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Le Québec numérique : un projet de société

13 décembre 2017

C’est ainsi que s’intitule la stratégie numérique dévoilée le 13 décembre par le gouvernement du Québec en présence d’un aréopage de ministres dont Dominique Anglade qui pilote le dossier. Ce matin, je voulais me brancher sur Facebook Live pour suivre le dévoilement de cette stratégie mais mon portable a planté à la suite d’une mise à jour difficile dans la nuit. Lire la suite

Entreprise 2.0 Études Internet Gestion des organisations

Selon trois études récentes, les CIO et les Ti n’ont pas qu’un problème d’image…

2 février 2015

Aujourd’hui, je vous propose un billet que j’aurais pu écrire moi-même et qui vient en partie du clavier de , pour ZDNet. Il l’a intitulé : «CIO and IT leaders: YOU hold the burden of proof…». Et dans ce billet, il cite au moins trois études sur le sujet de l’effet négatif qu’exercent les directeurs Ti (ou SI) sur leur organisations. Comme Krigsman, j’ai écrit plusieurs billets sur le sujet que je joins en bas de billet pour référence. Lire la suite

Communication interactive Entreprise 2.0 Études Internet Gestion des organisations Ideagoras Intranet

Observatoire de l’intranet 2014: la collaboration suit fidèlement la courbe d’adoption (2)

22 mai 2014

Bon… pour ce deuxième billet de la série, je vais devoir me répéter une fois de plus… Et c’est un peu normal quand on parle de collaboration en entreprise. L’an dernier, je citais quelques lignes d’entrée de jeu et elles définissent toujours très bien les résultats 2014 de l’Observatoire de l’intranet et de la stratégie numérique. En fait, je fais ci-dessous la comparaison entre le libellé de 2013 et celui de 2014 Lire la suite

Événements Gestion des organisations LeWebParis

#LeWeb13: Place au théâtre et à la controverse !

12 décembre 2013

Dernière journée de conférence à LeWeb Paris. À la lumière des deux premiers jours, j’étais loin mais très loin de m’attendre à de pareilles surprises. Des petits bijoux pour un blogueur… Et je ne commence pas en ordre chronologique. Plutôt par ce qui a le plus brassé la salle et qui brasse encore le monde du Web en ce moment. Place au théâtre: Lire la suite

Communication interactive Événements Innovation

Villes intelligentes: quand Francis Pisani nous parle d’innovation #sdbx3

26 mars 2013

Finalement, j’ai eu le temps d’assister à une partie de la conférence de l’ami Francis Pisani. Ce dernier avait été invité  à participer au panel intitulé «Le numérique rend-il nos villes plus intelligentes», panel présidé par Alain Juppé, maire de Bordeaux et auquel participait également Hazem Galal, associé du Price Waterhouse Coopers, le professeur Carlos Moreno de GDF Suez ainsi que Gilles Berhault du Comité 21 et ACIDD. Lire la suite

Gestion des organisations Ideagoras

Mais si seulement l’entreprise savait tout ce qu’elle sait…

13 mars 2013

C’est très rare que je fais des billets sur les Digital Natives et la génération des Y ou si vous préférez sur la génération C, telle que définie par les travaux du Cefrio. C’est probablement parce qu’on en a trop parlé, ou écrit que je me garde une petite gêne sur le sujet… Pourtant, j’interviens régulièrement dans les conseils d’administration afin de décoder pour leurs membres et au profit de mes clients, les méandres des nouvelles générations nées avec le Web, celle que l’on nomme les Digital Natives ou natifs du numérique, terme mis à la mode par l’auteur new-yorkais Marc Prensky. Lire la suite

Études Internet Intranet Réseaux professionnels internes wikis

Les PME québécoises ont des croûtes à manger avant de devenir sociales…

2 décembre 2012

Tout est parti d’une analyse sortie à la mi-novembre par le Cefrio sur l’indice de l’innovation avec et par les TIC dans les entreprises au Québec et au Canada. Enfin des chiffres !!! Mais pas nécessairement ceux que j’attendais. L’étude menée par Josée Beaudoin, Claire Bourget et Marianne Lorthiois porte surtout sur les facteurs porteurs d’innovation. Mais quand même, j’ai pu mettre la main sur un tableau intéressant.

