils ne créent que peu d’emploi à long terme créent pas contre un environnement favorable à l’installation à proximité d’une foule d’entreprises de haute technologie ayant besoin de deux commodités essentielles fournies au départ aux entrepôts de Google, d’Amazon ou de Microsoft: l’énergie et la bande passante.
Pour mettre en place un véritable Plan Nord technologique et non pas minier, le Québec pourrait tout de même tabler sur ses atouts traditionnels : sa situation géographique et son climat, ses ressources naturelles, pas les mines mais l’eau et l’hydroélectricité mais aussi la créativité de l’ensemble de sa population qui l’a longtemps placé au-devant de l’industrie du numérique, tant dans les entreprises du Web 1.0 avant l’éclatement de la Bulle, que maintenant avec l’industrie du jeu, celle du eCommerce et du Web 2.0 mais aussi du Web 3D avec des initiatives comme le Panoscope 360 de la SAT et de l’UdM, l’unité Métalab ou encore le programme TOT. Avoir sur son territoire, à la fois les meilleurs réseaux et les entrepôts qui feront partie du «Nuage Internet» est essentiel à notre développement en tant que société et il est urgent d’agir.
Et comme le dit Michelle, il est aussi urgent de reconnaître le travail qui se fait sur le terrain maintenant. Nous étions une dizaine de québécois(ses) à Paris lors du Davos du Web et cela à nos frais. Un peu décourageant quand on voit les Français et les Suisses y être en délégations officielles. Où étaient l’Ambassade du Canada ou la Maison du Québec ? Est-ce normal que les organisateurs de webcom ou de Montreal International Startup Festival doivent payer de leur poche pour faire la promotion des entreprises québécoises du Web à l’étranger ? Poser la question c’est un peu y répondre…
Départ de Localmind pour SF: c’est pas parce que c’est prévisible et convenu que c’est acceptable !
14 juillet 2011À la suite de la lecture d’un article dans Cyberpresse ce matin, j’apprends que l’entreprise Localmind, « considérée comme une entreprise montante de la scène technologique montréalaise, annonce avoir complété une ronde de financement de 600 000$. «Nous avons commencé à tenter d’obtenir du financement en avril. Tout s’est fait assez rapidement», dit Lenny Rachitsky, cofondateur de l’entreprise. Le Californien d’origine était installé à Montréal depuis décembre, où il travaillait à développer le service de géolocalisation sous la gouverne de l’accélérateur Year One Labs. »
Vous l’aurez peut-être noté mais la journaliste Maie-Ève Morasse écrit à l’imparfait en parlant du travail de M. Rachitsky à Montréal… C’est qu’un peu plus loin dans son article, elle mentionne que ce dernier, une fois ses $$$ amassés, se pousse en Californie : « Les fondateurs de Localmind annoncent du même coup qu’ils quitteront la métropole pour s’installer à San Francisco, en Californie ». Et elle fait ensuite parler ce cher entrepreneur spécialisé dans la géolocalisation :
«C’était génial de travailler avec Year One Labs, mais pour aller à un autre niveau, c’était important d’être à San Francisco. Il y a là-bas tout un écosystème du web social et de la mobilité», explique Lenny Rachitsky, qui dit quitter Montréal avec tristesse.
Quitter Montréal avec tristesse mon oeil ! Et pour aller à quel autre niveau ? Comme je le dis plus loin dans le stream Twitter, il y a plein de startups dans le monde et elles n’ont pas besoin d’aller en Califormie pour « passer à un autre niveau »… Et Montréal a un écosystème Web social et mobile plus que dynamique et créatif, à tel point qu’on y vient de partout, en particulier de France mais aussi de la Vallée. Montréal EST Web et cela depuis fort longtemps, depuis bien avant la Bulle. Et elle se taille une place de choix , entre autres, dans la R&D. Parlez-en à Darwin Development Corporation ou encore à Google.
Je trouve son attitude indécente pour ne pas dire plus. On peut très bien avoir une startup à Montréal, se faire financer par du capital venu d’ailleurs et faire un succès mondial. Certains le croient comme le mentionne Laurent Maisonnave avec à l’appui une entrevue qu’il a réalisée à Paris en décembre dernier avec Fred Guarino et je mentionne aussi le cas de Buyosphere des amis Jérôme Paradis et Tara Hunt ou encore de Needium des amis Sylvain Carle et Sébastien Provencher.