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Entreprise 2.0 Études Internet Ideagoras Innovation Réseaux professionnels internes Social Business

DRH et Social Business: tout le monde veut aller au ciel mais personne ne veut mourir…

13 janvier 2012

En plus de l’Observatoire de l’intranet édition 2012, la société française Arctus effectue aussi un sondage annuel auprès des entreprises et sociétés afin de sonder les DRH sur leur degré de e-transformation. Elle publie donc, comme c’est le cas pour les intranets, un Observatoire. L’enquête en ligne a été ouverte du 4 septembre au 30 novembre 2011. L’échantillon retenu pour l’analyse des données est composé de 83 entreprises françaises. Et il faut noter et on le verra dans les résultats qu’il n’y a pas que les Communications ou les Ti/Si qui sont impliquées dans ce que Michel Germain nomme la e-transformation, soit le passage d’une entreprise traditionnelle à une entreprise sociale (Social Business).

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Communication interactive Entreprise 2.0 Ideagoras Innovation Intranet Réseaux professionnels internes

Entreprise 2.0: personnalisez pour vaincre la résistance!

21 septembre 2010

C’est bien beau de vouloir intégrer des communautés dans un intranet et de les catégoriser en trois niveaux personnalisés ( voir billet précédent) mais ces derniers doivent eux-mêmes s’inscrire  dans un système plus large de personnalisation des outils ce communication, de  collaboration, de formation, de gestion et d’opération en interne. On n’en sort pas… C’était ainsi avant le Web 2.0, du temps des intranets simples et informatifs, c’est toujours le cas maintenant. En fait,  il est de plus en plus pertinent d’associer personnalisation à Entreprise 2.0.

Et pourquoi donc? Parce qu’en voulant intégrer toutes les fonctionnalités 2.0 dont les blogues, les wikis, les réseaux ¨sociaux¨ internes, le tagging, les mashups ou les idéagoras, on pose pour les entreprises les problèmes du contrôle de l’information, de la liberté d’expression, de la protection des données stratégiques et par le fait même, de la sécurité. On  ne s’adresse pas seulement à un  enjeu technologique mais bien un enjeu¨systémique¨, car quand on planifie des modifications 2.0, on vient toucher l’ensemble de l’écosystème intranet d’entreprise, tel qu’illustré dans ce diagramme publié récemment par l‘Observatoire de l’intranet en France

ECOSYSTEME

Afin de minimiser les impacts, comme le note l’Observatoire, un des facteurs de succès est de bien planifier la gestion du changement et aussi de mettre en place une structure de gouvernance claire et efficace. Mais il est aussi très important de comprendre que l’intégration du Web 2.0 et surtout le développement des communautés ne se fera qu’avec le concours des employés, certes, mais aussi et surtout de leurs patrons immédiats, habituellement les plus récalcitrants, qui opposent le plus de résistance au changement. Et pour qu’ils fassent le grand plongeon 2.0, il faut les sécuriser avec avec un filet. Ce filet qui vaincra la résistance, c’est la personnalisation des contenus mais aussi des accès en fonction des profils personnels. C’est aussi et souvent la clé du succès dans une discussion musclée avec les Ti sur la sécurité car personnalisation égale aussi accès prédéterminés aux contenus ou communautés…

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Donc, trois niveaux personnalisés de communautés: 1- de pratique 2- d’intérêt et 3- de projet. Ces trois niveaux sont eux-mêmes intégrés dans les quatre niveaux supérieurs de personnalisation que sont: 1- mes infos. 2- mon profil 3- mon groupe et 4- mes outils et qui eux, répondent à trois autres niveaux ultimes de personnalisation et qui servent à définir tout individu au sein d’une organisation: moi en tant qu’employé, moi dans mon groupe et moi dans mon entreprise.

Moi en tant qu’employé constitue la case jaune du graphique ci-dessus et a trait à la gestion d’expertise, à la définition des individus au sein du groupe et de l’entreprise en fonction de leurs expertises et de leur expérience. Cette couche de personnalisation, comme on peut le remarquer est très RH et est celle qui réussit, à mon avis, vaincre la ¨Némésis¨historique de tous les intranets: mettre en place un bottin téléphonique qui puisse rapidement identifier qui fait quoi au sein de l’entreprise ou de l’organisation ou si vous préférez, identifier rapidement les individus en fonction de leurs expertises et les mettre aussi rapidement en relation afin de résoudre un problème (très efficace en service à la clientèle).

Moi dans mon groupe correspond à la case bleue et touche la collaboration. C’est à ce niveaux que se retrouvent les trois niveaux personnalisés de communautés présentes dans les réseaux professionnels internes mais aussi et très souvent dans les wikis de projet (voir billet précédent).