À moins que les VC ne demandent expressément, en retour du financement, de déménager… Encore là, ce serait scandaleux ! Et j’écris cela, je le sais, en plein dans le Montreal Startup Festival, qui se déroule dans le Vieux Port du 13 au 15 juillet.
J’ai donc « tweeté » cet article et eu une intéressante conversation avec Laurent LaSalle, un des trois auteurs de Triplex à Radio-Canada. Pour suivre la conversation, partez du bas et remontez :
Je ne suis pas d’accord avec les propos de Laurent et oui, je vais lui casser les oreilles. Pas parce que c’est un affront… Parce que c’est, comme je l’ai dit plus haut, socialement et économiquement inacceptable et qu’il faut bien que quelqu’un « sorte de ses gonds », comme le dit Laurent…
2011 sera-t-elle l’année du AppStore pour ma voiture ?
5 janvier 2011Je me permets de revenir sur la conférence #LeWeb 2010 qui a eu lieu à Paris début décembre dernier. Pourquoi ? Parce que j’ai été très impressionné par la prestation du PDG de Renault/Nissan Carlos Ghosn. Ce dernier, loin de faire le pitch de vente traditionnel à titre de commanditaire principal, a parlé d’innovation, de voitures vertes et surtout de voitures à considérer comme des plates-formes qui vont accueillir de plus d’applications informatiques ou Web.
Et c’est là que ma curiosité a été piquée. Vous y pensez ? Le marché de l’automobile mondial vaut deux trillions de dollars, ( = 20 puissance 18, soit deux milliards de milliards ou deux millions de billions… ). Et ce que dit le PDG, c’est que ce marché est ouvert aux développeurs d’applications Web ou informatiques car oui, l’auto est et sera pour longtemps encore une plate-forme ouverte, surtout les voitures électriques. Vous imaginez une personne qui développe une nouvelle application et la rend disponible disons pour 5.99$ sur ce marché ? Un potentiel faramineux !
En entrevue avec Loïc LeMeur à la suite de sa conférence (ci-dessus), Goshn mentionne qu’il ne tient pas à ce que les voitures coûtent le même prix qu’un iPhone mais là est pour moi l’importance de la comparaison: Apple a développé un AppStore pour le iPhone et ensuite pour le iPad. Attendez-vous donc à voir apparaître bientôt des CarApp Stores et je suis certain que Renault/Nissan sera une des premières compagnies dans ce marché. Vous en doutez ?
Eh bien, je n’ai pas été surpris, en ce début d’année 2011, de voir ces deux billets dans Mashable, biillets que j’ai Tweetés ainsi :
Nissan Launches Location-Based Promotion With SCVNGRhttp://t.co/FLGXXiB via @mashbusiness @mashable
Nissan Leaf Uses Crowdsourcing to Enhance Fuel Economyhttp://t.co/r5Pqj46 via @mashabletech @mashable
Ainsi, la compagnie franco-nippone investit les domaines de la géo-localisation et du «crowdsourcing» pour ses voitures. À mon avis, d’un premier pas plus que logique quand on connaît le potentiel des deux domaines, aussi bien en termes de revenus qu’en termes d’importance pour les entreprises. En effet, ce qui risque le plus d’intéresser les entreprises dans tout ce qui est issu du Web en 2011 et en particulier du Web 2.0, c’est justement la géo-localisation, la mobilité, le crowdsourcing et la gestion des données et applications…
Mais pour les applications et le AppStore ? Pas certain que ce soit en 2011. Comme l’entrevue le révèle, l’industrie automobile travaille déjà sur des modèles pour 2015 et il est aussi très difficile de hacker une voiture et développer des applications pour consommation immédiate. Raison ? La règles très strictes en matière de sécurité routière et la responsabilité des fabricants en cette matière, ce qui ralentit le rythme d’introduction de nouveautés.
Bref, c’est le premier de mes coups de coeur de la conférence. Les autres sont à venir dans un prochain billet qui viendra clore le cycle de ma cinquième couverture consécutive de cette conférence, qui en 2006 s’appelait LeWeb 3 !