Moi dans mon entreprise regroupe deux couches soit celles des outils de gestion et d’opérations et celle de la communication aussi bien verticale (corporative) qu’horizontale. C’est à ces niveaux que s’exprime l’entreprise. Auparavant, elle avait TOUTE la place. Et même à ces deux niveaux, on peut retrouver des outils qui permettent de donner plus de place à l’interaction et à une discussion globale avec les employés. Je prends comme exemple les journaux d’entreprise. Chez IBM, par exemple, les employés peuvent tagguer les nouvelles décidant ainsi de leur importance rédactionnelle. ¨Crowdsourcer¨complètement ou en partie sa rédaction est du domaine des réelles possibilités.

Tous ces niveaux de personnalisation peuvent sembler autant de freins è la créativité, à l’exposition  de soi, à la reconnaissance des pairs ou encore à la reconnaissance des expertises mais pourtant chaque niveau propose les outils et des espaces nécessaires pour donner libre cours à ces attitudes et comportements jusqu’ici réprimés par les cadres stricts de la hiérarchie, comme dans l’exemple du journal d’entreprise ou encore dans celui des idéagoras qui permettent à tous les niveaux de personnalisation de mettre en valeur l’expertise des employés et de les reconnaître pour celle-ci, de stimuler l’innovation et de faire épargner des sommes importantes en recherche et développement.

Cloud Computing Communication interactive Entreprise 2.0 Ideagoras Intranet Mémoire d'entreprise Mobilité

Entreprise 2.0: la maladie du «propriétaire» nous mets dans une dangereuse position économique et dans un vertigineux trou technologique.

14 août 2010

Vous allez trouver que je me répète ou au pire que je radote…  Car dans ce billet, je vais revenir une fois de plus sur le retard compétitif du Québec en matière de nouvelles technologies et en particulier dans l’adoption du concept d’entreprise 2.0. À part les spécialistes, peu de gens dans les entreprises sont encore familiers avec le principe de l’Entreprise 2.Il est plus pertinent de parler à ce stade-ci, d’intranet 2.0. Mais encore là, qui sait vraiment ce qu’est un intranet 2.0 ?

Bien peu d’entreprises sont encore familières, seulement avec le principe 2.0, qu’il soit intranet ou entreprise… Vous en doutez ? Alors j’attends de vous des exemples d’entreprises québécoises qui sont passées à ce fameux intranet 2.0. Plusieurs vont me citer un exemple d’intégration de blogue ou encore de wiki mai ce n’est pas l’entreprise 2.0 ça,  ce sont des initiatives 2.0 mais pas une stratégie globale et concertée…

Entreprise 2.0

L’entreprise 2.0 schématisée par Fred Cavazza

Une telle stratégie implique non seulement l’utilisation des blogues et des wikis mais aussi et au besoin,  les communautés professionnelles personnalisées, la formation à distance, les outils d’information générés par les employés, les idéagoras, la Web télé, l’utilisation du mobile pour les applications de travail, la création d’applications en Web services, l’agrégation des processus d’affaires dans un portail global, la virtualisation des données dans le nuage, etc. Difficile donc d’en arriver à convaincre les entreprises québécoises du potentiel des ces nouvelles technologies (voir le graphique ci-haut) dans uns stratégie concertée d’innovation.

Innovation et compétitivité

Ces dernières sont terriblement frileuses quand il est question de changer leurs habitudes, leurs certitudes et leurs bonnes vieilles technologies IBM, Microsoft, SAP et intranets informatifs 1.0. Comme je l’ai écrit dans un récent billet, cet immobilisme et cette maladie du «propriétaire» met le Québec dans une dangereuse position économique et dans un vertigineux trou technologique.

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Raison pour laquelle à la télé de Radio-Canada, j’ai retenu ce reportage qui parle du recul compétitif des entreprises canadiennes par rapport aux américaines (13% de moins d’heures travaillées), recul dû au fait que les entreprises canadiennes innovent moins et investissent moins dans les nouvelles technologies. Des affirmations corroborées par Infrastructure Canada, qui se base sur le rapport sur la compétitivité mondiale 2006-2007, publié par le Forum économique mondial :

«Pour ce qui est du sous-indice des facteurs d’innovation et de technicité, le Canada se classe aussi au 16e rang (voir le tableau 2) et aussi derrière certains de ses principaux partenaires commerciaux du G8 (É.-U., 4; Japon, 1; Allemagne, 3; R.-U., 10; France, 13). Même s’il devance d’autres économies importantes (Australie, 24; Inde, 26; Chine, 57; Mexique, 52; Russie, 71; Brésil, 38), le Canada est devancé par des partenaires plus petits, mais apparemment plus concurrentiels (Suisse, 2; Suède, 5; Finlande, 6; Danemark, 7; Israël, 8; Taïwan, 9; Pays-Bas, 11; Belgique, 14; Singapour, 15). »

Le Canada au 16e rang mondial en matière de technologies et d’innovation, derrière les USA et la France, ce que je m’évertue à écrire en particulier dans le collectif d’auteurs intitulé «Entreprise 2.0, Réflexions autour d’une nouvelle Odyssée». Et savez-vous où se situait le Canada en 2002 ? Au troisième rang. C’est dire tout le recul pris en six ans, les derniers chiffres datant de 2008. Et je partie que la situation n’a guère changé car depuis, il y a eu la récession…

Et j’ai aussi écrit : Après l’éclatement de la bulle technologique, le Canada et le Québec en particulier ont été lents, très lents à réinvestir dans les nouvelles technologies, en particulier en entreprise et encore plus dans leurs intranets. C’est Dion Hinchcliffe qui disait à Boston en juin 2009 que les départements TI dans les entreprises sont maintenant générateurs de 80% de statu quo et seulement 20% d’innovation…

Et c’est encore lui qui citait le firme Forrester selon laquelle, le marché américain pour l’Entreprise 2.0 peut générer des investissements de 4,3 milliards dans les trois prochaines années. Combien au Canada et au Québec, surtout quand on sait que nous avons un retard historique de 18 mois sur les USA et que les statistiques du FEM viennent enfoncer le clou ? Le Québec et ses entreprises sera-t-il distinct une fois de plus du Canada en investissant massivement dans les technologies, génératrices d’innovation ?

Ces technologies sont celles du Web 2.0 qui font passer les intranets d’entreprise 1.0, centrés sur l’accès à l’information et aux applications avec ou sans outil de portail et de gestion et de publication de contenus Web à des intranets 2.0 centrés sur la collaboration entre ses utilisateurs, la participation de ces derniers à la construction de ses contenus, un portail donnant un accès personnalisé et ergonomique et surtout un accès unique et décentralisé. Décentralisé ?

Un accès de partout en fait. Du bureau, sur la route, à la maison, avec le Wifi, le 3G, les «laptpos», les tablettes et les téléphones intelligents et surtout avec une sécurité et une capacité d’entreposage de données démultipliées par le «Cloud Computing». Compétitivité et innovation passent par ce dernier postulat. Et quelqu’un a-t-il déjà pensé à favoriser les horaires flexibles et surtout le télé-travail ? Dangereux pour les gestionnaires qui ainsi ne peuvent plus exercer leur pouvoir traditionnel, un pouvoir de proximité et de contrôle.

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Le principe de  Wirearchy

Plusieurs de ces gestionnaires ont bien compris le pouvoir du Web 2.0 et du télé-travail. : un contre-pouvoir capable de laminer la hiérarchie verticale traditionnelle (la Wirearchy de l’ami Jon Husband). Résistance aux créneaux ! L’entreprise château-fort est assiégée et n’est plus en sécurité (informatique). Résistance farouche de la vieille garde mais qui finira bien par retraiter ou partir à la retraite et remplacée par les nouvelles générations (X, Y, Z et autres à venir ) plus ouvertes, plus libres.

Ce sont donc les entreprises qui auront compris ces nouveaux paradigmes et divers enjeux comme la mobilité, la flexibilité du travail, la conciliation travail-famille, la qualité de vie et les environnements de travail plus «verts», l’adaptation aux usages technologiques de leurs nouveaux ou futurs employés, qui seront à même de stimuler collaboration, créativité et innovation tout en faisant appel à la mémoire et ainsi générer la compétitivité nécessaire pour faire face aux économies émergentes (j’aime ce mot) dont la Chine.

Au moins une entreprise québécoise a compris l’importance de ces enjeux pour sa survie et les principes de l’entreprise 2.0. Elle a pour nom: Groupe CANAM.

Leader de la révolution numérique?

L’entreprise originaire de la Beauce mais maintenant bien implantée dans plusieurs pays dont les USA et la Roumanie s’est positionnée comme leader de la révolution numérique dans le domaine du manufacturier et sa stratégie passe par l’entreprise 2.0 et la création d’une mémoire d’entreprise. Première phase: un nouvel intranet renommé Sphère. Cette nouvelle mouture répond en plusieurs points à ce que ReadWriteWeb considère comme les tendances 2010: la personnalisation, le Web en temps réel, le Web mobile, les communautés. Et en prime, un projet-pilote d’accès à l’intranet de la maison pour tous les employés! Les nouveaux espaces collaboratifs déjà disponibles dans l’intranet de Groupe Canam ont permis de publier une infolettre générée par les employés en projet-pilote avant de faire passer son journal interne dans la même formule.

Parmi les autres nouveautés 2.0, l’intranet va aussi proposer une encyclopédie baptisée Canampédia, un CanamTube et un Flickr interne, Des wikis de projet (plus de 103 espaces de travail collaboratifs de type wiki sont déjà en place) et de nombreuses applications en RealTimeWeb (messagerie instantanée et réunions en ligne à la Skype) et de géolocalisation entre autres, pour les camionneurs, tout cela intégré à l’intranet et aux processus d’affaires, ouf…

La maquette de la nouvelle page d’accueil de l’intranet

Le Groupe Canam veut se positionner comme le leader de la révolution numérique malgré la crise économique qui sévit encore, en particulier aux USA.  Elle risque d’arriver en premier au fil d’arrivée avec sa stratégie axée sur l’intégration de ses stratégies Web intranet-extranet-Internet. Car l’intranet, baptisé «Sphère, le monde Canam» va permettre aux partenaires et fournisseurs d’accéder à de l’information et des applications. Il va aussi rejoindre les employés actifs ou retraités à la maison et ainsi ouvrir la possibilité d’idéagoras mentoriales… Et je ne parle même pas des sites Internet du Groupe et des nouveautés qui seront disponibles, notamment pour la force de vente.

Je pourrais aussi vous parler des communautés internes, de librairie virtuelle, de bottin téléphonique relié au profil professionnel ou géographique, de l’engin de recherche Google, de l’accès à toutes ces données en mobile pour l’instant uniquement sur Blackberry. Bref, la mise en place sur une période de 18 mois des fondements de la première vraie entreprise 2.0 au Québec. Pas besoin de faire de dessin pour comprendre que cette première soulève déjà beaucoup d’intérêt.

Nathalie Pilon – ÉTUDE DE CAS: Sphère 2.0 : le monde collaboratif de Canam from webcom Montreal on Vimeo.

Ainsi, le projet-pilote de départ a généré un billet sur le blogue collectif rezopointzero et une mention dans le récent bouquin de Serge Leclerc. Groupe CANAM a aussi présenté ses réussites au dernier webcom le 26 mai à Montréal (ci-haut) et le fera aussi à celui de Toronto le 3 novembre prochain.

Cloud Computing Communication interactive Entreprise 2.0 Ideagoras Innovation

Bonne Année 2010! Quelques billets…

31 décembre 2009

Comme je l’ai écrit dans le billet précédent, je n’aime pas les listes mais en écrivant ledit billet, je me suis rendu compte que je référais beaucoup à des billets écrits au cours de la dernière année. Comme écrit, je ne veux pas faire ici un décompte de mes 10 meilleurs billets de la dernière année.

google

Le décompte du Jour de l’An de Google au moment d’écrire ces lignes

Je veux simplement vous offrir en guise de cadeau du Nouvel An ceux qui, selon moi m’ont apporté le plus de satisfaction de les avoir écrits et publiés.

Et comme vous le constatez, il n’y a pas de catégorisation, de numérotation ou d’ordre chronologique mais j’ai quand même un préféré:

Capital humain: arrêtez, je n’en peux plus…

Et dans le désordre:

Communautés 2.0 en entreprise: trois niveaux personnalisés!
Google Wave: un écosystème qui risque de faire des ravages…
Quel est ce tabou dont on n’ose parler sur la place publique?
Les idéagoras ont une étonnante attractivité pour l’entreprise: ses retraités!
L’entreprise 2.0: Gartner et son Hype Cycle confirment la progression
Web 3.0. O’Reilly réplique avec le Web Squared…

Ma série de trois billets sur les élections en Iran dont celui-ci:

Suis-je banni du moteur de recherche de Twitter pour cause de viralité excessive?

Et encore et toujours dans le désordre:

La grande fracture de l’humanité annonce la singularité et le retour des nomades !
Kleenex, bacs à sable ou saucissons pour l’entreprise 2.0 ?

Cloud computing, guerre de données et un faible pour Gina…
Les «ideagoras» d’entreprise : Dématérialiser pour innover !

En terminant, je vous souhaite à tous et à toutes une merveilleuse année Web 2.0- 2010, avec plein de billets, de tweets, de statuts, de rencontres virtuelles et réelles, de conférences réelles ou sur Ustream et d’intégration de stratégies du Web 2.0 dans vos entreprises, de surf sur le Web avec votre Nexus ou iPhone et plein d’amis avec vous pour partager les dernières secondes de 2009 en levant un verre de champagne!